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Jours tranquilles à Paris
4 juin 2007

C'était le 4 juin 1989...Place Tian'anmen

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1 juin 2007

Jean-Claude Brialy

Les obsèques de Jean-Claude Brialy se dérouleront lundi après-midi.

A 15h30, en l'église de Saint Louis en L'île. Eglise située sur l'île saint Louis, à Paris.

Inhumation ensuite au cimetière Montparnasse à Paris.

Aucun photographe, ou cameraman admis dans l'église et au cimetière.

Il a été dit que la volonté de Jean-Claude Brialy est "une messe et une cérémonie d'une très grande simplicité, en présence uniquement de ses proches".

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France télévisions va rendre un hommage important à Jean Claude Brialy. Nombreuses déprogrammations jusque dimanche sur les différentes chaînes.

Sont prévus :

Vendredi 1 juin. A 23h40, diffusion sur France 3 du film "Le juge et l'assassin". De Bertrand Tavernier. Précédé d'un court métrage de Jean-Luc Godard.

Le juge et l'assassin ( avec Noiret - Galbru - Huppert ), synopsis selon Allociné : " Histoire inspirée d'un fait divers du XIXe siècle. Bouvier arpente la montagne, de victime en victime. S'il tue, c'est pour se venger de la société, comme le démontre le juge Rousseau."

Samedi 2 juin. Sur France 5 à 17h00, diffusion d'un documentaire : "Sur les pas de l'enfance" de Yanis Shebbi. Jean Claude Brialy retournait en Algérie.

Dimanche 3 juin. Théatre sur France 3 à 16h25. "L'illusionniste" de Sacha Giutry.

Dimanche 3 juin. "L'inspecteur Lavardin" diffusé en prime time sur France 3.

Dimanche 3 juin. A 23h10, sur France 2, film "Les innocents". D'André Téchiné. Synopsis selon Allociné : "Venue du Nord, Jeanne se rend à Toulon pour assister au mariage de sa soeur et rendre visite à Alain, son jeune frère sourd et muet. Elle fait la connaissance de Saïd, un jeune beur, amant de Klotz, un chef d'orchestre d'âge mur. Lorsque Alain disparaît, Stéphane, le fils de Klotz, qui sort du coma, aide Jeanne à le retrouver. Jeanne aime Saïd et Stéphane, mais une haine tenace sépare ces deux garçons..."

1 juin 2007

1er juin 1926 : naissance de Marylin Monroe

L'actrice américaine Marylin Monroe (1926-1962)

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Photo : Bert Stern

31 mai 2007

Adieu, le beau Serge !

Jean-Claude Brialy est décédé.

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Biographie

Fils de colonel, Jean-Claude Brialy vit son enfance au rythme des mutations paternelles. Après son baccalauréat, il s'inscrit d'abord au Conservatoire de Strasbourg où il obtient un premier prix de comédie, puis au Centre d'art dramatique de l'Est. En service militaire à Baden-Baden, il est affecté au service cinéma des armées, qui lui donne entre autres l'occasion de tourner dans son premier court métrage Chiffonard et Bon Aloi. Il sympathise aussi à cette époque avec plusieurs comédiens en tournée théâtrale, dont Jean Marais, qui l'encouragent dans sa vocation.

Débarqué à Paris en 1954, il se met très vite à fréquenter "la bande des Cahiers du Cinéma". C'est Jacques Rivette qui l'engage le premier dans son court métrage Le Coup du berger en 1956. Il tourne la même année L'Ami de la famille (Jacques Pinoteau), qu'il considère comme son premier vrai rôle, et multiplie les apparitions, notamment dans Ascenseur pour l'échafaud (1957, Louis Malle). La célébrité arrive en 1958 avec les deux premiers films de Claude Chabrol : Le Beau Serge et Les Cousins révèlent un acteur désinvolte et racé, qui emporte l'adhésion du public. Dès lors la Nouvelle Vague ne le lâche plus et Brialy tourne avec Jean-Luc Godard (1960, Une femme est une femme), François Truffaut (1967, La Mariée était en noir) ou encore Eric Rohmer (1969, Le Genou de Claire).

En 1971, il réalise son premier film, Eglantine, une évocation nostalgique de ses souvenirs d'enfance. Attaché à cette période de la vie, Jean-Claude Brialy décide de mettre également en images pour la télévision Les Malheurs de Sophie (1981) et surtout Un bon petit diable (1983), avec Alice Sapritch en marâtre.

Boulimique de travail, tournant plusieurs films par an à moins qu'il ne soit au théâtre, Jean-Claude Brialy touche à tous les genres. Bon copain dans Christine (1958, Pierre Gaspard-Huit) ou débordé par les femmes dans La Chasse à l'homme (1964, Edouard Molinaro) et Julie pot de colle (1977, Philippe de Broca), il sait cultiver une image d'amuseur élégant. Mais la gravité fait tout aussi bien partie de son jeu, qu'il exploite notamment dans les films noirs à la française comme Mortelle randonnée (1982, Claude Miller). Préférant la retenue à l'extravagance, Jean-Claude Brialy incarna souvent des personnages tendres devenant avec l'âge de plus en plus paternels, voire patriarches, à l'exemple de L'Effrontée (1986, Claude Miller) et La Reine Margot (1994, Patrice Chéreau).

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PARIS (AP) - Le président Nicolas Sarkozy a fait part de son "immense tristesse" après la mort de Jean-Claude Brialy, décédé mercredi à son domicile parisien à 74 ans, saluant "un humaniste gourmand et un mémorialiste inépuisable".

"Avec la disparition de ce grand comédien, ce grand acteur, mais aussi cet entrepreneur, réalisateur, directeur de salle et de festival, disparaît aussi un humaniste gourmand et un mémorialiste inépuisable, une sentinelle de la nuit, de la fête et de la poésie", déclare le chef de l'Etat dans un communiqué.

Pour Nicolas Sarkozy, l'interprète du "Beau Serge" de Claude Chabrol "aura incarné la Nouvelle vague et habité un demi-siècle de cinéma, imprégnant près de 200 films de sa générosité, son humour, sa finesse et sa légèreté", conjuguant "le cinéma d'auteur et le cinéma populaire".

"Par ses réalisations cinématographiques et télévisuelles, il aura mis sa passion de l'histoire et de la littérature au service du public le plus large", conclut le président. AP

3 mai 2007

Exposition et réédition pour les 20 ans de la mort de Dalida

Il y a 20 ans, Dalida mettait fin à ses jours à l'âge de 54 ans: cet anniversaire est célébré par une exposition à l'Hôtel de Ville de Paris, la sortie de coffrets CD et DVD qui lui sont consacrés ainsi que de plusieurs livres.

"Bambino", son premier tube en 1956, "Gondolier", "Come prima", "Les enfants du Pirée", "Darla Dirladada", "J'attendrai", "Paroles, paroles" (avec Alain Delon), "Gigi l'amoroso", "Il venait d'avoir 18 ans": en trente ans de carrière, la chanteuse a enchaîné les succès qui ont fait d'elle la figure emblématique d'une variété nimbée de kitsch et une icône populaire, réhabilitée au fil des ans.

Elle fera l'objet d'une exposition gratuite à l'Hôtel de Ville de Paris du 11 mai au 8 septembre.

"Dalida, une vie" est la première exposition majeure consacrée à la chanteuse populaire. Elle retracera le parcours de Yolanda Gigliotti, piquante brune couronnée Miss Egypte en 1954 et arrivée à Paris à Noël de la même année pour devenir ensuite Dalida, sirène blonde parée de strass.

La Ville de Paris présentera des objets et des images souvent inédits, robes de scène extravagantes, documents tirés des archives de l'INA ou extraits de films.

Le commissaire général de cette exposition est Jacques Pessis, spécialiste du music hall. Il a également supervisé l'élaboration du catalogue et de l'album de l'exposition, publiés aux éditions Chronique.

Par ailleurs, la carrière de la chanteuse est racontée dans le coffret de 8 DVD "Dalida, une vie". Présenté comme une "encyclopédie visuelle", il réunit près de 20 heures de musique et documents, avec 261 chansons filmées et 48 interviews ou reportages couvrant toute la carrière de Dalida. Le coffret est également disponible dans une version raccourcie de 3 DVD.

Autre coffret, mais cette fois-ci de 5 CD, "Dalida, les 101 plus belles chansons" réunit tous ses tubes.

Plusieurs livres paraissent autour de la chanteuse, écrits d'un point de vue "people": la biographie "Dalida, une vie brûlée" (ed. l'Archipel), que signe Bernard Pascuito, et "Dalida, tu m'appelais petite soeur..." (ed. Didier Carpentier), dans lequel Jacqueline Pitchal, une amie de l'artiste, révèle sa liaison avec François Mitterrand.

Le 3 mai 1987, le corps de Dalida était retrouvé inanimé à son domicile parisien du 18e arrondissement, sur la butte Montmartre: elle avait avalé un cocktail de barbituriques pendant le week-end du 1er mai, dans l'isolement de la magnifique demeure qu'elle habitait rue d'Orchampt à flanc de colline.

Sa mort survenait à un moment inattendu pour le public: quelques semaines auparavant, elle avait été saluée pour sa prestation dans "Le 6e jour", du réalisateur égyptien Youssef Chahine, une consécration de la part des intellectuels qui l'avaient toujours regardée avec un peu de condescendance.

Toute sa vie, Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire, fut partagée entre des sentiments contradictoires: une vie privée loin d'être heureuse et un destin public rayonnant, où elle donnait le change, incarnant avec aplomb une certaine futilité, parée de paillettes.

Marquée par trois suicides de proches (son ami le chanteur italien Luigi Tenco en janvier 1967, son mari Lucien Morisse, un homme-clé du showbiz français, en septembre 1970, son compagnon Richard Chanfray, alias "le Comte de Saint-Germain", en juillet 1983), Dalida avait déjà tenté de mettre fin à ses jours le 27 février 1967.

Vingt ans plus tard, elle y parviendra en laissant ces quelques mots: "la vie m'est insupportable. Pardonnez-moi".

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27 avril 2007

Le musicien russe Rostropovitch est mort

Le violoncelliste et chef d'orchestre Mstislav Rostropovitch est mort vendredi, à l'âge de 80 ans, a déclaré son porte-parole Natalia Dollejal. (AFP)


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24 avril 2007

Boris Eltsine

KOMSOMOLSKAÏA PRAVDA

Décès de Boris Eltsine, "l'homme qui a enterré le communisme" Le premier président de la Russie postsoviétique est mort le 23 avril à Moscou, à l'âge de 76 ans. Eltsine, en cédant la place à Vladimir Poutine en 1999, était devenu le seul dirigeant russe à avoir quitté le pouvoir de son plein gré. Sur le départ, il avait demandé à Poutine de "prendre soin de la Russie" et était resté très discret, "en faisant tout pour ne pas empêcher le travail de celui à qui il avait transmis le pouvoir", souligne le quotidien populaire pro-Poutine. C'est cette même retenue que lui reproche Vedomosti, un autre quotidien russe.

20 avril 2007

L'acteur Jean-Pierre Cassel est mort

L'acteur français est mort, jeudi, à l'âge de 74 ans, a indiqué son agent, vendredi, dans un communiqué. (AFP). Biographie de Jean-Pierre Cassel en cliquant ICI


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14 avril 2007

Il y a 21 ans...

1986 -- Décès de Simone de Beauvoir, femmes de lettres française.

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Simone de Beauvoir et Jean Paul Sartre

6 avril 2007

Décès du réalisateur italien Luigi Comencini

Vendredi 6 avril 2007, 13h10 

ROME (AP) - Le réalisateur italien Luigi Comencini est décédé à l'âge de 90 ans, a annoncé vendredi sa famille à l'agence ANSA. Il a succombé à une longue maladie.

Né en juin 1916 à Salo, en Lombardie (nord), Luigi Comencini était un des grands réalisateurs et scénaristes de la comédie italienne, avec des films comme "Pain, amour et fantaisie" (1953), avec Gina Lollobrigida et Vittorio de Sica.

Aux côtés de Mario Monicelli et Dino Risi, ainsi que la bande de leurs acteurs-fétiches, Marcelo Mastroianni, Nino Manfredi, Vittorio Gassman et Ugo Tognazzi, il fut l'un de ceux qui incarnèrent cette "comédie à l'italienne" à laquelle ils donnèrent ses lettre de noblesse, cette qu'on appela le "néoréalisme rose".

Dans un communiqué, le maire de Rome, Walter Veltroni, a rendu hommage à un "maître, l'un des grands et inoubliables réalisateurs de l'histoire du cinéma".

Après neuf années passées avec ses parents à Agen, en France, il avait étudié l'architecture à Milan, avant de devenir, avec son copain Alberto Lattuada l'un des fondateurs la Cinémathèque italienne, où il avait réuni les premiers fonds d'archives du cinéma italien.

Critique de cinéma à la fin de la guerre, il avait connu ses premiers succès grâce aux comédies "Pain, amour et fantaisie" et "Pain, amour et jalousie".

Egalement scénariste, le cinéaste s'était intéressé à l'enfance dès sa première réalisation, "Bambini in Citta" (1946), puis avec "Casanova, un adolescent à Venise" (1969), son adaptation de "Pinocchio", le bouleversant "L'incompris" (1967), ou encore "La Storia" (1986) avec Claudia Cardinale.

"Nous l'aimions, plus que tout, pour sa vision intense et délicate du monde de l'enfance", a ajouté Veltroni.

Il s'était aussi penché sur les drames sociaux comme la prostitution dans "Volets clos" (1951) et "La Traite des blanches" (1952). Dans "Un vrai crime d'amour" (1974), il narrait une histoire d'amour qui finit mal dans la Lombardie industrielle. Il s'était également essayé à l'adaptation littéraire avec "La ragazza" (1963), film dans lequel brillait la toute jeune Claudia Cardinale.

Luigi Comencini était le père d'une véritable tribu de cinéma, les réalisatrices Cristina et Francesca Comencini, et celui de la costumière Paola Comencini, auxquelles il passe le flambeau.

Voir les liens suivants sur ce blog :

http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2007/03/28/4436259.html#comments

http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2007/03/09/4254841.html#comments

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61753.html

http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=30015.html

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