Voir ou revoir "Match Point" de Woody Allen
Jeune prof de tennis issu d'un milieu modeste, Chris Wilton se fait embaucher dans un club huppé des beaux quartiers de Londres. Il ne tarde pas à sympathiser avec Tom Hewett, un jeune homme de la haute société avec qui il partage sa passion pour l'opéra.
Très vite, Chris fréquente régulièrement les Hewett et séduit Chloe, la sœur de Tom. Alors qu'il s'apprête à l'épouser et qu'il voit sa situation sociale se métamorphoser, il fait la connaissance de la ravissante fiancée de Tom, Nola Rice, une jeune Américaine venue tenter sa chance comme comédienne en Angleterre...
Du jamais-vu ! Le musée Grévin est en grève...
Du jamais-vu depuis cent trente ans. Hier, le musée Grévin a vécu sa toute première grève. Les touristes pouvaient toutefois pénétrer dans l’antique maison baroque, moyennant l’habituel ticket d’entrée de 22 € et déambuler comme d’habitude parmi la ribambelle de people en cire. A l’entrée pourtant, boulevard Montmartre, les visiteurs étaient accueillis en fanfare par un petit comité syndical bruyant, sous les klaxons et les drapeaux de la CGT. « Nous réclamons une modification du management, revendique Mohammed Sogoba, délégué CGT. Nous demandons également un salaire minimum de 1 700 € et la mise en place d’une prime d’ancienneté. » Le syndicaliste, qui au bout de dix ans d’ancienneté comme agent d’accueil gagne 1200 € net, dénonce « un management répressif et du stress au travail ». Béatrice Christofari, directrice du musée Grévin, s’étonne : « Nous avons eu une réunion pour aborder la question du stress et avons fait parvenir à nos employés un questionnaire auquel ils peuvent répondre de manière confidentielle. » « Ce sont 8 salariés grévistes sur 45 », souligne-t-elle par ailleurs. Reste que Brad Pitt et sa nouvelle voisine, Penélope Cruz, ont peut-être quelques soucis à se faire. Mohammed Sogoba a prévenu la direction et menace d’une deuxième grève : « Si on n’obtient pas gain de cause, on remet ça aux vacances de la Toussaint. » En attendant, le musée reste ouvert. Source : Le Parisien
Extrait d'un shooting - burlesque et nu
Rencontre avec Florence dans Big Belles Mag!
Photos prises dans mon studio - Paris 15
RAPPEL : Russie - le procès en appel des Pussy Riot repoussé au mercredi 10 octobre
Le procès en appel des membres du groupe Pussy Riot a été reporté au mercredi 10 octobre par la justice russe, une des jeunes femmes ayant annoncé avoir rompu avec ses avocats dès l'ouverture de cette audience, sur laquelle la défense ne fondait guère d'espoir. "Le renvoi demandé par Ekaterina Samoutsevitch est accepté. L'audience est reportée au 10 octobre", a annoncé la présidente du tribunal, après une suspension. Le procès avait commencé lundi matin 1er octobre sous protection policière renforcée, et en présence des trois jeunes femmes condamnées en août à deux ans de camp pour une "prière punk" anti-Poutine chantée en février dans la cathédrale de Moscou. Ekaterina Samoutsevitch, s'exprimant par microphone depuis une cage en verre, a annoncé avoir rompu avec ses avocats en raison de divergences, et se trouver actuellement sans défenseur. "Je ne partage pas leur vision du dossier judiciaire", a-t-elle dit. "J'estime inacceptable de poursuivre le procès si l'une d'entre-nous n'a pas de défenseur", a alors déclaré une autre des jeunes femmes, Maria Alekhina. La troisième, Nadejda Tolokonnikova, était vêtue d'un T-shirt avec l'inscription de la guerre civile espagnole No Pasaran ! (Ils ne passeront pas). Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées le 17 août à deux ans de camp chacune pour "hooliganisme" et "incitation à la haine religieuse". Leurs avocats avaient indiqué avant l'audience n'avoir que peu d'espoir de les voir libérées. "Elles sont déjà emprisonnées depuis sept mois, et elles seront de toutes façons reconnues coupables, car c'est une affaire politique", a déclaré l'avocat Mark Feïguine à la radio Echo de Moscou, ajoutant ne pouvoir espérer qu'une réduction de peine. Dans un entretien télévisé en septembre, le président Vladimir Poutine avait dénoncé leur "sabbat". "L'Etat recourra à toute la force de la loi pour défendre les sentiments religieux de nos concitoyens, nos valeurs nationales et religieuses face à toutes les tentatives de profanation et de blasphème", a de son côté déclaré lundi un de ses proches, le chef de l'administration présidentielle Sergueï Ivanov, cité par Ria Novosti. L'Eglise orthodoxe a jugé dimanche 30 septembre que les jeunes femmes ne méritaient la clémence que si elles se repentaient, ce qu'elles ont jusqu'à présent exclu. "Si l'on comprend comme repentir que les jeunes femmes reconnaissent leur culpabilité, alors il y a peu de chances que cela se produise", avait déclaré avant l'avocat Mark Feïguine, cité par Interfax. "S'il s'agit d'un repentir spirituel, alors c'est l'affaire personnelle de chacune", a-t-il ajouté. Un autre des avocats de la défense, Nikolaï Polozov, a accusé l'Eglise orthodoxe de "finasser" sur la question de l'indépendance de la justice. "J'estime que les représentants de l'Eglise finassent, car ils ne peuvent influer directement ou indirectement la justice, qui est indépendante", a-t-il indiqué. Une déclaration qui peut être considérée comme teintée d'une certaine ironie dans le contexte russe, où la justice est fréquemment accusée de prononcer des décisions dictées par le pouvoir. Dans un communiqué diffusé dimanche 30 septembre, l'Eglise orthodoxe avait répété qu'aucun acte "portant atteinte aux sentiments des croyants" ne pouvait "rester impuni". L'Eglise avait ajouté qu'elle souhaitait le "repentir" des trois jeunes femmes, et qu'elle souhaiterait dans ce cas la clémence de la justice. "Si des déclarations des condamnées témoignent de leur repentir, de leur prise de conscience de leurs actes, il serait souhaitable que cela ne soit pas ignoré", avait indiqué un porte-parole de l'Eglise orthodoxe, à la veille du procès en appel. Lundi 1er octobre, des manifestants pro et anti-Pussy Riot se sont fait face devant le tribunal, en présence d'importantes forces de police. Des militants orthodoxes ont mimé, à genoux, une prière, tandis que leurs opposants entonnaient des chansons du groupe contestataire. Source : Nouvel Observateur
Robert Crumb
Albums de Robert Crumb (actuellement en vitrine de la librairie Taschen)
Voir mes précédents billets sur Robert Crumb : 3 janvier 2012, 14 avril 2012, 14 avril 2012 again, 5 mai 2012, 6 juillet 2012, 14 juillet 2012, 19 juillet 2012
Frédéric Fontenoy dans un album photo chez TASCHEN
Voir mon billet du 12 août 2012
La librairie TASCHEN à Paris