Voir sa biographie en cliquant ICI

A 15h00 aujourd'hui : cérémonie en présence du Président de la République, au Mont-Valérien en hommage aux fusillées de la Seconde Guerre Mondiale et à l'abbé allemand Franz STOCK (60ème anniversaire de sa mort).

Cette commémoration me fait également penser au "Franciscain de Bourges", Alfred Stanke.

Biographie d'Alain Robbe-Grillet en cliquant ICI

Le premier souvenir que j'ai d'Alain Robbe Grillet est ce jeune réalisateur qui était venu discuter avec nous, alors adolescents, après la projection du film « L'année dernière à Marienbad » d'Alain Resnais. J'étais chez les Jésuites à Vannes, en Bretagne. C'était il y a bien longtemps.

Dans les années 70 j'ai de nouveau eu l'occasion d'approcher Alain Robbe Grillet à travers ses films : « Glissements progressifs du plaisir » en 1973, « Le jeu avec le feu » en 1974 et « La belle captive » en 1982.

"Pape du Nouveau Roman" j'ai lu quelques uns de ses livres dont « Le voyeur », le scenario de « Glissements progressifs du plaisir » (avec la belle Anicée Alvina qui nous a quitté si prématurément en novembre 2006), "la maison de rendez-vous", "Les demoiselles d'Hamilton" album photo préfacé par Alain Robbe-Grillet.

Beaucoup de souvenirs remontent à la surface à l'évocation d'Alain Robbe-Grillet. Voici quelques liens sur sa vie, son oeuvre :

Ses livres en cliquant ICI

Le "Pape" du Nouveau Roman en cliquant ICI

Selon EVENE en cliquant ICI

Henri Salvador est mort ce matin à l'âge de 90 ans. De "Syracuse" à "Zorro est arrivé" et "Jardin d'hiver" le chanteur a connu 60 ans de succès.

Je suis passé ce soir dans le quartier où résidait le SDF décédé récemment. Voir mon billet du 31 janvier en cliquant ICI. Je n'ai pas pu m'empêcher de filmer l'endroit où il vivait au contact direct avec les habitants du quartier et les passants.

Photo : "La Panse de l'Ours"

"Il habitait une petite boite en bois accrochée à la grille du parking au coin de la rue Saint Martin et de la rue Pernelle, juste à côté de la librairie Mona Lisait... On le remarquait à peine. Il souriait, émiettait des madeleines pour les oiseaux qui l'avaient adopté ainsi que tous les habitants du quartier. Les uns égayaient sa vie de leurs envolées et les autres s'occupaient de lui, qui d'un repas, d'un peu de tabac, d'un mot de réconfort. Il est mort il y a quelques semaines et la boite en bois a disparu remplacée par des motos qui, semble-t-il, n'attendaient que ça pour occuper ces deux mètres carrés de trottoir.

Je suis triste aujourd'hui."

Le texte ci-dessus est extrait du blog "La Panse de l'Ours". Ce SDF de la rue St Martin, je le croisais de temps à autre lorsque je sortais à Châtelet-Les Halles pour prendre le bus, rue de Rivoli, pour rentrer chez moi en prenant le chemin des écoliers. Je profite ainsi parfois de quelques heures de liberté pour aller voir une exposition dans ce quartier si animé. Nous sommes trés certainement des centaines à avoir remarqué ce SDF. Je n'ai jamais osé le prendre en photo dans sa boite qui lui servait de maison, alors voici une photo de "mon SDF" de l'Institut Pasteur.

En effet, je croise chaque matin un SDF qui "vit" sur le trottoir devant l'institut Pasteur (Rue du Docteur Roux). Nous sommes là aussi des centaines à passer devant lui chaque matin lorsque nous allons travailler. Un jour nous ne le verrons plus. Dans l'indifférence générale, il aura disparu... (Voir ma vidéo du 25 décembre 2007 en cliquant ICI.)

Photo JS

Le comédien Philippe Khorsand, révélé au grand public par la série TV "Palace" de Jean-Michel Ribes, est décédé ce matin à Paris, à l'âge de 59 ans, des suites d'une maladie, a-t-on appris auprès de son agent.

Philippe Khorsand (à gauche) dans la publicité MAAF. Cette saga, lancée en 2004 par Maaf, est une déclinaison de la série Palace, diffusée dans les années 80. Un client (Marcel Philippot) tente de coincer à tout prix le Directeur (Philippe Khorsand). Les spots ont même été confiés au réalisateur de Palace : Jean-Michel Ribes.

Libération d'Auschwitz

Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques découvrent le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Ils sont accueillis par 7.000 détenus survivants. Ce jour-là, le monde médusé découvre l'Holocauste dans toute son horreur. Dans le seul camp d'Auschwitz, où sévissaient 3.000 SS sous le commandement de Rudolf Hoess, on arrive en 1944 à exterminer et brûler les déportés au rythme de 600 par jour. Un médecin diabolique, Josef Mengele, s'est rendu célèbre en pratiquant dans ce camp des expériences insoutenables sur les déportés. Près de deux millions de personnes ont été tuées à Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale.

Dachau. Photo JS - mai 2004

ONU_adopte_une_resolution

La vie des Sonderkommando dure quatre mois, raconte le docteur Miklos Nyiszli, ancien Sonderkommando lui-même. Au bout de ces quatre mois, paraît une compagnie de SS qui ramasse tous les hommes du commando dans la cour arrière du crématorium. Une rafale de mitrailleuses, et une demi heure après arrive un nouveau Sonderkommando. Ils déshabillent leurs compagnons tués, et, au bout d'une heure, il n'en reste plus qu'un petit tas de cendres. Le premier travail de chaque Sonderkommando est l'incinération de son prédécesseur.

A 65 ans, le chanteur Carlos, fils de la psychanalyste Françoise Dolto, est mort jeudi matin des suites d’une longue maladie, a révélé la radio Europe 1. Source : Europe 1

L'ancienne première ministre pakistanaise Benazir Bhutto est morte, jeudi, des suites de ses blessures après un attentat suicide qui a visé un meeting dans la banlieue d'Islamabad, selon le porte-parole du ministère de l'intérieur. (AFP)

François Bayrou, président du MoDem - et agrégé de Lettres - a salué dimanche en Julien Gracq, mort la veille à 97 ans, "un des plus grands écrivains du dernier demi-siècle" dont l'œuvre était "comme un signe de reconnaissance entre les esprits et les générations". Il "vient de s'en aller avec la discrétion et la distinction qui étaient sa vraie nature", a déclaré à l'AFP l'ex-candidat à la présidentielle, rendant hommage à "une œuvre d'une haute exigence, un univers romanesque que nul ne peut oublier, une langue sans concession". "L'homme était à la hauteur de l'œuvre. Eperdument épris de liberté, regardant la gloire et les honneurs avec distance et réserve, il avait choisi de vivre dans sa petite ville de Saint-Florent-le-Vieil d'où il regardait le monde avec hauteur", a encore observé le député béarnais. "L'exigence de l'œuvre et la haute figure de l'homme méritent également notre reconnaissance", selon lui.

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