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Jours tranquilles à Paris
28 novembre 2014

On vote à l'UMP...

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25 novembre 2014

La France reporte "jusqu'à nouvel ordre" la livraison du premier navire Mistral à la Russie

Dans un communiqué diffusé mardi 25 novembre, l'Elysée annonce que la France ne peut toujours pas livrer le premier navire Mistral à la Russie, en raison de la situation dans l'est de l'Ukraine. Les autorités françaises avaient annoncé qu'elles prendraient leur décision avant fin novembre.

 

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7 novembre 2014

Nicolas Sarkozy, en meeting à Paris, veut bâtir un "parti de la France", tendu vers la République

UMP - Nicolas Sarkozy entend "tout remettre à plat" à l'UMP, mouvement fourbu dont il brigue la présidence, pour bâtir "le parti de la France", qu'il veut rassembleur, ouvert au débat et tendu vers "la République". "République". Un mot qu'a martelé près de 80 fois l'ex-chef de l'Etat vendredi lors de grand meeting parisien, au Palais des expositions de la Porte de Versailles. Cette République, a-t-il dit, est incompatible avec le communautarisme. Dans cette République, "il n'y a qu'une seule communauté qui vaille, c'est la communauté nationale". Multipliant les références à de Gaulle, l'ex-chef de l'Etat a parlé Nation, identité, laïcité, fermeté, refus de l'assistanat, tout au long de ce dixième meeting de campagne, devant un public conquis. 2700 places assises, toutes occupées, des entassements dans les allées latérales: ils étaient 5000, selon les organisateurs à applaudir leur champion, favori du scrutin UMP par Internet du 29 novembre dans lequel il affronte les ex-ministres Bruno Le Maire et Hervé Mariton.

Bernadette Chirac ovationnée

Dans les premiers rangs, deux de ses ferventes supportrices, Bernadette Chirac –"grande dame" qu'il a fait ovationner– et son épouse, Carla Bruni-Sarkozy. Autour d'elles, outre le porte-parole, Gérald Darmanin, une forte délégation de la turbulente droite parisienne, de la députée Nathalie Kosciusko-Morizet au sénateur Pierre Charon. Et aussi des fillonistes qui le soutiennent pour reprendre l'UMP, Eric Woerth ou Valérie Pécresse, et ses inconditionnels, Patrick Balkany et Nadine Morano. Dans un discours de cinquante minutes où l'on reconnaissait la patte d'Henri Guaino, présent dans la salle, Nicolas Sarkozy a détaillé les facettes de "sa" République, sans cesse opposée à la vision de l'exécutif de gauche, jamais nommé, toujours désigné comme responsable de la "France qui sombre". La République, c'est "la souveraineté du peuple", c'est "le recours au référendum", et "quand on délaisse la pratique référendaire, on abandonne une partie de la République", a lancé Nicolas Sarkozy. La République "réclame l'assimilation", elle "est incompatible avec l'assistanat". Ceux "qui n'éprouvent pas la fierté d'être français", ceux-là "abîment la République!", a-t-il martelé. A François Hollande qui avait ironisé jeudi soir sur TF1 sur sa soif de candidature, Nicolas Sarkozy a rétorqué, sans nommer le président, que le mot République signifie pour lui "le refus de la mise en scène de l'impuissance de la politique, comme celle que les Français ont vue hier soir".

Il ne se dévoile pas pour 2017

Mais pour lui, il ne faut pas confondre les échéances: "à ceux qui attendraient que je dévoile mes intentions pour l'élection présidentielle de 2017, je veux dire: chaque chose en son temps", a déclaré l'ex-chef de l'Etat. C'était, selon son entourage, "un moment important de la campagne" dont l'enjeu semble être l'ampleur de sa victoire. Ses amis tablent sur environ 65%. Les plus récents sondages ont cependant montré un net recul de sa cote de popularité, y compris parmi les sympathisants de droite. "Le pire pour Sarkozy serait de faire un score de maréchal", veut convaincre un de ses amis députés, conscient que son champion n'est pas en mesure d'égaler son score de 2004, quand il avait pris le parti pour la première fois avec 85%. Nicolas Sarkozy s'est contenté de dire qu'il voulait faire émerger une "grande formation politique moderne qui ne sera pas qu'une force d'opposition, mais de proposition, d'imagination". En revanche pas de détail sur les changements qu'il souhaite (nom, organisation, fonctionnement), pour remettre en ordre un parti divisé, entaché par l'affaire Bygmalion et ses six mises en examen dont un proche de Nicolas Sarkozy, Éric Cesari. "Le vote sera notre mode de fonctionnement", a-t-il simplement assuré. Prochain but: aborder en force les élections de 2015, départementales en mars, régionales de décembre. Des victoires conforteraient Nicolas Sarkozy dans ses ambitions pour la suite : gagner l'investiture de son camp en vue de 2017. Ce qui passera, a-t-il redit, par des primaires. "Quand on prend le parti, on a le micro, la lumière, les finances et les investitures. Ça aide à fabriquer son armée", résume l'un de ses amis. Source : Site Huffingtonpost

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6 novembre 2014

Hollande lance la seconde partie de son quinquennat

Le chef de l’État tentera de défendre son bilan à mi-mandat, ce soir, lors d’une émission spéciale sur TF1 et RTL . Il devrait annoncer de « nouveaux chantiers ».

Au plus bas dans les sondages, François Hollande cherche à renouer un lien direct avec les électeurs. Après France 2 , en 2013, il a opté pour un média privé et populaire. Il répondra en direct aux questions de trois journalistes – Gilles Bouleau et Thierry Demaizière ( TF1 ), avec la participation d’Yves Calvi ( RTL ) – et de quatre Français « qui incarnent chacun les grandes questions liées à la crise », selon TF1 . L’émission aura lieu dans un studio de la plaine Saint-Denis, loin des dorures de l’Élysée. Une nouveauté : François Hollande répondra ensuite à cinq questions d’internautes posées sur le site de la chaîne. Cet exercice

« face aux Français »

doit permettre au chef de l’État de retrouver cette proximité qu’il prétendait incarner lors de son élection. Sur le fond, le Président évoquera la politique de la ville, les jeunes, les crispations de la société et s’emploiera à donner du sens aux efforts réclamés aux Français. Quel sera l’impact de l’émission ? Assez limité, prévoient déjà les observateurs. François Hollande réussira peut-être à corriger son image, mais il aura du mal à contrebalancer ses mauvais résultats économiques. Englué dans une impopularité sans précédent, il lui faut désormais trouver la bonne formule pour tenter de rebondir et donner du sens à la seconde moitié du quinquennat. D’après son entourage, le chef de l’État

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10 octobre 2014

Juppé préféré à Sarkozy pour la primaire UMP

SONDAGE - Selon une enquête LH2 pour Le Nouvel Observateur, Alain Juppé est pour la première fois en tête des intentions de vote des personnes comptant participer à la primaire UMP pour 2017. Le maire de Bordeaux est en hausse de 15 points en trois mois et passe devant Nicolas Sarkozy (47% contre 35%).

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4 octobre 2014

Bygmalion ? Connais pas...

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4 octobre 2014

Bygmalion....l'UMP dans la tourmente

#BYGMALION Les trois ex-cadres de l'UMP interpellés dans l'enquête sur l'affaire Bygmalion ont passé une nouvelle nuit en garde à vue. Ce matin, ils ont été transférés au pôle financier de la police parisienne pour une éventuelle mise en examen.

71579793Le siège de l'UMP, rue de Vaugirard

3 octobre 2014

Gérard Larcher élu président du Sénat

L'UMP Gérard Larcher succède au socialiste Jean-Pierre Bel et retrouve une fonction qu'il avait déjà occupée de 2008 à 2011. L'UMP Gérard Larcher a été élu mercredi dernier président du Sénat, obtenant la majorité absolue des voix au deuxième tour de scrutin. Dans la foulée de la victoire de la droite dimanche, Gérard Larcher a obtenu 194 voix sur 337. Il succède au socialiste Jean-Pierre Bel et retrouve une fonction qu'il avait déjà occupée de 2008 à 2011. Gérard Larcher a devancé le socialiste Didier Guillaume (124 voix) et la communiste Eliane Assassi (18 voix). Une voix s'est portée sur l'UMP Philippe Marini, qui n'était pas candidat. L'ancien ministre du Travail, âgé de 65 ans, a bénéficié du désistement du centriste François Zocchetto, qui avait obtenu 45 voix au premier tour. Gérard Larcher avait remporté haut la main mardi les primaires de son parti face à l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. "Il faut donner au Sénat plus de force, plus de voix, montrer que le bicamérisme est indispensable à l'équilibre de nos institutions", a déclaré Gérard Larcher à l'issue de son élection. Le président du Sénat, élu pour trois ans, est considéré comme le deuxième personnage de la République, dans la mesure où il assure l'intérim du chef de l'État en cas de vacance ou d'empêchement.

1 octobre 2014

Politique

chirac juppé

30 septembre 2014

Bernadette Chirac juge Alain Juppé « très très froid »

L’épouse de l’ancien président de la République, Jacques Chirac, a choisi son poulain pour 2017. Fervente supportrice de Nicolas Sarkozy, Bernadette Chirac a discrédité, hier, son principal rival à l’UMP dans la course à l’Élysée. « Alain Juppé est très très froid; il n’attire pas les gens, les amis, les électeurs éventuels. » Le maire de Bordeaux lui a aimablement rappelé que Jacques Chirac le qualifiait encore récemment de « meilleur d’entre nous ». Ironie de l’actualité, l’ancien ministre des Affaires étrangères a reçu, hier, le Grand prix de l’humour politique pour cette petite phrase : « En politique, on n’est jamais fini. Regardez-moi ! » Prémonitoire ?

 

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