"Sexe et Jalousie" (ce soir)
Objet : Théâtre le retour
Certains d'entre vous sont venus l'an passé assister aux représentations données par la compagnie des poissons d'argent (La Soupière de Robert Lamoureux).
La recette générée par ces quatre représentations fut reversée à l'association des Blouses roses, association qui visite les malades dans les hôpitaux et qui au travers des actions de ses bénévoles apporte réconfort à ceux qui parfois en ont bien besoin.
Cette année encore, notre petite troupe de théatre s'est engagée auprès des" blouses roses " à , monter, un spectacle ; c'est pourquoi nous avons choisi de présenter une pièce de monsieur Marc CAMOLETTI : l'auteur entre autre du succès théatral de Boeing Boeing
SEXE ET JALOUSIE: Si un mari tient à sa femme, c'est qu'il l'aime sans aucun doute.. avec tout ce que comporte l'amour, de sentiments divers, tel que la tendresse, le sexe, .. et l'instinct de propriété. Alors, pour peu qu'un autre homme tente de lui prendre cette femme, voilà notre mari qui n'a plus qu'une idée en tête, la vengeance, car c'est la jalousie qui le pousse.
Il faudra finalement arriver à savoir lequel de ces deux sentiments mène le monde.. le sexe ou la jalousie, ou peut être les deux à la fois !
L'essentiel est d'en rire...
Jeudi 8 Juin à 20h30,
Vendredi 9 Juin à 20h30,
Samedi 10 juin à 20h30
et le dimanche 11 juin à 15h30.
Théâtre Saint Léon
11 place du Cardinal Amette
Paris 75015
métor Dupleix.
Prix : 15 euros
Faites circuler cette info à un maximum de personnes car plus il y aura de monde et plus nous pourrons aider les "Blouses Roses".
Photos : contribution de Mimie
Da Vinci Code
Je suis enfin allé voir le film "Da Vinci Code" ce matin... J'ai bien aimé, même si certains passages sont assez longs... Rebondissements, suspense... Allez le voir si ce n'est pas déjà fait !
http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2006/05/17/1604253.html#comments
http://jourstranquilles.canalblog.com/albums/cinema___extraits_de_films/photos/4175192-18431899.html
Initial SG (ce soir)
C'est le Coup de Coeur de l'écume-bar. Ce duo revisite le repertoire de Serge Gainsbourg avec une grande (et belle) liberté.
Ils essayent d'aborder les chansons avec une oreille neuve en cherchant de nouvelles harmonies, ou en changeant, légerement la mélodie et des fois, ils ne touchent à rien. Ils font un tabac, là où ils passent.
La Presse : " De la voix et de l'âme... Un spectacle généreux. Une salle comble et comblée" La republique du centre
Dans la peau de Jacques Chirac
"Dans la peau de Jacques Chirac" : les revirements à 180º du Président LE MONDE | 30.05.06 |
Le film de Karl Zéro et Michel Royer attire l'attention en vertu de sa seule originalité. Le cinéma français n'est pas coutumier de ce genre d'intervention tonitruante dans le débat public. Montage de documents glanés au long de la vie publique du chef de l'Etat, Dans la peau de Jacques Chirac est un réquisitoire diffusé à un an de l'élection présidentielle. Mais sa matière première ne suffit pas à définir le film. Aux documents puisés dans la réalité, les réalisateurs ont adjoint non pas un commentaire mais un monologue. Dit par l'imitateur Didier Gustin, qui prend avec réalisme les intonations de Jacques Chirac, ce texte voudrait faire pénétrer dans l'âme du président, donner une cohérence aux séquences qui se succèdent. Car le seul fil conducteur que l'on puisse dégager à la vision de ces images d'archives est celui de la discontinuité, des revirements à 180o de Jacques Chirac. Il y a des juxtapositions saisissantes : dans un discours prononcé lors du débat qui a précédé l'élargissement de la Communauté européenne à l'Espagne et au Portugal, Jacques Chirac prédit l'effondrement de la France si le processus arrive à son terme. En 2002, lors de l'émission télévisée organisée à la veille du référendum sur la Constitution européenne, le même explique aux jeunes réunis autour de lui à quel point l'histoire avait démenti ceux qui prédisaient que l'apocalypse suivrait inévitablement l'adhésion des pays méditerranéens. Cet effet de montage revient régulièrement tout au long du film. Il constitue en lui-même une information. Mais, pour la plupart des électeurs français, la propension de Jacques Chirac à changer de discours en fonction des circonstances ne sera pas une découverte. Pas plus que les Américains n'ont attendu Michael Moore pour découvrir que le président George W. Bush entretenait des liens étroits avec l'industrie du pétrole. MONOLOGUE DE CHANSONNIERS Il faut donc ajouter à ce rappel une cohérence dramatique. Dans Fahrenheit 9/11, autre film d'intervention politique, c'est la mise en scène de Michael Moore par lui-même qui donnait au film sa portée. Utilisant les méthodes les plus récentes de la télévision américaine, Moore se faisait l'incarnation de l'Américain moyen, qui interpellait les membres du Congrès dans les rues de Washington et consolait la famille d'un soldat mort en Irak. Une version politique de "Jackass", cette émission de la chaîne MTV qui voyait des adolescents accomplir les exploits stupides dont rêvent tous leurs contemporains. Pour donner forme à Dans la peau de Jacques Chirac, Karl Zéro et Michel Royer ont eu recours à une forme typiquement française nettement plus désuète, le monologue de chansonnier. Les considérations que le faux Jacques Chirac égrène au fil des images voudraient expliquer l'inconstance de ses idées, sa persévérance malgré les échecs, sa propension à susciter les trahisons et à les retourner à son avantage. Mais l'explication reste sommaire : s'il est ainsi, c'est parce qu'il est amoral et avide. Parfois le texte se fait égrillard, laissant deviner des secrets salaces pour aussitôt les mettre en doute d'une pirouette. Parce que les images puisées dans la réalité, ici rassemblées, ne disent pas tout, le commentaire, qui est écrit comme une fiction, s'autorise à dire n'importe quoi. Et cet exercice qui, selon son auteur, devrait avoir une vertu civique revient à un abaissement à la fois du cinéma et du débat politique.Thomas Sotinel Article paru dans l'édition du 31.05.06
Film français de Karl Zéro et Michel Royer (1 h 30.)
Film : Da vinci code
Alors que le conservateur du Louvre a rendez-vous avec un spécialiste venu de Harvard, il est retrouvé mort aux pieds de la Joconde... La victime, membre important d'une société secrète aurait, peu de temps avant sa mort, dissimulé des indices que seuls sa petite fille, Sophie Neveu, et un spécialiste des symboles, Robert Langdon, peuvent décrypter. Les deux protagonistes deviennent rapidement les principaux suspects et devront, pour découvrir le fin mot de l'histoire, surmonter les obstacles et les ennemis entre la France, l'Angleterre et l'Histoire!
Photo JS
Da Vinci code même dans le métro à la station Concorde (ligne 1)
Photos prises le 10 mai à la station Concorde (Ligne 1 du Métro)
Cinéma : "Sophie Scholl"
Munich, 1943. Tandis que Hitler mène une guerre dévastatrice à travers l'Europe, un groupe d'étudiants forme un mouvement de résistance, La Rose Blanche, appelant à la chute du IIIème Reich. D'obédience pacifique, ces membres propagent des tracts antinazis, couvrant les murs de la ville de slogans, et invitent la jeunesse du pays à se mobiliser.
Le 18 février, Hans Scholl et sa soeur Sophie - qui font partie du noyau dur du mouvement - sont aperçus par le concierge de l'université de Munich en train de jeter des centaines de tracts du haut du deuxième étage donnant sur le hall. Ils sont immédiatement appréhendés par la Gestapo et emprisonnés à Stadelheim.
Durant les jours suivants, l'interrogatoire de Sophie Scholl est mené par l'agent de la Gestapo Robert Mohr, un véritable duel psychologique s'engage...
Film vu ce matin à Montparnasse. Cela faisait longtemps que l'idée d'aller ce film murissait lentement en moi. Le titre du film "Sophie Scholl" m'avait interpelé. En faisant des recherches j'ai redécouvert "La Rose Blanche", souvenir de cours d'histoire enfoui au fond de ma mémoire. De plus, lorsque j'ai passé tout récemment un week-end en Alsace, je suis revenu visiter le camp de Struthof avec mes filles. Un immense musée tout neuf y avait été construit. Au fil de l'histoire des résistants déportés je suis tombé sur les photos de Sophie et de Hans Scholl. Dés lors, ma décision était prise. J'irais voir ce film dés que possible. Cela tombe bien que ce soit aujourd'hui car il y a 61 ans, jour pour jour, le camp de Dachau (que j'ai visité en mai 2003) était libéré.
Les deux photos ci-dessus ont été prises au "Centre européen du résistant déporté" - Camp du Struthof (Alsace le 14 avril 2006)
http://www.arte-tv.com/fr/cinema-fiction/berlinale-2005/777120.html
http://www.herodote.net/19430222.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sophie_Scholl
http://www.sophiescholl-derfilm.de/
http://hypo.ge-dip.etat-ge.ch/www/cliotexte/html/rose.blanche.html
Voir album "Cinéma - extraits de films"
Klimt
Klimt
John Malkovlch incarne avec justesse le peintre Gustav Klimt (1862-1918), longtemps dénigré, dans une approche originale signée Raoul Ruiz.
« Mon film n'est pas une biographie filmée du peintre autrichien, mais une fantasmagorie où des personnages existants et imaginaires tournent autour d'un seul point, Klimt.» Le spectateur est averti. Le réalisateur Raoul Ruiz réinvente l'artiste à partir de faits réels et l'imagine au moment de sa mort. Klimt se remémore sa vie. Notamment cette année de 1900 où Paris le fête lors de l'Exposition universelle tandis que Vienne le condamne comme provocateur. Il vit sa vie comme il la peint : son œuvre reflète ses relations passionnées avec les femmes et sa quête de la perfection et de l'amour. Raoul Ruiz construit son film comme une valse viennoise, passionnée et enivrante, « avec un début lugubre, une accélération jusqu'au paroxysme et un arrêt inattendu, brutal ». Une vision décalée, habitée par John Malkovich.
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Ce film me fait penser à un autre film sorti en 1981 sur la vie d'Egon Shiele
1979 Film = "Egon Schiele, Enfer et Passion" de Herbert Vesely
Avec Jane Birkin, Mathieu Carrière, Robert Dietl, Helmut Dohle, Maria Ebner, Reno Eckstein, Karina Fallenstein, Herbert Fux, Fritz Goblirsch, Harry Hardt, Angelika Hauff, Christine Kaufmann, Wolfgang Leisowsky, Ramona Leiss, Dany Mann, Marcel Ophüls, Martina Schmatelka, Manfred Titz, Kristina Van Eyck, Guido Wieland, Karl-Heinz Wukow.
Théâtre : "Il est toujours en retard Monsieur Jean...!"
Dans une auberge insolite, un maître d'hôtel érudit et une serveuse gaffeuse nous entraînent dans une étrange et jubilatoire aventure au-delà du temps et de l'espace.
Ils nous font visiter la maison La Fontaine, demeure enchantée, baroque, pleine de recoins inattendus et de rencontres loufoques.
Auteur : Pierre Aufrey
Artistes : Isabelle Guiard - Pierre Aufrey
Metteur en scène : Pierre Aufrey
Commentaire personnel : deux bons comédiens qui tiennent l'attention durant 1h45. Excellente interprétation. A conseiller...
Doute
Coupable ? Non coupable ? Quel poids donner à la rumeur ? Aux institutions ? Quelle est la place de la victime ? Un sujet d'actualité traité par un texte puissant et des comédiens sublimés par la direction de Roman Polanski.
De John Patrick Shanley
Mise en scène de Roman Polanski
Avec Thierry Fremont, Félicité Wouassi, Noémie Dujardin...
INFOS PRATIQUES
De 26,70 à 49,80 euros - Du mardi au samedi à 21h, le samedi à 18h et le dimanche à 16h - Théâtre Hébertot, 78 bis boulevard des Batignolles, 75017 Paris - Renseignements : 01.43.87.23.23
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ROMAN POLANSKI
Réalisateur, scénariste, producteur et acteur français d'origine polonaise
Né à Paris le 18 août 1933
LA BIOGRAPHIE DE ROMAN
Né de parents polonais, Roman Polanski, après des études de cinéma à Lodz, vient vivre à Paris où sa carrière débute rapidement. En 1962, il réalise 'Le Couteau dans l'eau' qui reçoit le prix de la critique au Festival de Venise. L'univers du cinéaste se déploie dans 'Cul de sac', 'Répulsion', et 'Rosemary's Baby', où il se montre un maître dans la peinture des atmosphères troubles, du huis clos et de la folie. En
LES ANECDOTES SUR ROMAN POLANSKI
> Roman a dit :
'Mes films sont l'expression de mes désirs du moment. Mes films sont différents les uns des autres ? Oui, comme les tableaux de Picasso.'
> Comédie musicale
En 1967, Roman Polanski réalise 'Le bal des vampires', chef-d'oeuvre qu'il adaptera en comédie musicale trente ans plus tard.
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Théâtre Hébertot - Photo JS
Un nom prestigieux dans l'histoire du théâtre français... -
C'est en 1838 qu'est construit le théâtre des Batignolles, dans le village du même nom, au nord de Monceau. Sa façade élégante de pierre ouvragée cache une belle salle à l'Italienne. Au fil du temps, ce dernier deviendra théâtre des Arts puis théâtre Hébertot, du nom de celui qui l'a dirigé pendant trente ans : Jacques Hébertot. Ancien directeur de renom du théâtre des Champs Elysées de 1920 à 1924, il s'est efforcé tout au long de sa carrière de soutenir la mise en scène des textes de Giraudoux, Claudel, Mauriac, Cocteau ou Camus... C'est en décembre 1940 qu'il reprend boulevard des Batignolles, le théâtre des Arts, qui portera désormais le nom de théâtre Hébertot. C'est ici, qu'en décembre 1949, est donnée la première représentation des 'Justes' d'Albert Camus avec les talentueux Maria Casarès et Serge Reggiani. Jean Marais et Gérard Philipe marqueront eux aussi de leurs empreintes la scène du théâtre. Après la mort de
Jacques Hébertot en 1970, Simone Valère et Jean Desailly en assureront la direction : on y célébrera dès lors aussi bien Beckett que F. S. Fitzgerald, Charles Péguy et La Fontaine. Depuis