Libération de Strasbourg...
Le 23 novembre 1944, le général Leclerc libère Strasbourg #AFP pic.twitter.com/DGcTJelPqT
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Il y a 55 ans, le #22novembre 1963 : le président Kennedy assassiné à Dallas #histoire #JFK https://t.co/MrycZm9NFI pic.twitter.com/Q3uLqpnpm5
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Il y a 55 ans, le président américain John F. Kennedy était assassiné à Dallas. Le flash de l’AFP annonçant sa mort #AFP pic.twitter.com/O8cl8pSwiK
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20 novembre 1962 : Décès du capitaine de frégate Philippe Kieffer.
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Figure de la Marine nationale française pour avoir créé puis commandé le 1er Bataillon de fusiliers marins commandos, qui a combattu lors du débarquement de Normandie, il était Compagnon de la Libération. pic.twitter.com/UF3Ssg3YT8
Le submersible et ses quarante-quatre membres d’équipage gisent au fond de l’océan par 800 mètres de profondeur. Depuis septembre, les recherches étaient menées par une société privée américaine.
Les espoirs avaient sombré. Mais l’épave du sous-marin argentin San-Juan, disparu le 15 novembre 2017 avec ses quarante-quatre membres d’équipage, a été découverte vendredi 16 novembre dans l’Atlantique, a annoncé la Marine dans un communiqué.
« Le ministère de la défense et la marine argentine informent que l’investigation du point numéro 24 par [le navire mandaté pour les recherches] Ocean Infinity, à 800 mètres de profondeur, a permis la localisation positive de l’ARA San-Juan », selon l’annonce publiée sur Twitter.
Recherches menées par une société privée américaine
Depuis septembre, les recherches étaient menées par Ocean Infinity, une société privée américaine, qui devait les interrompre jusqu’au mois de février.
« Le bateau d’Ocean Infinity a décidé de faire une nouvelle recherche et grâce à Dieu, il a réussi à trouver la zone » où le submersible a sombré, a déclaré à la chaîne de télévision argentine Todo Noticias le porte-parole de la Marine Rodolfo Ramallo.
Fin 2017 et début 2018, des bâtiments d’une dizaine de pays avaient tenté de localiser le sous-marin, puis la Marine avait poursuivi les recherches avec de faibles moyens. « Maintenant, c’est un autre chapitre qui s’ouvre. A partir de l’analyse de l’état dans lequel se trouve le sous-marin, nous verrons comment nous procédons », a poursuivi le porte-parole.
Une activiste FEMEN face à la voiture de Trump, remontant les Champs Élysée, dénonçant l’hypocrisie de cette cérémonie du 11 novembre. pic.twitter.com/6n6216EdCf
— FEMEN (@Femen_France) 11 novembre 2018
#FEMEN faces #TRUMP car on the Champs Elysées in Paris to denounce this gangster party, faking to celebrate peace and end of WW1. #FEMEN believes that restoring world peace with those who are responsible for the ongoing wars is hypocritical. pic.twitter.com/9LfHNM3uJf
— FEMEN (@Femen_France) 11 novembre 2018
Trois militantes Femen ont tenté de forcer dimanche le dispositif de sécurité au passage du cortège officiel des commémorations du 11 novembre à Paris, au moment où la voiture du président américain Donald Trump remontait les Champs-Élysées, avant d'être interpellées, selon des sources concordantes.
Deux militantes seins nus sur lesquels étaient inscrits "Hypocrisy parad" et "Gangsta party" ont sauté par-dessus les barrières de sécurité au moment où la voiture de Donald Trump passait devant le public peu avant 11H. Une troisième militante positionnée un peu plus haut sur l'avenue a fait de même.
Toutes trois ont été interpellées, l'une sur la chaussée, les deux autres après avoir été bloquées par les forces de sécurité après les barrières, a indiqué à l'AFP la Préfecture de police.
"La France célèbre la paix avec cette cérémonie mais la moitié des chefs d'État invités sont responsables de la plupart des conflits dans le monde", a déclaré peu après à l'AFP une militante Femen présente sur place, Constance Lefèvre. La veille, trois militantes Femen s'étaient brièvement exposées seins nus sous l'Arc de Triomphe.
►WELCOME WAR CRIMINALS #FEMEN #Paris #WW1 #WW1centenary #Trump #TheBeast pic.twitter.com/IgXT1SYLgs
— AnonymousVideo (@AnonymousVideo) 11 novembre 2018
11-Novembre: des Femen forcent le passage du convoi de Donald Trump pic.twitter.com/POdI4Q7wVK
— BFMTV (@BFMTV) 11 novembre 2018
Le chef de l’Etat français et la chancelière allemande se sont rendus ensemble, ce samedi, à Compiègne, sur les lieux de l’armistice qui a scellé la fin de la première guerre mondiale.
Cent ans après la fin de la première guerre mondiale, Emmanuel Macron et Angela Merkel se sont retrouvés samedi 10 novembre à la clairière de l’armistice à Compiègne, dans l’Oise, au nord de la capitale. Le président et la chancelière sont réunis dans la clairière de Rethondes pour une cérémonie très symbolique, avant-dernière étape de l’« itinérance mémorielle » du chef de l’Etat avant la cérémonie du 11-Novembre à Paris.
C’est ici que le 11 novembre 1918 fut signé dans un wagon-restaurant l’armistice scellant la fin de la première guerre mondiale, qui fit 18 millions de morts. Cachée en pleine forêt de Compiègne, la clairière de Rethondes avait été choisie par le généralissime des armées alliées, Ferdinand Foch, pour abriter les négociations en raison de son calme et de son isolement. Elle est située au bout d’une « allée triomphale » inaugurée en 1922, que remontent les présidents français lors des cérémonies commémoratives.
Le « wagon de l’armistice », où Adolf Hitler avait également fait signer l’armistice du 22 juin 1940, a été emporté par les Allemands et utilisé à des fins de propagande, avant d’être détruit en avril 1945. Une réplique du wagon a été installée depuis 1962 dans un bâtiment musée qui attire 70 000 visiteurs par an.
« Un déplacement hautement symbolique »
Le palais de l’Elysée relève que « c’est la première fois depuis 1945 » que le président français et le chef du gouvernement allemand se rencontrent dans la clairière de l’Armistice. « C’est un déplacement hautement symbolique, il s’agit du premier déplacement franco-allemand » sur le site depuis la seconde guerre mondiale, insiste-t-on à l’Elysée.
Compiègne, « c’est le lieu de la revanche, ce sera le lieu de l’ultime réconciliation si besoin était », ajoute la même source. « On est dans les pas du chancelier Helmut Kohl et du président François Mitterrand », veut-on croire au palais, qui étaient apparus main dans la main en 1984 à Verdun.
Après un passage en revue des troupes de la brigade franco-allemande, le dévoilement d’une plaque commémorative et le dépôt d’une gerbe commune, les deux dirigeants ont signé le livre d’or dans le wagon où ont été signés l’armistice du 11 novembre 1918 puis celui du 22 juin 1940.
La cérémonie a été voulue « sobre et sans discours », selon une source proche de l’organisation de la cérémonie. Malgré l’absence de prise de parole officielle, le président français et la chancelière allemande ont ensuite discuté avec un groupe de jeunes. M. Macron leur a dit la nécessité, selon lui, d’être « à la hauteur » de ce que clamaient les contemporains de la Grande guerre : « Plus jamais ça ! ».
Il faut « ne rien céder aux passions tristes, aux tentations de la division », a déclaré le président français, répétant son message politique en faveur de plus de coopération dans une Europe où les électeurs se tournent de plus en plus vers des courants hostiles à l’intégration européenne.
11 novembre à l’arc de Triomphe
Les deux dirigeants se retrouveront ensuite dimanche pour la traditionnelle cérémonie du 11-Novembre sous l’arc de Triomphe à Paris en présence d’une soixantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont Vladimir Poutine et Donald Trump. La chancelière allemande ouvrira dans l’après-midi la première édition du « Forum pour la paix », « un geste symbolique qui témoigne de la réconciliation et de l’amitié franco-allemande » selon l’Elysée.
Dans la soirée, les Macron, Trump, Merkel, et plusieurs autres dignitaires se retrouveront au Musée d’Orsay à Paris, pour une visite de l’exposition consacrée à Picasso et un dîner protocolaire sur place, avant la grande cérémonie de dimanche matin sous l’arc de Triomphe en présence de plusieurs dizaines de chefs d’Etat et de gouvernement, point d’orgue des commémorations.
"Sous le pont Mirabeau coule la Seine
— France Culture (@franceculture) 9 novembre 2018
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine." Apollinaire récite son poème "Le Pont Mirabeau". Dans ce document sonore exceptionnel, vous entendrez vibrer l'émotion du poète, mort il y a juste 100 ans. pic.twitter.com/XzmaeFSrqc