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Jours tranquilles à Paris
21 janvier 2007

"Le Serpent"

Aujourd'hui je suis allé voir le film "Le Serpent". L'intrigue m'a fait penser à "Harry, un ami qui vous veut du bien" mais mieux ficelé. Excellente distribution. J'ai surtout remarqué Olga Kurylenko et Yvan Attal.

Un conseil : allez voir ce film. D'ailleurs le bouche à oreille joue et actuellement il a fait un trés bon démarrage.

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Le Serpent, la bonne surprise

Surprise au box office avec la première place obtenue par "Le Serpent" d'Eric Barbier. Le thriller détrône "Arthur et les Minimoys" tout en battant sans appel "Apocalypto" de Mel Gibson.

On attendait Apocalypto et on a finalement vu triompher un polar français au box office de cette deuxième semaine cinéma de l'année. Eric Barbier a eu du flair et raison de reprendre sa caméra. Son troisième long métrage, Le Serpent, réunit 304.325 spectateurs pour sa première semaine d'exploitation. Le film avec Yvan Attal et Clovis Cornillac raconte la manipulation exercée sur un père de famille en instance de divorce par l'un de ses anciens camarades de classe. Eric Barbier avait longtemps délaissé les plateaux de tournage après l'échec cuisant en 1991 de son film Le Brasier, projet ambitieux et coûteux ancré dans l'univers des mineurs des années 30. La présence de Jean-Marc Barr et l'obtention du prix Jean-Vigo n'aura pu sauver le long métrage de la déroute. Barbier peut savourer à présent le succès du Serpent qui se paie le luxe de battre sans appel le nouveau film de Mel Gibson.

Cinéma : "Le serpent" d'Eric Barbier Divertissement - Source : en3mots

 « Il n’a pas de famille, pas d’enfant, pas de biens, c’est un vampire… il prend ». Il est trop tard lorsque Vincent Mandel s’en rend compte : Plender s’est déjà immiscé dans sa vie. Celle d’un photographe (Yvan Attal), père de deux enfants, en instance de divorce avec sa femme, une riche héritière allemande. Un soir il croise Joseph Plender (Clovis Cornillac), ancien camarade de classe. Loin d’être un hasard, cette rencontre n’est que le fruit d’une longue manipulation et le début d’une brusque descente aux enfers. Meurtre, enlèvement et chantage, le « serpent » s’enroule autour de lui et attaque ce qu’il a de plus cher. Dès lors Mandel n’a d’autre choix que de se battre avec les mêmes armes que son adversaire, découvrant que celui-ci n’est peut-être pas si infaillible…

Adapté de l’ouvrage de Ted Lewis, Plender, le scénario d’Eric Barbier en reprend le thème principal : un personnage en harcèle un autre pour des raisons qui seront révélées par la suite. Et si l’histoire fonctionne si bien, c’est parce que dans le livre comme dans le film se dégage le même plaisir de voir le héros se faire torturer. Toutefois, si l’écrivain anglais prend ouvertement le parti du bourreau, le cinéaste, lui, opte pour celui de sa victime. Mandel est justement pris au piège alors qu’il s’apprêtait à reprendre son envol et obtenir, de surcroît, la garde de ses enfants. La caméra suit le duel haletant des deux personnages, révélant leurs souffrances et leurs propres contradictions. Le système de pouvoirs s’inverse au fil de l’intrigue : Plender, jouant tout d’abord le rôle de l’ancien copain plutôt pesant, se révèle grand manipulateur puis finalement ébranlable. A contrario Mandel, qui semble s’élever au-dessus de cet ancien camarade de par son statut, devient vite sa proie avant d’être érigé en héros. Caractérisé par sa lâcheté initiale, il parvient à déstabiliser ce bloc de glace qui n’avait rien à perdre. Le spectateur finit même par éprouver une certaine empathie pour ce dernier, Eric Barbier éloignant ainsi toute vision manichéenne.

Le regard fixé sur la pellicule, on pense par moments à « Harry, un ami qui vous veut du bien » (Dominik Moll, 2000) lorsque Plender débarque dans la vie de son ancien « ami » ; on pense à « Anthony Zimmer » (Jérôme Salle, 2005 : Yvan Attal incarnant le rôle de François) lorsque Mandel tente de sortir de la situation cauchemardesque dans laquelle il a été plongé malgré lui...On pense surtout à deux acteurs, dont le duel à l’écran et la tension, tout aussi exacerbée que contrôlée, ne font qu’illustrer leur prestance et leur talent, qui ne sont plus à démontrer…

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15 janvier 2007

Claire Chazal au théâtre

 

La présentatrice glamour de TF1 a fait sensation mercredi parmi les acteurs et auteurs de la présentation de la rentrée théâtrale.

Claire Chazal devrait attirer du public pour ses débuts sur les planches le 6 mars prochain au Petit Théâtre de Paris. La compagne de l'acteur Philippe Torreton se lance en effet dans la pièce Laissez-moi.

La journaliste qui ne se produira qu'une ou deux fois par semaine à 19 heures pour pouvoir continuer à assurer la présentation du 20 Heures confie au Parisien : "Monter sur scène, ça m'amuse beaucoup et ça me fait un peu peur aussi, car ce n'est pas mon métier."

Source:actustar.com

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10 janvier 2007

Apocalypto

Le dernier film de Mel Gibson critiqué pour sa violence

" Apocalypto ", fresque sanglante sur la décadence de la civilisation maya, est sorti ce week-end aux Etats-Unis

Le dernier film de Mel Gibson, Apocalypto, sorti le 8 décembre sur 2 500 écrans américains (il arrive en France le 10 janvier), est une fresque très violente sur la décadence de la civilisation maya. Et tout comme son film précédent, La Passion du Christ, qui avait connu un succès mondial, cette fresque historique et sanglante est la cible de controverses.

Apocalypto est le premier film d'action dont tous les dialogues sont dans une langue morte, le yucatèque. Un vrai risque commercial quand on s'adresse à un public américain qui n'aime pas avoir à lire des sous-titres au cinéma.

La réputation de Mel Gibson a également été ternie par sa tirade antisémite, en août, lors de son arrestation pour excès de vitesse et conduite en état d'ivresse à Malibu (Californie). Depuis, le cinéaste a dû faire le parcours imposé aux vedettes qui dérapent : excuses publiques et cure de désintoxication. Ses distributeurs, les studios Disney, ont mené une délicate opération de marketing du film auprès des communautés indiennes et latinos, mais ont évité une première à Hollywood, se contentant d'un gala de charité dans un casino de l'Oklahoma.

EMPALEMENTS ET AMPUTATIONS

Les historiens, ainsi que des descendants des Mayas, apprécient mal les libertés que le réalisateur de Braveheart a prises avec l'Histoire, en choisissant de décrire les indigènes d'Amérique centrale en sauvages sanguinaires. Les spécialistes rappellent que les habitants de la péninsule du Yucatan étaient un peuple raffiné, qui connaissait les mathématiques, l'écriture, l'astronomie. Ils déplorent une confusion avec des pratiques sadiques des Aztèques.

Les journaux saluent la puissance visuelle du film, mais sont révulsés par une violence sans précédent. " La brutalité est si implacable et extrême qu'elle transforme parfois l'horreur en comédie grotesque ", commente le New York Times. Dans le Wall Street Journal, Joe Morgenstern écrit : " Après quelques empalements, amputations, viols, éviscérations et décapitations, j'ai pensé que c'était le film le plus violent que j'aie jamais vu, d'un point de vue visuel et obsessionnel. A la fin, j'en étais certain (...), de même que je suis sûr qu'Apocalypto est une oeuvre visionnaire, avec sa propre intégrité sauvage. "

" Gibson a fait un film qu'on peut seulement recommander aux spectateurs doués d'une tolérance pour la barbarie digne d'un commandant de camp de concentration ! ", écrit Kenneth Turan, critique du Los Angeles Times, qui interpelle le réalisateur sur sa fascination pour la violence, déjà visible dans ses films précédents : " Mel, mais vous ne faites pas partie de la solution, mais du problème. "

Le public semble adhérer à cette surenchère sanglante. Apocalypto sort en tête au box-office après le premier week-end avec une recette de 14,2 millions de dollars. C'est un bon score même s'il est éloigné des 83 millions engrangés en un week-end par La Passion.

Claudine Mulard

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Mel Gibson tétanise l'Amérique avec un film violent sur les Mayas
Le dernier film de Mel Gibson, Apocalypto, sorti aux Etats-Unis le 8 décembre, et que l'on pourra voir en France à partir du 10 janvier, provoque une vive controverse outre-Atlantique.
Des critiques de cinéma affirment que cette fresque sur la décadence de la civilisation maya est " le film le plus violent " qu'ils aient jamais vu. Certains s'interrogent sur " le problème " Gibson, dont le film précédent, La Passion du Christ, avait déjà été qualifié de " film gore ". Les historiens s'indignent de voir les indigènes d'Amérique centrale décrits comme sanguinaires, alors qu'ils étaient un peuple raffiné. Pour son premier week-end d'exploitation, Apocalypto, bien que les acteurs parlent en yucatèque, occupe la tête du box-office.

9 janvier 2007

Electre avec Jane Birkin

Jane Birkin en tête d'affiche. Biyouna - chanteuse algéroise, détentrice d'un rôle mémorable dans Viva L'Aldjérie de Nadir Moknèche - incarnant le choryphée. Un chœur multiethnique qui laisserait présager un esprit à la Peter Brook, metteur en scène qui a su si souvent revisiter d'autres mythes, non pas grecs mais shakespeariens, avec sa troupe internationale au Théâtre des Bouffes du Nord. "Bon présage!", donc, aurait pensé instinctivement le plus commun des oracles.

Par ailleurs, nos esprits férus d'hellénisme se souvenaient encore de L'Orestie d'Eschyle au Théâtre de l'Odéon, il y a quelques années, dans une mise en scène brillante et subtile de Georges Lavaudant qui nous avait charmés par la force et la sobriété des stances des tragédiens grecs. On s'attendait de nouveau à un texte dont la pureté transcende les siècles. Mais sur scène, les comédiens sont décevants : une Jane Birkin semblant davantage jouer un de ses propres rôles, en petite fille perdue et larmoyante aux accents mélodramatiques anglo-saxons. Un Oreste qui surjoue. Clytemnestre, Egisthe, Chrysothémis, quant à eux, ne s'en tirent pas mieux, et semblent de surcroît être sponsorisés par Bouchara, vêtus de tissus aux couleurs moirées et chatoyantes d'un goût post-réveillon clinquant notoire.

Pour ce qui est de la traduction du texte grec, tout amateur de la finesse de celle que le poète Philippe Jaccottet avait pu offrir à L'Odyssée d'Homère ne la retrouvera nullement ici. Pas de rythme, pas de souffle dans la traduction d'Electre par Robert Pignarre. Dans cette mise en scène de Philippe Calvario, que reste-t-il alors d'Electre, cet épisode qui clôt le mythe des Atrides? Comment vraiment ici réussir à se plonger au plus profond de la malédiction, du cycle infernal marqué par le meurtre, le parricide, l'inceste et enfin le matricide? Electre ne survit que dans l'attente de venger son père, Agamemnon, tué par sa femme Clytemnestre et son amant Egisthe. Maigre, un peu garçonne, elle attend son frère Oreste pour accomplir l'acte terrible. Mais le magnétisme ne prend pas; les principes essentiels de terreur et pitié, de catharsis et en fin de compte le tragique sont ici décrédibilisés. Parmi tout ceci, où est donc Electre?

"Di doo di doo da, oh di doo di doo da / Je n'ai jamais joué à la poupée / J'ai je-ne-sais-quoi d'un garçon manqué / Je suis l'portrait d'mon père tout craché". Pourquoi chercher plus loin, en fin de compte, une description plus précise du jeune personnage Electre? Jane Birkin la chantait déjà en 1973. Loin d'être dithyrambique, notre avis serait qu'il manque trop à cette mise en scène pour que le spectateur puisse espérer en sortir, en définitive, réellement électrisé.

 Par François Legroux,

Jusqu'au 4 février 2007, Théâtre des Amandiers, 7 av Pablo Picasso, Nanterre, RER A "Nanterre préfecture" + navette du théâtre, 12 euros pour les étudiants.

 

 

26 décembre 2006

Le docteur Jivago (ce soir sur ARTE)

Le général Yevgraf croit avoir enfin retrouvé la fille de son frère, perdue quand elle était enfant. Il la convoque dans son bureau pour l’interroger et lui raconter l’histoire de ses parents… Au début du Xxe siècle, le drapeau rouge fait irruption dans les rues de Moscou. Le jeune médecin et poète Youri Jivago est plutôt de ceux qui dansent dans les soirées mondaines. Lara, un peu moins argentée, vit sous le joug de l’amant de sa mère. Avant le soulèvement, les destins de Youri et Lara se croisent furtivement…

Amour et révolution
Adaptée du roman de Pasternak, Prix Nobel de littérature en 1958, cette épopée sentimentale a été interdite de diffusion en URSS jusqu’en 1994. À contre-courant des slogans communistes, ses personnages exaltent des valeurs romantiques à une époque où « la vie personnelle est morte ». Semblant obéir à une sorte de dialectique, la passion de Youri et Lara resplendit sous les coups de boutoir de l’existence. L’amour n’est-il pas une façon de résister ?

Le docteur Jivago
Film de David Lean, États-Unis, 1965, 3h17mn, VF.
Production : MGM Scénario : Robert Bolt, d’après « Le docteur Jivago » de Boris Pasternak, Image : Fred A. Young ; Musique : M. Jarre
Avec : Omar Sharif (Youri Jivago), Julie Christie (Lara), Geraldine Chaplin (Tonya), Tom Courtenay (Strelnikov), Rob Steiger (Komarovsky), Alec Guiness (Yevgraf)
CINQ OSCARS EN 1965 (ADAPTATION, LUMIÈRE,
COSTUMES, DÉCORS ET MUSIQUE)

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20 décembre 2006

"Le héros de la famille"

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Sortie dans les salles aujourd'hui...

18 décembre 2006

Avant première du film : "Le héros de la famille"

Quelques photos prises ce soir sur les Champs Elysées...

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Marc Lavoine - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Michèle Morgan - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Claude Brasseur - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Catherine Deneuve - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Line Renaud - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Julien Clerc - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Sandrine Bonnaire - Champs Elysées 18 décembre 2006
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Emmanuelle Béart et Miou Miou - Champs Elysées 18 décembre 2006
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2 décembre 2006

Claude Jade est décédée

PARIS (AP) - Partenaire de Jean-Pierre Léaud dans plusieurs films de François Truffaut, la comédienne Claude Jade est morte, a-t-on appris samedi auprès de l'agence artistique Act 1 et de Jacques Rampal, dramaturge qui avait récemment travaillé avec elle.

Claude Jade est décédée vendredi matin à l'hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) à l'âge de 58 ans, a précisé Jacques Rampal, joint au téléphone par l'Associated Press. Elle avait souffert d'un cancer de l'oeil qui avait ensuite gagné le foie. "A partir de là, ça a été très, très vite", a expliqué le dramaturge.

De son vrai nom Claude Jorré, elle avait suivi des cours d'art dramatique au conservatoire de Dijon avant de monter à Paris pour être l'élève de Jean-Laurent Cochet. C'est sur les planches, dans "Henri IV", qu'elle se fait remarquer par François Truffaut.

Elle commence ainsi sa carrière au cinéma avec "Baisers volés" (1968). L'année suivante, elle tourne "L'étau" ("Topaz") sous la direction d'Alfred Hitchcock, ainsi que "Mon oncle Benjamin" d'Edouard Molinaro, où elle est fiancée à Jacques Brel.

Claude Jade complète ensuite la trilogie entamée par François Truffaut avec "Baisers Volés". Son personnage Christine Darbon épouse Antoine Doinel, incarné par Jean-Pierre Léaud, dans "Domicile conjugal" (1970) puis en divorce dans "L'Amour en fuite" (1979).

Elle interprète ensuite une prof de philosophie dans "Le Bahut va craquer" de Michel Nerval (1981) et une avocate dans "L'honneur d'un capitaine" de Pierre Schoendoerffer (1982). Elle tourne aussi avec Jean-Pierre Mocky dans "Bonsoir" (1994) et Philippe Lioret dans "Tombés du ciel" (1993).

Véronique Cayla, la directrice générale du Centre national de la cinématographie, a rendu hommage à cette "grande et belle comédienne" qui a représenté "la grâce discrète de la jeune femme française".

Parallèlement au grand écran, Claude Jade mène une carrière au théâtre, avec des rôles dans des classiques comme "Henri IV" (1967-68), "La Guerre de Troie n'aura pas lieu" (1975), "Port-Royal" (1977), "Britannicus" (1980) et "Lorenzaccio" (2001).

Jacques Rampal l'avait dirigée avec Patrick Préjean dans "Célimène et le Cardinal", une pièce restée à l'affiche du Lucernaire, à Paris, du 1er février au 30 avril 2006 avant de faire la tournée des festivals d'été. Après une opération due à son cancer, l'actrice avait joué avec une prothèse d'oeil en plastique. Elle était montée pour la dernière fois sur scène le 8 août à Gordes (Vaucluse), selon le dramaturge.

"Tout dernièrement, elle lisait un scénario de téléfilm qu'elle espérait tourner au printemps", ajoute Jacques Rampal.

Claude Jade avait en effet beaucoup tourné pour le petit écran, notamment dans "L'île aux trente cercueils" (1979) et dans "La tête en l'air" (1988). Elle a joué dans le feuilleton "Cap des pins" diffusé sur France-2 de 1998 à 2000, année où elle est apparue dans le téléfim "Sans famille" aux côtés de Pierre Richard et Jules Sitruk.

Ses obsèques auront lieu mardi à 15h en l'église réformée de l'Oratoire du Louvre, rue Saint-Honoré, à Paris, précise Act 1.

Claude Jade, qui était née le 8 octobre 1948 à Dijon d'un père inspecteur pédagogique et d'une mère enseignante, était chevalier de la Légion d'honneur et officier des arts et des lettres. Elle laisse un fils, Pierre Coste, âgé de 30 ans.

En 2004, elle avait publié un livre de souvenirs intitulé "Baisers envolés". Elle y racontait ses rencontres avec François Truffaut, Alfred Hitchcock, Edouard Molinaro, Jacques Brel, Jean-Pierre Mocky. "Ce n'est finalement pas mal pour une jeune provinciale qui ne rêvait que de théâtre!" écrivait-elle.

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Claude Jade et Jean-Pierre Léaud dans un film de François Truffaut

Baisers volés de François Truffaut (ci dessous)

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2 décembre 2006

Les cow-bys faisaient la promotion du film "Arthur et les minimoys"

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29 novembre 2006

Sortie du film : "Black book"

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