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Jours tranquilles à Paris
13 novembre 2017

In memorem : Le Bataclan il y a deux ans...

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12 novembre 2017

Les plus belles photos des #archives de

Les plus belles photos des #archives de @ParisMatch_magazine- # 1961 - Au château de la marquise de #Pompadour , portrait du #ShahdIran et de son épouse l'impératrice d' # Iran #FarahDiba .Photo: Jack Garofalo / #ParisMatch

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohammad_Reza_Pahlavi

https://fr.wikipedia.org/wiki/Farah_Pahlavi

9 novembre 2017

Charles de Gaulle - in memorem

9 novembre 2017

Mai 68 : Macron ne s’interdit rien

LIBERATION

Commémorer les événements ayant secoué la France gaulliste il y aura bientôt cinquante ans ? L’hypothèse circule dans l’entourage du Président. Avec, en creux, l’idée de n’en retenir que l’aspect «rupture» et changement d’époque. Laissant de côté la revendication sociale

Mai 68 : Macron ne s’interdit rien

Laurent Wauquiez a failli s’étouffer en apprenant la nouvelle. Le président de la République songerait à commémorer le cinquantenaire de Mai 68. Selon l’Opinion, qui a révélé l’info le 18 octobre, Emmanuel Macron souhaite donner à l’événement «une dimension internationale», en prenant en compte les mouvements protestataires qui ont déferlé en Europe et aux Etats-Unis cette année-là. Autre son de cloche dimanche dans le JDD, l’hebdomadaire affirmant que le chef de l’Etat a finalement décidé de ne rien faire pour l’occasion. Christophe Castaner, plus prudemment, confirme à Libération que «l’anniversaire des cinquante ans de Mai 68 fait partie des événements sur lesquels l’Elysée travaille». Un historien spécialiste de l’histoire contemporaine nous a d’ailleurs confié avoir été contacté par un conseiller d’Emmanuel Macron à ce sujet. «C’est dans les tuyaux, c’est sûr», veut-il croire. Histoire de ne froisser personne, le porte-parole du gouvernement et prochain patron d’En marche s’empresse de rappeler que «le Président étant né presque dix ans après 68, il est de ceux qui peuvent revenir sans dogmes ni préjugés» sur ce sujet à haut potentiel inflammable. Et de préciser que l’idée est de «réfléchir sur ce moment et en tirer des leçons qui ne soient pas partisanes, mais qui s’intéressent aux impacts dans les mentalités actuelles»

S’il venait à fêter ce pan de l’histoire française, Emmanuel Macron ferait en premier lieu de l’œil à la gauche. «C’est un sujet clivant, qui marque les camps», analyse l’historien Jean Garrigues. Surtout depuis que Nicolas Sarkozy a lancé «l’offensive idéologique de la droite pour tourner le dos à 68». En 2007, le candidat à l’élection présidentielle avait ainsi promis de régler leur compte aux «héritiers de Mai 68», coupables d’avoir «imposé l’idée que tout se valait, qu’il n’y avait donc désormais aucune différence entre le bien et le mal, aucune différence entre le vrai et le faux, entre le beau et le laid». Et Sarkozy d’ajouter devant un auditoire de droite conquis par la charge : «Dans cette élection, il s’agit de savoir si l’héritage de Mai 68 doit être perpétué, ou s’il doit être liquidé une bonne fois pour toutes.» Depuis, Mai 68 est un repère par rapport auquel il faut se situer. «Avec la commémoration, Macron est donc dans une réévaluation des événements et s’inscrit dans une culture de gauche, explique Jean Garrigues. A l’inverse, être contre permet de s’identifier à une culture de droite décomplexée.» C’est précisément ce qui se rejoue avec Laurent Wauquiez. «Mai 68, c’est "il est interdit d’interdire", c’est au fond le début de la déconstruction», a pointé le candidat à la présidence de LR, qui préférerait, lui, fêter Austerlitz, Valmy ou l’appel du 18 juin

Pente libérale

Dans Mai 68, Emmanuel Macron risque fort de louer la naissance de la modernité. «Ce qui retient surtout l’attention de Macron, au-delà de la révolte, c’est l’idée de l’ouverture sur une nouvelle société, l’idée d’un ancien monde qui a été balayé. C’est une période de transformation culturelle, sociale et politique qui fait écho dans son esprit au projet qui est le sien», analyse Jean Garrigues. Un Chaban-Delmas ou un Giscard, pas les premiers des gauchistes, avaient d’ailleurs su tirer des leçons de cette période, rappelle l’historien

Derrière l’aspect libertaire, se cacherait même une pente libérale. Comme si c’était la destruction des valeurs traditionnelles qui avait permis de plonger dans la société de consommation. Nicolas Sarkozy, en 2007, osait d’ailleurs affirmer que Mai 68 avait «préparé le terrain au capitalisme sans scrupule et sans éthique», aux «parachutes en or» et aux «patrons voyous». Dans une tribune publiée le 25 octobre sur le Figaro.fr, Maël de Calan, candidat à la présidence de LR, représentant d’une droite plus modérée, n’écrit pas autre chose. «Sur le plan économique, l’esprit de 68 a favorisé l’essor de la consommation de masse. Il fallait "jouir sans entrave" : une société de consommation et de loisirs allait ainsi définitivement supplanter une société de privation et de travail.»

«Avec Mai 68, Macron peut se retrouver à la fois sur les avancées sociétales mais aussi sur l’idée d’épanouissement de la liberté individuelle, qui peut se rapprocher de la liberté d’entreprise, laquelle fait partie du projet macronien», poursuit Jean Garrigues. De cet événement, il tire donc une lecture qui oppose la modernité à la tradition, les progressistes aux conservateurs. «Dans sa volonté de gommer le clivage gauche-droite, on peut penser qu’il va ne retenir de l’histoire que le côté le plus plat et le moins politisé de Mai 68», appuie Julie Pagis. Chercheuse en sociologie politique et auteure du livre Mai 68, un pavé dans leur histoire, elle parie que Macron va «célébrer un versant des événements, la version pacifiée du joli mois de mai, en oubliant que le marxisme était l’horizon politique de la majorité des participants». Une interview du Président, accordée en 2015 à l’hebdomadaire le 1, a tendance à lui donner raison. Celui qui était encore ministre de l’Economie louait «l’autre voie de 1968», «en marge des structuralistes et des soixante-huitards», empruntée par le philosophe Paul Ricœur, dont il fut un temps l’assistant et qu’il n’a de cesse de convoquer.

«Il va sans doute s’appuyer sur des figures médiatiques comme Cohn-Bendit, ces libéraux libertaires qui ont troqué leur col Mao pour le Rotary Club, et qui s’excusent d’avoir été de jeunes gauchistes, ceux qui s’accaparent les événements et laissent dans l’ombre la très grande majorité des participants qui croient encore à la nécessité de changer l’ordre social», prédit Julia Pagis. Rien de très inédit. Car on voit Mai 68, agrégat de revendications parfois opposées, comme on en a envie. Le réalisateur Romain Goupil, à l’époque militant à la JCR (Jeunesse communiste révolutionnaire) et figure des Comités d’actions lycéens (CAL), explique ainsi être «quasi incapable de dire ce qu’a été Mai 68». «Je n’ai pas le même Mai 68 à raconter que des étudiants de Nanterre. Il n’y a pas d’histoire officielle.» Puisqu’il est interdit d’interdire, pas question pour lui de se battre contre les projets présidentiels. Il se contente d’en sourire. «Qui suis-je pour dire quelque chose ? Je ne suis ni gardien ni propriétaire.» Qui, d’ailleurs, peut revendiquer Mai 68 ? «On va prendre quelle date ? Quel lieu ? Quel objet ? On va faire quoi ? Déposer une gerbe devant ceux qui voulaient la dictature du prolétariat ? C’est absurde.» Henri Weber, autre figure de 68, juge au contraire qu’une célébration serait «une excellente idée». Passé de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) au PS au tournant des années 80, l’ex-eurodéputé pense d’ailleurs que «la gauche» doit faire une commémoration autonome. «Si Macron veut occulter le côté social, on lui rappellera. Il faudra dire que ce n’était pas seulement un mouvement de la jeunesse.»

«De la com»

«Il y a toujours des sous-entendus politiques dans une démarche commémorative, relativise Jean Garrigues. C’est […] une manière de sculpter sa propre image.» Bien avant Macron, Mitterrand s’est par exemple servi du bicentenaire de la Révolution française, en 1989, pour restaurer l’idée de grandeur de la France. Selon l’historien, les commémorations ont au moins le mérite de relancer le débat historique. «Ça donne une place importante à l’événement dans l’histoire de la nation, abonde Julie Pagis. C’est une façon d’entretenir la mémoire.» Mais seulement quand la démarche émane d’associations ou de chercheurs. «Au niveau d’une présidence, on peut craindre que ce ne soit que de la com. Ça risque de refroidir la chose, de clore les débats.» Et de muséifier ce mois de mai. «68, c’est quelque chose de diffus, de continu, rappelle pourtant Romain Goupil. Pour moi, le vrai bilan, c’est sur l’évolution des rapports hommes-femmes. Et quand on voit le phénomène "Balance ton porc", on se dit que ce n’est pas fini. Cinquante ans après, il y a encore du chemin. Donc c’est l’anniversaire de quoi ? Rien n’est acquis.»

Charlotte Belaich

9 novembre 2017

Commémoration du 28e anniversaire de la chute du mur de Berlin dans Paris 15

La commémoration du 28e anniversaire de la chute du mur de Berlin aura lieu place du 9 novembre 1989 (Porte de Versailles) le 9 novembre 2017.

En présence de Philippe Goujon, Maire du 15e, de Catherine Lalumière, ancienne Ministre, Présidente de la Maison de l’Europe de Paris et d’Hermano Sanches Ruivo, Conseiller de Paris chargé des questions relatives à l'Europe, ainsi que de Monsieur Georg Felsheim, ministre et chef du service politique de l’Ambassade d’Allemagne, des élèves berlinois et français interprèteront l'Hymne à la Joie a capella.

Une gerbe de fleurs sera déposée en souvenir devant le pan du mur.

Enfin, 15 élèves de terminale option musique du lycée franco-allemand de Buc interpréteront des reprises de Nation de Tibz et Wind Of Changes de Scorpions, en version vocale et instrumentale.

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7 novembre 2017

La Russie...

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31 octobre 2017

ANNIVERSAIRE : Helmut Newton, né Helmut Neustädter, le 31 octobre 1920, à Berlin

 

ANNIVERSAIRE : Helmut Newton, né Helmut Neustädter, le 31 octobre 1920, à Berlin et mort le 23 janvier 2004, à Los Angeles, est un photographe australien d'origine allemande. Il est connu pour ses photographies de mode et de nus féminins. 

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29 octobre 2017

L'image vintage du week-end : Catherine Deneuve et Yves Saint Laurent en 1966

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Plus de 40 ans d'amitié unissait Catherine Deneuve et Yves Saint Laurent. Deux légendes françaises qui se sont rencontrées en 1965 pour ne plus se lâcher dès le tournage de "Belle de jour". La preuve en image.

1966, Catherine Deneuve a tout juste 23 ans et se révèle en jeune première du cinéma français. Face à elle, Yves Saint Laurent, créateur de génie à la timidité extrême. Ce qui les réunit ? Le film Belle de jour de Luis Buñuel dans lequel la jeune fille incarne une épouse en proie à une double vie. Le designer de 30 ans signe, quant à lui, tous les costumes du long-métrage, à la demande de l’actrice tombée sous le charme de ses créations l’année précédente. De là naît une véritable relation d’amitié. Tous deux pudiques à leur manière, Catherine Deneuve et Yves Saint Laurent deviennent alors un duo incontournable. Au premier rang des défilés, lors d’essayages en boutique, dans les soirées de la capitale… Chaque retrouvaille est unique comme le confiera encore l’actrice des décennies plus tard. Pour preuve de ce lien indéfectible, un shooting des deux oiseaux de nuit dans l’œil d’Helmut Newton en 1981 pour fêter les 20 ans de carrière d’Yves Saint Laurent. Une amitié que les deux ne cesseront de louer. "Ma plus belle histoire d’amour c’est vous", saluera Catherine Deneuve en janvier 2002 lors du défilé anniversaire des 40 ans de création d’Yves Saint Laurent.

Crédit image : Alain Nogues / Sygma / Getty images

29 octobre 2017

Niki de Saint Phalle

http://jourstranquilles.canalblog.com/tag/niki%20de%20saint%20phalle

24 octobre 2017

In memorem : Christian Dior

 

Le 24 octobre 1957, disparaissait Christian Dior. Après avoir ouvert une galerie d'art à Paris (1928), il devient modéliste pour la maison de couture de Robert Piguet. En 1946, il crée sa propre maison : "Dior" dont le premier défilé révolutionne l'univers la mode. Les Arts Décoratifs célèbrent les 70 ans de la prestigieuse maison de couture avec l'exposition "Christian Dior, couturier du rêve", à découvrir jusqu'au 7 janvier 2018. #CeJourLà



328 Likes, 6 Comments - Ministère Culture Com (@ministerecc) on Instagram: "Le 24 octobre 1957, disparaissait Christian Dior. Après avoir ouvert une galerie d'art à Paris..."

 

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