SAVE THE DATE : "Il était une fois l'Orient express" du 1er avril au 8 août 2014 à l'IMA
L'Institut du monde arabe (IMA) racontera l'histoire d'un train mythique avec une exposition exceptionnelle, "Il était une fois l'Orient-Express", qui se tiendra à Paris du 1er avril au 8 août 2014.
C'est un mythe. Prononcer son nom, c'est déjà voyager à travers le temps et l'espace, à travers l'histoire et la géographie d'une Europe tourmentée – et bien au-delà. Lorsqu'il fut inauguré, le 5 juin 1883, L'Orient-Express s'appelait l'Express d'Orient. Sorti du cerveau du Belge Georges Nagelmackers, qui avait voyagé aux États-Unis dans des wagons fabriqués par l'industriel George Pullman, le train reliait alors deux fois par semaine Paris à Constantinople en passant par Strasbourg, Munich, Vienne, Budapest et Bucarest. Enfin, pour être précis, il s'arrêtait en Bulgarie, un second train prenait alors le relais, puis un vapeur... Il ne fut direct qu'à partir de 1889.
L'histoire extraordinaire de ces wagons qui n'avaient rien d'ordinaires, l'Institut du monde arabe (IMA), en partenariat avec la SNCF, la racontera avec une exposition exceptionnelle, Il était une fois l'Orient-Express, qui se tiendra à Paris du 1er avril au 8 août 2014.
Le train a été inauguré le le 5 juin 1883. Photo : Nicolas Michel.
Pour Guillaume Pepy, qui dirige la SNCF :
"Il s'agit de renouer avec l'art du voyage, avec une époque où l'on ne parlait pas de vitesse mais où l'on parlait de plaisir et de rencontres."
Pour Jack Lang, ancien ministre de la Culture et actuel président de l'IMA :
"Cette exposition s'inscrit dans le cadre d'un renouveau de l'IMA, qui essaie de reprendre des couleurs, notamment avec ses expositions sur le pèlerinage à la Mecque ou le Maroc contemporain." Et avec le lyrisme qui le caractérise, il évoque la "nostalgie de la belle époque", les "rêves de beauté sur fonds de drame", un voyage "vers un orient fantasmé mais aussi vers un orient réel". "L'Orient-Express va jusqu'à Istanbul, dit-il, mais il ne s'arrête pas dans un Orient de légende, il s'arrête face à une gare qui va bientôt relier la ville à Bagdad, Alep, Jérusalem..."
Le clou de l'exposition ? Sans aucun doute la locomotive et les wagons installés pour l'occasion sur le parvis – renforcé ! - de l'IMA et animés par des acteurs. Ce qui signifie que bien des parisiens pourront profiter gratuitement d'un spectacle surprenant : une locomotive mythique lâchant sa vapeur au bord de la Seine ! À l'intérieur, les visiteurs découvriront le superbe décor pensé par le maître-verrier René Lalique et le designer René Prou. Bien entendu, le reste du parcours scénographié par Clémence Farrell, permettra de multiplier les traversées.
À travers les arts, puisque l'Orient-Express a inspiré de nombreux créateurs, à l'instar d'Agatha Christie (Le Crime de l'Orient-Express), Graham Greene, Guillaume Apollinaire ou Ian Fleming (Bons baisers de Russie). Mais aussi à travers l'histoire du XXe siècle, de la Belle époque à la Première guerre mondiale, des Années folles à la Crise, de la Crise à la seconde Guerre Mondiale, de l'holocauste à la Communauté européenne du charbon et d l'acier.
Avec ses wagons bleu roi, l'Orient-Express demeure à la fois un symbole et un patrimoine où chacun peut trouver matière à rêver, à apprendre. Évaluée à environ 2,5 millions d'euros, l'exposition devrait elle aussi voyager : à Venise, York, Vienne, Istanbul et sans doute Bruxelles, où l'idée de ce train est née.
Poupées décorées au Petit Palais
Durant toute cette semaine. un ensemble de poupées décorées par des artistes ou des créateurs (tels queJean-Charles de Castelbajac, Jean Paul Gauttier. Chantal Thomass, ..) sont exposées gratuitement au Petit Palais. Elle seront mises aux enchères le 2 décembre. L'exposition. Qui prend pour cette année le thème du « Paris merveilleux ». est conçue en partenariat avec l'Unicef, et permet de financer en partie des campagnes de vaccination. Gratuit. De 10 h à 18h.Au Petit Palais, 2, avenue Winston-Churchill, Paris 8*. M° Champs-Elysée Clemenceau ou Franklin-Roosevelt.
Un premier aperçu des merveilles de cette année @frimousseunicef https://t.co/A53Gv3XcOR
— Jacques Snap (@JacSnap) 27 Novembre 2013
Stéphane Blanquet expose au Musée de l'Erotisme
Stéphane Blanquet débute très jeune dans le dessin et la bande dessinée. Une de ses première apparition se fait dans les pages du graphzine "Sortez la Chienne!". Il se fait connaître par son fanzine, Chacal Puant (1990), suivi de La monstrueuse (1995), dans lequel il fait preuve d'un talent graphique précoce et complexe[non neutre]. Ses premières pages sont illisibles et ne cesseront d'évoluer vers une forme d’élégance underground qui n'a que peu d'homologues : on pense à Julie Doucet - que Blanquet sera sans doute le premier à publier en France -, à Emmanuelle Houdart et à quelques peintres de la Figuration Libre.
En 2001, il publie un de ses albums de bande dessinée les plus marquants, La nouvelle aux pis, roman graphique tout en ombre salué par la critique. Dans la même veine mais en encore plus sombre, suivra en 2007, La Vénéneuse aux deux éperons (sélectionné comme un des lauréats du Concours des plus beaux livres français).
En 2003, il remplace le papier par la peau humaine, avec Sur l'épiderme, un ouvrage très singulier de peinture sur corps. En 2009, il poursuit cette recherche graphique avec La chair nue s’articule.
En dehors de la bande dessinée et du dessin, Blanquet développe au fil des années son univers dans des jouets et des films d'animation. Depuis 2004, il conçoit par ailleurs des installations : Chambre avec vue sur mes cauchemars (2004), Beauty City (2006), Chambre (Montreuil 2008)...
Après avoir collaboré en 2006 avec le metteur en scène Jean Lambert-Wild sur la pièce de théâtre Sade Songs (adaptation musicale du Marquis de Sade, dont il a pensé les décors et les costumes), il occupe à partir de 2007 le poste de Directeur Oculaire du Centre dramatique national de Normandie - Comédie de Caen.
En 2009, il présente une nouvelle installation pour l'exposition collective Quintet au musée d'art contemporain de Lyon.
En 2010 (mars-avril), il expose à Tokyo à la Span Art Gallery.
Parallèlement à son œuvre plastique, Stéphane Blanquet est aussi éditeur. De 1990 à 2000 pour les éditions Chacal Puant puis à partir de 2000 pour les éditions United Dead Artists. (source : Wikipedia)
Stéphane Blanquet, pornostalgie
Au musée de l'Erotisme à Paris, le dessinateur réinterprète en dessins de vieilles photos pornos. Une cinquantaine de diptyques sont présentés au musée de l'Erotisme. Ils font aussi l'objet d'un ouvrage diffusé dans quelques librairies. Exposition jusqu'au 4 mai 2014.
Myrtille expose au Musée de l'Erotisme
Myrtille mi-mique,mi-femme, mi-cartoon, métisse de Joséphine Baker et de Benny Hill, pleine d'énergie, attachante, plouc et sexy, cette bille de clown sur un corps de rêve, cet avatar d'elle-même, cette créature virtu-elle avec des défauts, cette drôle de fille...ben c'est Myrtille !
http://myrtille.chartuss.free.fr/
Exposition jusqu'au 4 mai 2014. Musée de l'Erotisme - Paris.
Luz et Sarah Constantin exposent au Musée de l'Erotisme
Photos prises avec ma GOPRO
"Kinkiness" désigne en anglais un comportement à la fois farfelu, excentrique, exhibitionniste et vicieux. Sous cet intitulé, Luz, dessinateur à Charlie Hebdo et Sarah Constantin, chanteuse,journaliste et scénariste de BD, cassent les barrières entre artiste et modèle, érotisme et pornographie, fantasme et quotidienneté, modernité et classicisme. Le Musée de l'Erotisme montre, pour la toute première fois, une cinquantaine de croquis et de dessins réalisés sur des bibles écrites en latin par ces dexu artistes briseurs de norme.
Daiane Soares - Vernissage ce soir au Musée de l'Erotisme
Daiane Soares, mannequin et artiste brésilienne, a choisi la photographie comme lengage pour exprimer à la fois l'union et le contraste : vérité et mensonge, peur et courage, plaisir et obligation, force et fragilité...La fusion de la maitrise et de sa sensibilité s'est exprimée par un travail ,spécifique sur l'"ETRE FEMME".