Si vous allez à Bruxelles, voici une exposition à ne pas manquer (du 11 mai au 08 juillet)

http://www.bitesnich.com/

http://www.newnudemag.com/en/book/32.html

http://www.postershop.fr/Bitesnich-Andreas-H-p.html

Photos prises ce jour avec mon téléphone Nokia.

Pour l'amusement, un clip réalisé sur l'escalator au Centre Pompidou : Vid_o_066_.3gp

Photos prises ce jour avec mon téléphone Nokia. Galerie du Jour, rue Quincampoix.

J'ai vu cette exposition cet aprés-midi. C'est au sous-sol du magasin "le Bon Marché". il faut le savoir car la signalétique n'existe pas. J'ai dû demander mon chemin à travers les luxueux rayons. Il y avait bien longtemps que je n'étais pas entré au Bon Marché. C'est classieux !

Photos prises avec mon téléphone Nokia

27 avril - 18 juin 2006

Exposition de toutes les vaches dans les rues de Paris.

   http://www.vach-art.fr/ 

Voir album de photos : "Vaches"

Site de David Lachapelle : http://www.davidlachapelle.com/

David Lachapelle sort un livre collector XXL chez Taschen: "Artists & prostitutes"

AUX ARTS CITOYENS
La révolution par l'image
du 12 au 22 avril 2006
à l'espace d'animation des Blancs-Manteaux
48 rue Vielle du Temple 75004 Paris

Des affiches originales présentées sur des panneaux d'affichages
électoraux , diffusions de vidéos dans des isoloirs, création en direct
d'affiches, de tracts, bulletins de vote, banderoles, etc.

Rendez-vous sur le site
http://www.artdanslaville.com

Exposition : Aux arts citoyens, La révolution par l'image, espace d'animation des Blancs-Manteaux, Paris, France.

AUX ARTS CITOYENS

La révolution par l'image

du 12 au 22 avril 2006

à l'espace d'animation des Blancs-Manteaux

48 rue Vielle du Temple 75004 Paris

VERNISSAGE MARDI 11 AVRIL A PARTIR DE 18H30

L'affiche a depuis tout temps révélé la voix du peuple.

Sous forme de tracts, de prospectus ou d'affiches collées en sauvage, les maux de la société et le bruit de la révolte ont tapissé les murs des villes d'une nouvelle expression graphique associant des images symboliques à des slogans percutants.

Gravés à jamais dans notre mémoire collective, ses graphismes ont fait le succès d'idées neuves, utopiques ou révoltées influençant inexorablement le monde politique dominant.

Cette exposition rend hommage à cette expression populaire en présentant une installation collective sur le thème de l'idéologie graphique.

Au programme, tout l'univers de la propagande politique sera analysé, disséqué et interprété par une cinquantaine d'artistes plasticiens.

Les artistes exprimeront leur vision du monde de demain par la création d'oeuvres utopiques, sarcastiques ou concrètes.

Des affiches originales présentées sur des panneaux d'affichages électoraux , diffusions de vidéos dans des isoloirs, création en direct d'affiches, de tracts, qui seront collées dans le quatrième arrondissement de Paris, bulletins de vote, banderoles, etc.

"AUX ARTS CITOYENS !" est plus qu'une exposition, c'est un véritable spectacle vivant qui transportera le visiteur dans l'univers de la manipulation par l'image.

Un moyen de comprendre et décrypter le pouvoir de l'image et de mieux vivre le monde qui nous entoure.

Alors à vos bulletins et venez voter pour construire le futur.

Rendez-vous sur le site

http://www.artdanslaville.com

Photos faites avec mon téléphone Nokia ce soir au cours du vernissage. Voir album "Aux Arts Citoyens"

Gustav Bolin, un Suédois de Paris 1920-1999

Descendant d'une famille d'orfèvres qui pendant trois générations vécut à Saint-Pétersbourg et travailla pour la Cour des Tsars, Gustav Bolin naît à Stockholm en 1920. Sa famille viendra habiter Paris dès son plus jeune âge.           .

Ses études terminées, il s'inscrit en 1938 au cours d'Othon Friesz, ancien fauve, à l'Académie de la Grande Chaumière. Il part travailler à Copenhague en 1939._De retour dans un Paris occupé, il quitte la capitale pour la Drôme en compagnie du peintre suisse Charles Rollier.

Entre 1940 et 1943, il séjourne à Mirmande, Valence et Marseille. Il y découvre le soleil méditerranéen et réalise de nombreux paysages. Il accomplit en 1943 un « voyage-pèlerinage» dans la région d'Aix, à la recherche de Cézanne. Il séjourne alors chez Pierre Tai Coat au « Château Noir ».

Souhaitant rentrer à Paris, ce dernier lui prête son atelier dans le quartier Plaisance. C'est l'époque de sa première rencontre avec Picasso.

Durant l'hiver 43, les artistes se retrouvent à Montparnasse, au Dôme et à la Coupole, et à Saint Germain des Prés, au Flore. C'est àMontparnasse qu'il découvre celle qui deviendra sa femme. Elle dans laquelle il effectue de fréquents séjours peignant portraits et paysages.

Le sculpteur Giacometti lui trouve à Paris un atelier à côté du sien, rue du Moulin-Vert qu'il conservera toute sa vie.

Gustav Bolin revoit à cette époque son ami Charles Rollier et tisse des liens très amicaux avec Nicolas de Staël. Il fréquente aussi Pierre Courthion, le critique et historien d'art, qui deviendra par la suite l'un de ses plus fidèle défenseur.

En 1948 a lieu sa première exposition personnelle à la galerie Pierre Loeb.Dès lors, les critiques ne cesseront de suivre son travail au fil des ans.

Gustav Bolin côtoie les milieux littéraires et artistiques regroupés autour de la figure d'Antonin Artaud. Il y a là Marthe Robert, Arthur Adamov, Michel de Muzan,.Jacques prével, Henri Michaux, René Char, Raoul Ubac, Pierre Tai Coat, Jacques Germain, Georges Bataille, Jean Paulhan, Jean-Paul Sartre, Michel Leiris... Le peintre rend fré¬quemment visite à Artaud dans son exil d'Ivry.

Gustav Bolin part en Californie en 1948 avec sa femme et sa fille âgée de deux ans. Période stérile pour son travail, ils ne resteront que huit mois dans cette Amérique.

Revenu en France, il expose en 1950 à la Galerie Art Vivant. Familier des "Mercredis des Batignolles" organisés par Pierre Courthion, Bolin y rencontre tous les peintres que le critique d'art apprécie: Charles Lapicque, Jean Bazaine, Maurice Estève, Pierre Tai Coat, Nicolas de Staël, Charles Rollier, Edouard Pignon, Alexandre Garbell...Guy Bernard, Gustav Bolin et Jacques Prévert

Attiré par la lumière du Sud, il fait de longs séjours à Antibes, sur le cap, à la" Villa Marie". Il réside également près de Grasse dans la maison d'un ami peintre, Pierre Lesieur. Ce der¬nier lui fait connaître la région de Saint-Rémy de Provence, les Alpilles et ses cyprès que l'on retrouve dans de nombreux tableaux. Antibes restera cependant toujours son principal port d'attache dans le Midi.

Entre 1962 et 1970, Gustav Bolin expose régulièrement à la galerie Kriegel aux côtés de Jacques Germain, André Lanskoy, André Cottavoz...

Le peintre continue à partager sa vie entre Paris et son atelier des Nielles à Antibes. Le Sud et cette luminosité du Midi qui lui sont si précieux éclateront encore dans ses œuvres les plus tardives. De nombreux artistes se retrouvent alors dans le vieil Antibes, autour des remparts et de la place du Marché.

"C'est l'époque d'Antibes, de Vallauris où habitaient Picasso et Françoise Gillot, de Saint-Paul de Vence et la -célèbre auberge de la Colombe d'Or où séjournait le cinéaste Henri-Georges Clouzot avec sa femme Véra, Yves Montand, Serge Reggiani et tant d'autres artistes renommés ou moins connus qui se rencontraient sur les plages de Golfe-Juan, de la Garoupe au cap d'Antibes, sans oublier Renée Laporte qui chaque semaine réunissait tout ce monde sur sa terrasse des remparts face à la mer." Simone Bolin

En 1990, 34 tableaux de sa période abstraite sont retenus dans le cadre de la manifestation "10 jours avec la Suède" organisée à la grande Arche de La défense. L'exposition est parrainée par les affaires culturelles suédoises et inaugurée par Sa Majesté le Roi de Suède.

La même année, une monographie, écrite par Jean-Jacques Lévêque, est publiée aux éditions Chêne / Art Saint-Honoré. En 1995, une exposition rétrospective à la galerie Dionne donne la mesure de la diversité et de l'indépendance de son œuvre.

Un an plus tard, la santé du peintre se dégrade. "Mer brune aux rochers blancs" sera sa dernière huile sur toile. Ses forces déclinant, il n'exécutera durant les dernières années de sa vie que des pastels, des dessins faits de pointillés et de virgules... d'une facture un peu différente, presque aérienne; dessins qu'il appelait "les partitions de musique".

Gustav Bolin meurt à Antibes en août 1999.

Actuellement exposition à l'Hôtel de Ville de Paris

Photos prises avec mon téléphone Nokia.

Photos prises avec mon téléphone Nokia

Au Centre Pompidou du 05 avril 2006 au 29 janvier 2007

Au seuil du 21e siècle, alors que l'on assiste à une vaste migration des images en mouvement des salles de projection vers les espaces d'exposition, migration portée par la révolution numérique, il devient nécessaire de redéfinir le cinéma hors des conditions d'existence qui auront été les siennes au siècle précédent: non plus à partir du spectre restreint de l'histoire du cinéma, mais en le replaçant dans le champ élargi de l'histoire de l'art. À travers une confrontation thématique et non chronologique des œuvres du Musée national d'art moderne, «Le mouvement des images» propose une relecture de l'art du 20e siècle et d'aujourd'hui du point de vue du cinéma.

La collection des films du Musée, qui couvre l'ensemble de l'histoire du cinéma expérimental et du cinéma d'avant-garde sert de fil conducteur à cette relecture. Les films, présentés en boucle sur les cimaises s'inscrivent dans une nouvelle temporalité, produisent de nouveaux modes de perception et de pensée qui rejaillissent en retour sur les œuvres plastiques. Les données fondamentales de l'expérience filmique -« défilement », « projection », « récit », «montage»-, ne sont plus réservées au dispositif cinématographique traditionnel, mais apparaissent désormais comme un principe de renouvellement de la production et de la réception des œuvres.

Photos prises avec mon téléphone Nokia. Centre Pompidou.

Pour voir les vidéos, cliquez sur chaque lien ci-dessous :

mouvement_images_01.3gp

nuages_mouvement.3gp

poissons_mouvement.3gp

La presse en parle...