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Jours tranquilles à Paris
20 mars 2014

François Bayrou ne sera pas candidat en 2017

Le président du MoDem, candidat à la mairie de Pau, a affirmé sur Europe 1 , qu’il « n’envisageait pas de se présenter à l’élection présidentielle » de 2017, ni aux législatives ni aux élections européennes. Le député européen et vice-président du MoDem, Robert Rochefort, a déclaré, hier, sur France 2 que la formation centriste pourrait apporter son soutien àAlain Juppé (UMP) si ce dernier était candidat à l’élection présidentielle en 2017. François Bayrou avait été candidat à la présidentielle en 2007 et 2012.

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4 février 2014

POLITIQUE : Le gouvernement reporte son projet de loi famille

Échaudé par le débat sur le mariage gay, le gouvernement a décidé de s’épargner un nouveau sujet de division. Le texte sur la famille, qui devait être examiné par le Parlement au printemps, attendra.« Le gouvernement ne présentera pas de projet de loi famille cette année », aindiqué Matignon, hier après-midi. Motif :« Les travaux préparatoires doivent se poursuivre ». Le succès de la Manif pour tous, qui a mobilisé plusieurs milliers de personnes dimanche, n’est pas étranger à cette révision du calendrier. Najat Vallaud-Belkacem l’a reconnu :« Le gouvernement, en se donnant le temps d’élaborer ce projet de loi famille, crée les conditions de sérénité et de concertation indispensables, a dit la porte-parole du gouvernement.Il confirme la logique de rassemblement des Français poursuivie depuis vingt mois. » La future loi sur la famille veut adapter le droit à l’évolution des familles en reconnaissant notamment la place des tiers dans l’éducation des enfants. La procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA) en seront écartées.« Le gouvernement s’opposera aux amendements sur ces sujets-là », avait insisté Manuel Valls, hier matin sur RTL . Une information confirmée par Matignon en milieu de journée.

« Victoire » ou « capitulation »

Une position qui a eu le don d’irriter Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée. Réagissant aux déclarations« prématurées » du ministre de l’intérieur, il l’a aussitôt invité à respecter« la règle du jeu » entre l’exécutif et le Parlement.« Je ne renonce à aucune ouverture de nouveaux droits pour les enfants de notre pays », a ajouté l’élu de SeineSaint-Denis, auteur en 2012 d’un amendement autorisant la PMA pour les couples de lesbiennes dans le projet de loi sur le mariage. Manière de dire, pour le patron des députés socialistes, que ses troupes ne se laisseraient pas museler.« Le droit d’amendement est un droit constitutionnel et si on voulait en user on en userait », a aussi prévenu le porte-parole du groupe, Thierry Mandon. Une prudence de langage dont les écologistes ne s’embarrassent pas : ils ont confirmé hier leur ferme intention de déposer un amendement sur la PMA. En essayant d’éteindre l’incendie sur sa droite, le gouvernement en a vu un autre s’allumer sur sa gauche. Pour éviter le désordre dans ses rangs, Matignon s’est donc résigné à retarder son projet.« Une décision sage et bienvenue, les conditions d’un débat apaisé n’étaient pas réunies », a commenté Christophe Caresche, député PS.« Jean-Marc Ayrault a pris la bonne décision. Respecter consultations engagées, ne pas céder aux ultras, fixer notre calendrier », a tweeté Bruno Le Roux. À gauche, ce report ne fait pas que des heureux.« C’est un abandon en rase campagne qui ressemble fort à une capitulation », peste Noël Mamère.« Avec le PS, la droite est cajolée, le Medef admiré, l ’église choyée. La gauche est trompée, répudiée », accuse Jean-Luc Mélenchon. À droite, au contraire, on savoure cette reculade :« C ’est une belle victoire », se félicite Yannick Moreau, député UMP de Vendée. Article de Thierry RICHARD.

24 janvier 2014

Aujourd'hui François Hollande était au Vatican

24 janvier 2014

Aujourd'hui François Hollande est au Vatican

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pape internet

la croix

20 janvier 2014

Qu'est ce que l'IFRI ?

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L’Institut français des relations internationales (IFRI) est en France le principal centre de recherche et de débat indépendant consacré à l’analyse des questions internationales.

En 2011, pour la quatrième année consécutive, l’Ifri est le seul institut de recherche français classé parmi les 50 premiers « think tanks » les plus influents dans le monde, hors États-Unis, et occupe le 3e rang en Europe selon le dernier « Global Go-To Think Tanks » de l'Université de Pennsylvanie qui porte sur 6 480 instituts implantés dans 169 pays.

Inspiré du modèle anglo-saxon, l’Ifri, premier think-tank ou « laboratoire d’idées » français,s’est affirmé dans la durée, depuis sa création en 1979 par Thierry de Montbrial. Part intégrante du réseau des plus grands think-tanks internationaux, l'Ifri a pour mission de réunir acteurs et analystes de la vie internationale et de mener une réflexion libre et approfondie sur les grands enjeux contemporains.

Il a ainsi vocation à :

  • développer la recherche appliquée dans le domaine des politiques publiques à dimension internationale ;
  • favoriser le dialogue et une interaction constructive entre chercheurs, praticiens et leaders d'opinion.

Indépendant de toute tutelle administrative, l'Ifri n'est affilié à aucun parti politique. Attaché à son indépendance politique et intellectuelle, l'institut a opté pour une diversification de ses sources de financements publics et privés. Avec un budget de l'ordre de 6,5 millions d'euros dont environ 70 % d'origine privée, l'Ifri a pu, malgré les contraintes imposées par la crise économique mondiale, rester fidèle à son indépendance et à sa vocation.

l’Ifri réunit environ 60 personnes dont une trentaine de chercheurs français et étrangers de multiples horizons. Plus de la moitié d’entre eux ont moins de 40 ans. Les pôles de recherche se structurent en axes régionaux (Europe, Russie, CEI, Asie, Moyen-Orient, Afrique, États-Unis) et en axes transversaux (sécurité et questions stratégiques, énergie, espace, économie internationale, migrations, les questions de santé et d'environnement) travaillant en synergie et en transversalité.

Outre ses travaux de recherche, L'Ifri réunit chaque année des conférenciers de renom du monde entier qui apportent, dans un cadre informel et non partisan un décryptage précieux et riche des questions internationales. L'institut organise une quarantaine de conférences par an à Paris (42 en 2011). Ainsi, l'Ifri accueille chaque année plus de 10 000 participants à ses manifestations.

Parmi ses invités ces dernières années, on citera notamment Nicolas Sarkozy, Dmitri Medvedev, Hu Jintao, Jalal Talabani, Hamid Karzaï, Vladimir Poutine, Mikhaïl Saakachvili, Abdoulaye Wade, Vaclav Klaus, Pervez Musharraf, Abdullah Gül, Boris Tadic, Viktor Ianoukovitch, Paul Kagamé, Herman Van Rompuy, José Manuel Barroso, Anders Fogh Rasmussen... Source Wikipedia

Le site de l'IFRI

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15 janvier 2014

La presse française salue un président "libéré"

"François Hollande l'a enfin avoué : oui, il est social-démocrate !" "Sans se cacher derrière des formules floues", il apparaît "en ordre de bataille", quitte à devenir "le président du Medef"...

François Hollande est apparu hier, lors de sa conférence de presse, en président "libéré" revendiquant enfin sa ligne "sociale-démocrate" pour ouvrir "un nouveau chapitre du quinquennat", assurent les éditorialistes de la presse nationale et régionale mercredi 15 janvier.

Si les éditorialistes abordent la situation du couple présidentiel et attendent une "clarification", après les révélations du magasine "Closer", ils passent rapidement au contenu économique de la conférence de presse. Et là, tous de constater : "François Hollande l'a enfin avoué, il est social-démocrate", comme l'assurent plusieurs éditorialistes.

"Enfin. Le président n'a pas paru effrayé par les mots 'social-démocrate'", note Jean-Pierre Tenoux dans "L'Est Républicain". "François Hollande l'a enfin avoué : oui, il est social-démocrate !", constate à son tour Jean-Claude Souléry pour "La Dépêche du Midi". "Ce n'est pas une révélation, mais ça y est, il a avoué !", observe également Philippe Waucampt dans "Le Républicain lorrain". Tout comme Hervé Fabre ("La Voix du Nord") qui décrit "François Hollande, en social-démocrate enfin assumé".

Après cet aveu, beaucoup voit désormais en François Hollande, un président "libéré" prêt "pour une nouvelle marche en avant économique", selon Hervé Cannet de "La Nouvelle République du Centre". "Un président en ordre de bataille" dont "l'intervention d'hier ouvre un nouveau chapitre du quinquennat", affirme même Fabrice Rousselot ("Libération").

"Qui a bel et bien engagé, hier, un tournant majeur de sa politique économique", estime Henry Lauret, dans "Le Télégramme". "C'est bien une inflexion nouvelle que François Hollande donne à son quinquennat", reconnaît de son côté Bruno Dive, dans "Sud Ouest". Dominique Seux, dans "Les Echos", a vu "un François Hollande décomplexé, peut-être libéré d'un certain nombre d'hésitations" qui "a prononcé - enfin - les mots que l'on attendait de lui."

"Si François Hollande n'est pas devenu libéral, sa parole, elle, s'est libérée", lance Jacques Camus, dans "La Montagne Centre France", pour qui "François Hollande, au pied du mur, en a terminé avec les ambiguïtés et les non-dits."  "Le nouveau Hollande parle clair, joue de la gravité et manie l'ironie", s'étonne presque Jean-Louis Hervois, pour "La Charente Libre".

On s'en doute, "Le Figaro", par Paul-Henri du Limbert, se montre plus réservé. "Finalement, le PS avait raison de nier tout 'virage' dans la politique du président. S'il y en a un, il est verbal, et évidemment destiné à rassurer les créanciers de la France et les agences de notation. Malheureusement, il est à craindre qu'ils réclament autre chose que des mots."

Paule Masson dans "L'Humanité" se montre encore plus virulente : "François Hollande sera, pour la deuxième partie de son mandat, le président du Medef... Il y a franchement de quoi rester interdit devant tant de tromperies. Le chef de l'État a douché hier tous les espoirs."

Enfin, prévient Michel Urvoy, dans "Ouest France", "si François Hollande qui défend un projet assez différent de ce qu'il a fait pendant dix-huit mois, parvient à relancer l'économie et la confiance, il sera difficile à combattre".

Source : Le Nouvel Observateur

14 janvier 2014

Conférence de presse de François Hollande

 

  • #HOLLANDE François Hollande assume son identité "sociale-démocrate". Lors de sa conférence de presse à l'Elysée, le président de la République a détaillé son "pacte de responsabilité", plan de bataille basé sur une politique de l'offre mêlant baisses de charges et engagements pour l'emploi. Que faut-il retenir de cette conférence de presse ? Francetv info vous le détaille ici.

#TRIERWEILLER François Hollande a promis de clarifier dans les prochaines semaines la situation de son couple, qui traverse des "moments douloureux". Le président a indiqué que sa compagne Valérie Trierweiler, hospitalisée depuis vendredi, "se repose".

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14 janvier 2014

Le Président de la République face à la Presse

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14 janvier 2014

Aujourd'hui conférence de presse de François Hollande...

31 décembre 2013

Voeux du Président de la République

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Le chef de l'Etat a assuré ce soir lors des vœux aux Français vouloir réduire la dépense publique et «assumera la responsabilité» du programme d'économies.

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François Hollande a proposé ce soir un «pacte de responsabilité», avec «moins de contraintes» pour les entreprises, afin de «gagner» la «bataille» de l’emploi, lors de ses voeux à l’Elysée. «Nous aurons besoin de la mobilisation de tous pour gagner cette bataille» et «c’est pourquoi je propose un pacte de responsabilité aux entreprises. Il est fondé sur un principe simple: moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie: plus d’embauches et plus de dialogue social», a-t-il déclaré.

«Je vous le redis ce soir: je n’ai qu’une priorité, qu’un objectif, qu’un engagement, c’est l’emploi», a-t-il affirmé. Selon lui, «en 2013, le chômage est resté à un niveau encore élevé, même si la tendance de ces derniers mois s’améliore». «Les résultats sont forcément longs à apparaître, mais ils sont là. Et j’ai confiance dans les choix que j’ai faits pour le pays», a dit Hollande. «Chaque emploi créé, c’est un peu de force reconquise. Chaque chômeur qui reprend un travail, c’est une famille qui respire, c’est de l’espoir qui revient, c’est du pouvoir d’achat qui est regagné, de la justice sociale qui est retrouvée», a-t-il souligné.

Alors que le président s’était engagé à inverser la courbe du chômage fin 2013, celui-ci est reparti à la hausse en novembre avec 17.800  demandeurs d’emploi sans activité supplémentaires. Fin novembre, 3,29 millions de demandeurs d’emploi sans activité pointaient à Pôle Emploi.

François Hollande a aussi estimé que la crise s’était «révélée plus longue, plus profonde que nous l’avions nous-mêmes prévu». «Et nous en avons payé le prix avec une croissance faible et une succession de plans sociaux»: «L’état même du pays a justifié que je vous demande des efforts», a-t-il souligné. «Et je sais ce qu’ils représentent. Les impôts sont devenus lourds, trop lourds, à force de s’accumuler depuis de nombreuses années», a-t-il dit.

Par ailleurs, le chef de l'Etat s'est à nouveau posé en rassembleur. «Je serai intransigeant face à tout manquement, face au racisme, face à l’antisémitisme, face aux discriminations. La République, elle n’est pas négociable», a déclaré le chef de l’Etat dans une allocution radiotélévisée.

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