Jours tranquilles à Paris

Photos prises avec mon IPhone

Patrick Guicheteau

Artiste peintre.

Artiste autodidacte, Patrick Guicheteau peint et expose depuis 1976. Plusieurs périodes et une constante remise en question ont façonné sa creation. La sculpture est venue compléter son œuvre à partir de 1997 avec des représentations trois dimensions de femmes drapées, inspirées de ses tableaux.
L’œuvre actuelle de Patrick Guicheteau, par-delà la personnalisation du corps montre que le réalisme des êtres n’est qu’apparence. La femme est bien une métaphore de la création, c'est-à-dire de la vie. Une création qui joue sur une interférence entre le réel et l’indicible, une représentation allégorique de l’unité à l’infini et de la note à la symphonie. Rythmes de formes, partitions de couleurs, répétition des motifs, interférences, ruptures, temps forts ou faibles. Jeu quasi musical entre le fond et la forme.
Les toiles ici présentées dans le cadre de la galerie concorde sont représentatives de la période hyperréaliste de l’artiste. Elles sont une vision ludique voir subversive de réalités urbaines.

Pauline en mode lingerie...

Son site : http://www.paulinemoulettes.book.fr/

Ci-dessus le billet de Philippe Labro

Un pâtissier de la commune a eu l’idée de glisser une fève très coquine dans ses galettes. Pas du goût de tout le monde…

À deux pas du sanctuaire de SainteAnne-d’Auray, elle trône en bonne place, en tête de gondole de cette petite boulangerie-pâtisserie « Pains en folie ». Juste une galette des rois. Toute simple. Qui se différencie de ses voisines par sa forme. Non pas ronde mais carrée. Et surtout par un petit panonceau qui dit tout, ou presque :« Réservée aux adultes ». De quoi exciter la curiosité de la clientèle gourmande de SainteAnne-d’Auray…« C’est pas parce qu’on est à Sainte-Anne qu’on doit se priver de blaguer un peu », glisse, rigolard, Baptiste Guillevic. Pour sourire un brin, l’artisan-boulanger a nourri l’idée de glisser dans ses galettes une fève très sexy, très coquine… Dans des positions évocatrices… Provocation ?« Absolument pas, j’ai juste eu envie de préparer un truc qu’on ne trouve pas ailleurs ». Une fève olé-olé qu’on n’aurait peutêtre pas imaginée à cet endroit.

On se passe le mot…

Dire que les galettes un peu spéciales de Baptiste, produites au coup par coup, s’arrachent comme des petits pains serait peut-être un peu exagéré. Mais quand même…« Les gens savent ce qu’ils achètent, sourit Brigitte, la vendeuse.Certains reviennent volontiers pour trouver une autre fève. Les clients se passent le mot… » L’idée, affriolante et croustillante, fait quand même grincer quelques dents dans la commune.« Ça peut choquer certains, admet Baptiste.Nous n’avons que de rares retours négatifs sur cette idée et aucun écho négatif de la paroisse. J’ai conçu ces galettes pour quatre personnes, pour des couples ou soirées entre amis proches, pas pour les dégustations en famille. Bien entendu, nous vendons aussi des galettes plus traditionnelles avec des personnages plus classiques, des fèves de coiffes bretonnes à collectionner ». L’idée sexy de Baptiste fait donc son bonhomme de chemin, d’autant que les fameuses galettes pur beurre, faites maison, s’avèrent très savoureuses. Qu’elles soient à la frangipane, à la crème d’amandes, poire-chocolat ou pomme-caramel et beurre salé.« Les clients se régalent ». Dans tous les sens du terme… (article de Pierre Wadoux de Ouest France)

Photos prises avec mon IPhone

http://www.concorde-art-gallery.com/artistes/pierrick-allemand.html

http://pierrickallemand.unblog.fr/

On ne présente plus le photographe américain, proche de Patti Smith, avec qui il a même vécu dans le légendaire Chelsea Hôtel de la 23ème rue de Manhattan. Son noir et blanc impeccablement stylisé, l’érotisme glacé de ses nus masculins, la sensualité lumineuse de ses compositions florales sont devenus des marqueurs phares de la culture de la fin du XXème siècle, des valeurs sûres des salles de vente et un passage obligé pour toute collection photographique d’envergure. L’exposition phare que lui consacre le Grand Palais – pas moins de 200 images – est donc l’occasion de réviser ses classiques, mais aussi d’embrasser l’ensemble de la carrière de Robert Mapplethorpe, commencée au début des années 70 et interrompu avec la mort de l’artiste, fauché par le sida en 1989.

A noter également, l’exposition du musée Rodin, qui met en parallèle l’œuvre de Mapplethorpe et celle du génial sculpteur du Penseur, et à laquelle a contribué la journaliste et critique d’art Judith Benhamou-Huet.

Robert Mappelthorpe au Grand Palais, à partir du 26 mars. Informations : www.grandpalais.fr et « Mapplethorpe – Rodin » au Musée Rodin, à partir du 8 avril. Informations : www.musee-rodin.fr

Photomontage - Photos prises dans mon studio - Paris 15

Extraits de mes shootings