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Jours tranquilles à Paris

11 octobre 2012

Serge Gainsbourg et Catherine Deneuve

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11 octobre 2012

Exposition sur les grilles du Quai d'Orsay

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11 octobre 2012

Presse : la Une de l'Express

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11 octobre 2012

A partir de ce soir sur ARTE

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11 octobre 2012

Save the date : Fête de la science

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11 octobre 2012

La justice russe tente de briser l'unité des Pussy Riot

L'une des jeunes femmes accusées de blasphème a été relâchée. Les deux autres écopent de deux ans de prison.

Une jeune femme libre, fêtée par son père et ses amis, et bientôt assaillie par une meute de journalistes qu'elle s'empresse de fuir, sans une déclaration. C'est l'image que l'on retiendra du jugement en appel prononcé par le tribunal municipal de Moscou. Ekaterina Pussy_RiotSamoutsevitch n'a pas obtenu l'acquittement, mais voit sa peine ramenée à du sursis. «Je suis heureuse. C'est extrêmement positif», se félicite sa nouvelle avocate, Irina Khrounova. Sollicitée il y a une semaine pour reprendre le dossier, Me Khrounova a choisi in extremis de plaider «la différentiation»: sa cliente, dit-elle, avait bien l'intention de participer à la prière punk, mais n'a pas pu le faire, car, à peine arrivée sur les lieux, elle a été interpellée et évacuée de la cathédrale par le service d'ordre. Aux yeux des juges, la voici donc «moins coupable». Moins coupable que celles qui, hier matin encore, ont mis à profit l'audience pour se livrer à de nouveaux assauts contre Vladimir Poutine et l'Église orthodoxe russe. Très en verve, Maria Aliokhina ne s'est pas privée de railler le président russe: «Il considère que le nom de notre groupe est indécent. Je vais le traduire, c'est “la révolte des chattes”. Cela n'est pas plus indécent que ses appels à “buter ses ennemis jusque dans les chiottes”», a-t-elle lancé, faisant référence à l'injonction lancée par Vladimir Poutine aux soldats russes au début de la seconde guerre de Tchétchénie. Selon Nadejda Tolokonnikova, en les poursuivant de sa vindicte, le président russe «conduit le pays à la guerre civile».

Diviser pour mieux régner

Les avocats des deux militantes, qui, jusqu'au bout, ont choisi de soutenir cette ligne politique, ne se sont pas privés de railler la décision de la cour. «Ekaterina Samoutsevitch est restée 15 secondes devant l'iconostase. Nadejda Tolokonnikova et Maria Aliokhina sont restées 50 secondes. Nous ne comprenons pas bien la différence», s'étonne Me Nicolaï Polozov, l'un des avocats des deux militantes. Pour lui, ce jugement traduit donc un «jeu politique qui consiste à séparer les membres des Pussy Riot». De jure, les trois jeunes femmes sont toutes jugées coupables. Toutes trois vont poursuivre leur combat judiciaire, jusqu'à la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg. «Les filles sont très contentes, elles ont félicité Nastia (diminutif d'Ekaterina, NDLR). Leur amitié forgée dans la lutte va se poursuivre. Il n'y aura pas de schisme dans le groupe», veut croire Piotr Verzilov, le mari de Nadejda.

Mais, sur les écrans mondiaux, l'histoire n'est plus la même. En libérant Ekaterina Samoutsevitch, la justice déchire l'encombrante photographie de cette trinité anti-Poutine. Diviser pour mieux régner… Lassé par le scandale, le pouvoir russe reprend la main. source : Le Figaro

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11 octobre 2012

Extrait d'un shooting - sport

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Photos prises dans mon studio - Paris 15

Extraits de mes shootings

10 octobre 2012

Google met en ligne des archives de l'Histoire du XXe siècle

Google a annoncé ce mercredi à Varsovie la mise en ligne d'importantes archives numériques sur les grands faits de l'Histoire du XXe siècle, notamment sur l'Holocauste, le prix Nobel de la paix Nelson Mandela ou encore les événements de Mai 68 en France, provenant de dix-sept musées et instituts historiques dans le monde.


Les internautes peuvent désormais consulter librement, via la très esthétique plateforme de Google Cultural Institute, quelque six millions de photos, documents textes, films, provenant de dix-sept musées et instituts culturels de différents pays.

 Parmi eux, le musée de l'ancien camp de la mort nazi d'Auschwitz-Birkenau (Pologne), l'Institut Yad Vashem (Israël) ou le Centre de la mémoire de Nelson Mandela (Afrique du Sud).
« Les données sont reparties sous forme d'expositions thématiques, dont quarante-deux ont été mises en ligne mercredi. D'autres devraient s'ajouter prochainement, le projet étant évolutif », a précisé à la presse le directeur du projet de Google Mark Yoshitaka. « Le but est d'associer le savoir-faire informatique de Google et les archives des prestigieuses institutions culturelles », a-t-il expliqué.

« Un outil fantastique, une vraie révolution »

« C'est un outil fantastique, qui permet de transgresser les frontières géographiques, rendre un musée ouvert 24 heures sur 24 et accessible en plusieurs langues. C'est une vraie révolution », a estimé Robert Kostro, directeur du Musée de l'Histoire de la Pologne. Dans le cadre du projet, son musée a présenté une exposition composée de documents sur le personnage de Jan Karski, un émissaire du gouvernement clandestin polonais pendant la Seconde guerre mondiale qui s'efforça d'informer les Alliés sur l'Holocauste perpétré par l'Allemagne nazie sur le territoire de la Pologne occupée.

« Aujourd'hui, la mémoire exige que nous utilisions toutes les technologies restant à notre portée. Car rien n'est gagné une fois pour toutes », a souligné Piotr Cywinski, directeur du musée d'Auschwitz, qui a préparé deux expositions thématiques centrées plus sur l'histoire de personnes que sur l'histoire en chiffres et en dates.

10 octobre 2012

Manifestation des sans papiers le 10 octobre 2012 à Montparnasse

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10 octobre 2012

Save the date : FIAC 2012 du 18/10/2012 au 21/10/2012

media_file_1063À la fois internationale et française, la FIAC est devenue l'un des rendez-vous incontournables de la création artistique. La FIAC 2012 rassemblera au Grand Palais près de 180 galeries venues de 24 pays. La France compte 61 galeries, soit 34% des exposants, puis viennent les Etats-Unis avec 30 galeries, l'Allemagne avec 24 galeries, l'Italie avec 12 galeries, la Belgique avec 14 galeries, le Royaume-Uni avec 9 galeries, et la Suisse avec 6 galeries. Les pays nouvellement représentés sont le Danemark, la Pologne, la Roumanie et les Emirats Arabes Unis. 41 galeries participent pour la première fois ou sont de retour à la FIAC.

FIAC - Grand Palais
Avenue Winston Churchill
75008 Paris
FRANCE
web : http://www.fiac.com/

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