La Chine est l'invitée d'honneur d'Art Paris Art Fair 2014, invitation qui coïncide avec la commémoration des 50 ans des relations France - Chine.

L'édition 2014 mettra en lumière la richesse et le dynamisme de la scène chinoise moderne et contemporaine avec plus de 90 artistes, de différentes générations, représentés par dix galeries venues de Pékin, Shanghai et Hong Kong que par une vingtaine d'enseignes occidentales.

Une sculpture monumentale de Liu Bolin, Iron fist, produite par la Galerie Paris-Beijing, sera installée à l'entrée du Grand Palais, tandis que la Hélène Bailly Gallery associée à la ShanghART Gallery montrera l'installation « Buddha Jumps over the Wall » de l'artiste Zhang Ding. Une collection privée française dévoilera un ensemble inédit d'œuvres d'artistes marquants de la scène chinoise.

Une table ronde « L'art en Chine aujourd'hui, que réserve l'avenir ? », réunissant les experts de la scène chinoise, la critique d'art Karen Smith et le collectionneur Dr.Uli Sigg, aura lieu le jeudi 27 mars de 16h à 17h30 à l'auditorium MK2 du Grand Palais (conférence en langue anglaise).

Ne manquez pas ce rendez-vous exceptionnel avec la scène Chinoise à Paris !

http://billetterie.anixy.com/PAGE_Tarif.awp?P1=ART_PARIS_2014

Attention ! Derniers jours

Le défilé aura lieu le dimanche 30 mars 2014 à Paris.

Le Carnaval des Femmes est inspiré par la Fête des Blanchisseuses, qui se célèbre à la mi-Carême, soit vingt et un jours après Mardi Gras. La Mi-Carême est une grande fête féminine et populaire, qui remonte au moins au XVIIIe siècle.

À Paris, la corporation des blanchisseuses, féminine, populaire et laborieuse, travaillait dans les dizaines de lavoirs et bateaux-lavoirs. Elle était composée de personnes de condition très modeste, énergiques, faisant un travail physique et aimant s’amuser.

À la Mi-Carême, les blanchisseuses élisaient une reine et lui donnaient un écuyer. La reine soutenue par son écuyer se rendait dans le bateau (le bateau-lavoir), où des ménétriers (Ménestrel) l’attendaient. Elle ouvrait le bal. La danse durait jusqu’à cinq heures du soir ; la reine montait alors avec son écuyer dans un carrosse, et toute la bande suivait à pied, jusqu’à une guinguette pour s’y réjouir toute la nuit.

La 6ème édition moderne de cette tradition aura lieu a Paris le 30 mars 2014.

Rendez-vous à partir de 13h00 Place du Châtelet pour un départ à 15 heures. Le parcours forme une boucle qui revient Place du Châtelet à 18h, avec les étapes suivant :

boulevard de Sébastopol

rue de Rivoli

rue Saint Martin

Parvis du Centre Pompidou

rue Rambuteau

rue des Archives

rue Sainte Croix de la Bretonnerie

rue Vieille du Temple

rue des Rosiers

rue Ferdinand Duval

rue de Rivoli

rue Saint Antoine

rue de Birague

le tour de la place des Vosges

rue de Birague

rue Saint-Antoine

rue de Rivoli

boulevard de Sébastopol

Place du Châtelet

Costumée, chacune peut déambuler dans le cortège de manière libre et gratuite ! Les hommes peuvent également défiler ... s’ils sont déguisés en femmes !

Le site du salon de l'agriculture

Jeudi 13 février - 20h

Le Palais de Tokyo célèbrera l'ouverture de la nouvelle saison 2014 : L'État du ciel (Partie 1).

À partir de 20h :

- User des lieux comme des vêtements portés, performance de Davide Balula

- Untitled Performance #2 (loop), performance de Béatrice Balcou

- Intime et Personnel, performance d'Esther Ferrer

- Une performance surprise activera la maison de Family Business. En direct du premier étage, elle sera comme un hommage incongru aux familles et à leur maison idéale.

- Performance sonore du COGE interprétant une création de Franck Krawczyk

21h :

- Don't you know you're gonna mess up the carpet, concert de Joris Van De Moortel.

Photo ci-dessus : Noémie

Photo : Palais de Tokyo (Instagram)

Photo : Palais de Tokyo (Instagram)

Photo : Palais de Tokyo (Instagram)

Pourquoi le festival d’angoulême reste-t-il incontournable ?

C’est l’un des plus grands festivals au monde. Il réunit toutes les familles : de la BD populaire à l’underground, en passant par le manga et les comics. Pendant quatre jours, toute la constellation du 9e art converge vers Angoulême (Charente), qui accueille plus de 2 000 auteurs et 200 000 fans. La chasse à l’autographe y est érigée au rang de sport olympique. Plus de 400 manifestations sont proposées: expositions, rencontres, concerts de dessins, ateliers…

Quelles sont les expositions phares de l’année ?

Tardi et la Grande guerre, centenaire oblige. Mais également Willem, Mafalda, Les légendaires – les fans sont invités à venir déguisés – Ernest & Rebecca, Transperceneige, les 80 ans du Journal de Mickey .Ou encore le thème « Nocturnes : le rêve dans la bande dessinée »…

Comment sont attribués les prix, les « Fauves d’angoulême » ?

Le comité de sélection a défini une liste de soixante-deux albums pour les cinq catégories (patrimoine, officiel, public, jeunesse, polar). Dans les deux premières, six prix, dont le Fauve d’or du meilleur album, sont attribués par le Grand jury. Il est composé de personnalités du 9e art autour de Willem, lauréat du grand prix 2013. Les autres récompenses émanent du vote du public, d’un jury de 8-12 ans, et d’un jury de spécialistes.

Et le grand prix, qui salue l’ensemble d’une carrière ?

Avant, c’était l’Académie des grands prix – composé des lauréats – qui cooptait un nouveau dessinateur. Cette année, l’Académie des grands prix et le comité artistique du festival ont présélectionné 25 auteurs, soumis aux votes des quelque 3 000 auteurs francophones de BD. Il ne reste désormais que trois noms, à nouveau soumis au vote.

Qui sont ces trois derniers candidats ?

L’Américain Bill Watterson, le papa de Calvin et Hobbes , le Japonais Katsuhiro Otomo, l’un des créateurs de manga les plus connus en occident et Alan Moore, l’auteur britannique de comics, rendu célèbre par From Hell, inspiré par l’histoire de Jack l’Éventreur.

Pourquoi va-t-on encore parler de tintin à angoulême ?

Parce que l’hypothèse d’une suite aux aventures de Tintin sera évoquée, avec notamment un débat public, samedi soir. Avec un sacré dilemme : faut-il respecter la volonté d’Hergé, opposé à toute reprise, au risque de voir s’éteindre son œuvre ?

Article de Laurent BEAUVALLET.

Jusqu’à dimanche 2 février à Angoulême. bdangouleme.com

« La grande tendance de l’année, c’est la lingerie sexy, assure Séverine Marchesi, directrice du Salon de la lingerie, qui s’est achevé, hier *, à Paris.De belles matières, des effets de transparence ou même de tatouages. Mais il y a surtout du travail sur les hauts, alors qu’il y a dix ans (lors de la vague du « porno chic »), les fabricants se concentraient sur les culottes. » 2014 est ainsi marqué par le grand retour du push up , ce soutien-gorge un rien tricheur qui donne du volume aux petites poitrines.« Mais on trouve maintenant des push-up jusqu’au bonnet F. Même les femmes aux bonnets profonds veulent valoriser leur décolleté. Contrairement à ce qui se passait il y a dix ans, cette tendance s’adresse aux femmes, pour elles-mêmes, plutôt que pour plaire à leur homme. » De nombreux fabricants, dont Aubade, ont lancé des collections franchement érotiques, écho au succès du roman sadomaso-soft 50 nuances de Grey, deuxième meilleure vente de l’année en France. Selon les statistiques du secteur, les Françaises auraient dépensé 99,40 € pour leur lingerie en 2013. Et si la tendance est à la valorisation de la poitrine, la pièce de lingerie la plus populaire est… la culotte haute gainante. Article de Philippe RICHARD.

* Salon International de la Lingerie Paris 25, 26 et 27 janvier - Porte de Versailles