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Jours tranquilles à Paris
bretagne
2 mai 2020

Rennes - Réouverture des plages : un raz-de-marée d’appels

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Photos prises à Erdeven

#RendezNousLaMer

Article de Philippe Créhange

Tous les voyants sont au vert pour un déconfinement progressif à compter du 11 mai en Bretagne. Mais le gouvernement exclut de rouvrir les plages avant le mois de juin. Dans la région, de nombreuses voix appellent à desserrer l’interdiction plus tôt.

C’est ce qui se nomme une marée montante. Le gouvernement vient de publier une carte provisoire du déconfinement où les quatre départements bretons apparaissent pour le moment en vert. De quoi multiplier les appels à la réouverture des plages et des accès à la mer dans la région à partir du 11 mai, alors qu’Édouard Philippe a affirmé qu’elles resteraient interdites au moins jusqu’en juin. Dernier message allant dans le sens d’un accès facilité aux côtes : celui du président du conseil régional.

Sur le réseau social Twitter, Loïg Chesnais-Girard « plaide pour que, sous l’autorité des maires, nous puissions les rouvrir au plus vite sans prendre de risques pour notre santé ». Et de rappeler qu’en Bretagne, « nos plages sont nos parcs et jardins ». « Nous avons aussi à travailler avec les propriétaires de ports de plaisance, maires ou Départements, sur le retour à la mer », précise-t-il au Télégramme. Tout en rappelant que la priorité est de conserver les départements bretons en vert. Car un retour à la mer n’est pas sans poser de questions. « La plage surchargée du dimanche ensoleillé restera un problème », poursuit le patron de l’exécutif breton. « Mais en kite surf, en canot pneumatique ou le long des plages ou de nos chemins côtiers, on peut organiser les choses pour ne pas augmenter les risques. À nous de desserrer le confinement sans provoquer de mouvements qui ruineraient les efforts faits. Il en va aussi de la santé et du moral de tous. La mer fait partie de notre équilibre. »

Pétition

Cet appel à une réouverture des plages et aux activités nautiques n’est pas le premier. De nombreux autres élus et personnalités ont fait part de leur volonté de pousser en ce sens. Le député LREM du Finistère, Didier Le Gac, indique militer depuis des semaines pour desserrer cette interdiction autour des pratiques nautiques individuelles. La navigatrice Anne Quéméré également, qui invite les Bretons à signer une pétition mise en ligne sur le site Mesopinions (26 000 signatures à la date de vendredi) et destinée à être envoyée à l’ensemble des préfets de Normandie et de l’arc atlantique.

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1 mai 2020

#RendezNousLaMer : l’appel de milliers de Bretons à retrouver leurs plages dès le 11 mai

la mer

Le gouvernement français a prévenu que toutes les plages seraient interdites d’accès au moins jusqu’au 1er juin.

#RendezNousLaMer… Depuis que le Premier ministre Édouard Philippe a exclu d'ouvrir l'accès aux plages avant au moins le 1er juin, les appels se multiplient pour « libérer les plages » bretonnes dès le 11 mai, et pour un accès raisonné au littoral.

« En Bretagne, nos plages sont nos parcs et jardins. Je plaide pour que, sous l'autorité des maires, nous puissions les rouvrir au plus vite sans prendre de risques pour notre santé », a tweeté jeudi le président de région Loïg Chesnais-Girard (PS).

#RendezNousLaMer   #RendezNousLaMer   #RendezNousLaMer

24 avril 2020

Bretagne

entre deux rochers

20 avril 2020

BRETAGNE - 800 millions d’euros de pertes pour le tourisme breton

60 % des acteurs du tourisme en Bretagne ont enregistré des annulations de réservations. 

Selon une étude, les deux mois de confinement vont conduire à une perte de 800 millions d’euros pour le secteur du tourisme en Bretagne

Selon une étude menée, depuis le 9 avril, par la Région Bretagne et le Comité régional du tourisme auprès de 3 000 professionnels (hébergements, restaurants et cafés, établissements culturels et de loisirs) pour mesurer l’impact de la pandémie de Covid-19 sur le tourisme en Bretagne, « près de 90 % des entreprises annoncent, d’ores et déjà, des chiffres d’affaires proches de 0 en avril, des baisses supérieures à 90 % par rapport à 2019 ». En mars, ce sont 75 % des entreprises bretonnes du secteur qui ont enregistré des pertes de chiffre d’affaires supérieures à 50 %. La note est lourde pour le tourisme breton.

« Ces deux mois de confinement conduiront à une perte de près de 800 millions d’euros pour le secteur en Bretagne, estime l’étude. Une réouverture fin juillet reviendrait à une perte de 50 % du chiffre d’affaires de la filière ».

4 % des entreprises du tourisme ouvertes en avril

Selon cette étude, seuls 4 % des entreprises liées au tourisme dans la région sont encore ouvertes aujourd’hui. Elles étaient 80 % au moment de l’appel au confinement. « 10 % de ces entreprises ne sont que partiellement ouvertes », indique l’étude.

82 % des entreprises recourent au chômage partiel

Dans ce contexte de forte baisse de l’activité, 82 % des entreprises liées au tourisme en Bretagne ont recours au chômage partiel. Un recours qui concerne « 94 % des hôtels, 50 % des campings, 60 % des équipements culturels et de loisirs », précise l’étude. « On estime qu’actuellement, 20 000 à 25 000 salariés sont concernés par le chômage partiel lié à l’arrêt de l’activité touristique ».

La pandémie a également un impact sur l’emploi des saisonniers. Si « 60 % des entreprises du secteur touristique attendent encore d’en savoir plus sur les mesures de déconfinement » avant d’embaucher, ou non, des employés saisonniers, « 32 % d’entre elles décalent les dates de début de contrat et 16 % annulent une partie de leurs recrutements ».

Des réservations en chute libre

Pour les séjours du printemps et de l’été, les réservations sont, sans surprise, fortement impactées. « 70 % des acteurs de la filière ont déjà enregistré de nombreuses annulations pour les mois à venir. 3/5 des professionnels ont aussi constaté plus de 75 % d’annulations des activités et séjours réservés en amont au mois de mai, explique l’étude. Au mois de juin, cette proportion atteint déjà 2/5 ».

48 % des acteurs du tourisme ont activé des aides financières

48 % des professionnels ont actionné des aides financières, notamment le fonds de solidarité (65 % des entreprises), le report des charges sociales (58 %), le prêt bancaire garanti par l’État (37 %) ou encore le report des charges de loyer, d’eau et d’électricité (36 %).

20 avril 2020

Auray - Pourquoi il faut manger des huîtres en ce moment

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Entre le soleil et la qualité actuelle de l’eau, les huîtres font très bonne chère en ce moment dans les parcs du pays d’Auray. Photo Jean-François Quintin

Mathieu Pelicart

Noire en termes de moral, blanche en termes d’activité, l’année 2020 est d’ores et déjà à oublier pour les ostréiculteurs du pays d’Auray. Autant de bonnes raisons de manger des huîtres pour les soutenir.

1 Parce qu’elles n’ont jamais été aussi bonnes

Avril est considéré comme l’un des meilleurs mois de l’année pour goûter les huîtres, d’un point de vue strictement gustatif. Elles sont bien pleines, mais pas encore laiteuses comme en été quand l’eau se réchauffe. Elles sont en pleine pousse de printemps et bénéficient d’une nourriture abondante, grâce au soleil qui favorise la photosynthèse des algues. Et l’eau sera rarement d’aussi bonne qualité, compte tenu de l’arrêt lié au confinement de certaines activités humaines.

2 Parce que la N° 2 est parfaite

L’huître est un animal vivant et, faute de débouchés sur les étals, le cheptel continue de grandir dans son espace naturel. Beaucoup de N° 3 qui auraient dû être sorties de l’eau cet hiver offrent aujourd’hui un raisonnable calibre N° 2. Très charnue et d’un poids moyen de 100 grammes, c’est la taille préférée des connaisseurs, celle que l’on retrouve aussi le plus souvent sur les grandes tables de restaurant. L’idéal pour la cuisiner ou tester la cuisson au barbecue, avec un simple beurre persillé.

3 Parce qu’elles sont excellentes pour la santé

À l’heure du confinement, l’huître recèle de nombreuse qualité nutritionnelle à même de renforcer nos défenses immunitaires : elle est riche en vitamines (B notamment), en oligoéléments et en minéraux (phosphore, fer, cuivre et calcium). Elle est aussi nourrissante que légère pour l’estomac : comptez 100 kcal et seulement 3 g de lipides par douzaine. Avec ses oméga-3, c’est l’un des aliments les moins riches en cholestérol (35 et 50 mg pour 100 g).

4 Parce qu’il faut soutenir nos ostréiculteurs

Le pays d’Auray concentre la plupart des 330 entreprises et des 1 200 emplois de l’ostréiculture dans le Morbihan, premier département français en surface ostréicole. Après les interdictions de commercialisation du début d’année, c’est une crise de la demande sans précédent qui touche aujourd’hui la profession. Avec la fermeture des bars et des restaurants et l’annulation de tous les événements, la plupart des grosses commandes qui font vivre les grossistes ont été annulées.

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16 avril 2020

Dés que je pourrai partir en Bretagne (aprés le confinement) voilà ce qui m'attend là-bas...

moi sur tondeuse

16 avril 2020

BRETAGNE : L’événementiel est frappé de plein fouet par la crise

vieilles

Paul Bohec

Directement touché par l’interminable liste des événements et festivals annulés, le secteur de l’événementiel tire la langue. Et ne croit pas en une hypothétique reprise estivale.

Les Vieilles Charrues qui jettent l’éponge (lire ci-dessous), le Cornouaille poussé à reporter - au mieux - son édition, le Festival interceltique de Lorient qui reporte l’annonce de sa programmation. Mercredi, trois nouveaux festivals n’ont eu d’autre choix que de se plier au contexte sanitaire actuel. Confirmant ainsi le fait que cet été ne sera pas comme les autres en Bretagne. Avec l’interdiction des événements brassant un public nombreux jusqu’à mi-juillet, au moins, c’est tout le monde de l’événementiel, déjà rudement touché, qui est frappé de plein fouet. Tour d’horizon.

1 Les régisseurs

Aux Vieilles Charrues, il aurait dû être à la tête d’un département de près de 300 personnes, entre le montage des scènes, le son, l’image… Jacquito, Jacques Guillerm de son vrai nom, vit une saison particulièrement compliquée. « J’en suis à ma sixième annulation déjà, grimace-t-il. Tous les grands festivals et événements sont annulés et, de notre côté, on ne peut strictement rien faire. Notre métier, c’est le spectacle ! » Les festivals d’avril à septembre représentent près de 90 % de son activité. « En tant qu’intermittents, on perd toutes nos heures. » « À quel moment interviendra la réouverture des salles comme les Zénith ou les Arenas ? s’interroge-t-il. Je devais faire le spectacle de M. Pokora, à Brest, le 1er avril. La date a été reportée à fin septembre. Mais comment va-t-on faire pour gérer le matériel si toutes les tournées reprennent au même moment ? » Et de souffler : « On ne sait pas quand se fera la reprise, mais ce qui est sûr, c’est que, pour nous, ce ne sera pas le 11 mai… »

2 Les sociétés de sécurité

La société S3M Sécurité fait partie des plus importantes boîtes de sécurité françaises. Et gère également des hôtes et hôtesses d’accueil. « En Bretagne, nous avons pas mal de sites qui emploient nos services à l’année. Le bassin brestois, par exemple, représente pour nous près de 200 temps pleins », précise Patrick Monchatre, le dirigeant de la société, qui travaille avec des clubs de sport finistériens comme le Stade Brestois 29 ou le Brest Bretagne Handball.

Sur son activité première, l’entreprise compte « entre 15 et 20 % de chômage partiel ». Mais elle s’apprête surtout à accuser un déficit de près d’un million d’euros sur toute sa partie événementielle dans la région, pour les mois d’avril à août. « Avec les annulations, tout ce chiffre d’affaires sera perdu, on ne le reverra pas ». Pascal Monchatre, le directeur commercial, estime à plus de 750 le nombre d’agents de sûreté employés lors des Vieilles Charrues. « Ce sont autant de CDD ou de saisonniers qui ne toucheront pas cette année une somme d’environ 500 euros ».

Patrick Monchatre le reconnaît : ils ne sont peut-être pas « les plus impactés ». Pour autant, malgré le renforcement de la sécurité autour des hôpitaux comme la Cavale-Blanche ou Morvan, à Brest, il n’y a pas de véritable compensation en termes d’emploi pour S3M Sécurité par rapport à la forte régression de son activité liée à la crise.

3 Les traiteurs

« On ne produit rien et rien ne sort », assure Lauriane Pronost, en charge de la communication pour le traiteur Poulain & Fils, dont l’entreprise est basée dans le Morbihan. Pour eux, comme tous les autres, la visibilité est quasi nulle. « Une partie de notre chiffre d’affaires provient des mariages, on en avait environ 130 de prévus cette année. Mais là, on ne sait même pas s’il sera possible d’en organiser cet été », explique-t-elle, rappelant que les événements comme les fêtes nautiques ou le Festival interceltique sont toujours aussi incertains. L’une des pistes étudiées serait de relancer partiellement l’activité avec de la livraison de repas. « Mais on ne peut envisager qu’une reprise par étapes. Notre trentaine de salariés ne reprendra pas en même temps », concède Lauriane Pronost.

4 Les loueurs de chapiteaux

Pour Fabrice Kerrand, de la société Loc Even, dans le Morbihan, la messe est dite : « Honnêtement, je ne vois rien reprendre avant septembre-octobre ». Directement touché par l’absence d’un quelconque rassemblement, il soupire : « Nous serons les derniers à reprendre ».

Même son de cloche pour Christophe Étienne, dont la société Bret-Even est basée dans le Finistère. « Sur mars et avril, on a perdu la moitié de notre chiffre. Ce sera pire en mai. On devait prendre deux CDD en avril et des saisonniers pour l’été, mais ce ne sera pas le cas. » Lui aussi voit mal son activité reprendre de sitôt mais peut, heureusement, compter sur la location de quelques chapiteaux sur la longue durée. Le Télégramme

festival interceltique

festivals bretons

31 mars 2020

France-Coronavirus: 38 malades transférés par des TGV

France-Coronavirus: 38 malades transférés par des TGV demain d’Ile-de-France vers la province, dont 24 attendus en Bretagne

Trente-huit malades du coronavirus seront transférés depuis l'Île-de-France vers une autre région demain, annonce l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).

Si l’AP-HP refuse de préciser vers quelles régions, on apprend par ailleurs que 2 TGV médicalisés sont attendus demain en Bretagne en provenance de Paris.

Un TGV vers Rennes avec 12 patients à bord et un second, à destination de Brest avec un arrêt à Saint-Brieuc, avec également 12 malades.

RépondreTransférer
   
31 mars 2020

Coronavirus : une entreprise bretonne lance son test sérologique rapide

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test serologique

Le test commercialisé par NG Biotech est « tout-en-un » et à usage unique : il intègre un auto-piqueur et un collecteur de sang capillaire.

Un dépistage au coronavirus avec une seule goutte de sang et le résultat connu en 15 minutes : des entreprises du monde entier se sont lancées dans la course pour élaborer un test sérologique rapide. Parmi elles, NG Biotech, à Guipry (35), qui annonce la commercialisation de son kit.

Solidarité coronavirus Bretagne

Comment savoir si l’on a été contaminé par le coronavirus, dans le passé, avec peu ou pas de symptômes ? Et que l’on est, de fait, immunisé, du moins pour un temps  ? Les tests PCR, qui sont utilisés aujourd’hui en France, ne le permettent pas : grâce à un écouvillon enfoncé dans le nez, ils indiquent si un malade est infecté au moment où on les réalise… C’est là qu’interviennent les tests sérologiques : ils visent à détecter les anticorps pour déterminer, après coup, si un individu a été en contact avec le virus et s’il dispose des défenses immunitaires adéquates.

Dans la très complexe opération de déconfinement qui attend la France à un horizon encore inconnu, ces tests sanguins s’annoncent primordiaux : ils permettront d’affiner le nombre total de personnes contaminées, dont les cas asymptomatiques. De connaître les zones où le virus rôde encore. De laisser des gens aller travailler, sans craindre pour leur santé. Bémol toutefois, ils n’indiqueront pas si une personne est encore contagieuse. Là, des examens cliniques seront nécessaires.

Concurrence chinoise et américaine

Ce titanesque marché des tests sérologiques s’ouvre et des entreprises du monde entier sont dans les starting-blocks : l’américain Abbott, le finlandais Mobidiag, le chinois Innovita. En France, l’alsacien Biosynex est aussi prêt à dégainer. Face à eux, une petite société bretonne de 40 salariés créée en 2012, basée à Guipry, à mi-chemin entre Rennes et Redon. NG Biotech, spécialisée dans les tests de diagnostic rapide, lance officiellement son produit ce mardi. Sans complexe. « Nous sommes les seuls à présenter un outil tout intégré, on a poussé la facilité d’utilisation à l’extrême », assure le Dr Alain Calvo, directeur du développement. Le test intègre un auto-piqueur et un collecteur de sang et permet de connaître l’évolution de la maladie, de sa phase active à celle de guérison, grâce aux types d’anticorps détectés.

Passé par plusieurs étapes d’évaluation, des urgences de l’AP-HP jusqu’à l’Institut Pasteur, il garantirait, selon Alain Calvo, « une fiabilité de 100 % ». Le marquage de la norme CE en poche, NG Biotech a ses entrées au ministère de la Santé et « a déjà reçu une première commande pour un acteur public ». Mais ne souhaite pas communiquer son nom.

Réservé aux professionnels de la santé

Dès mardi, sera-t-il possible d’acheter le produit en pharmacie ? Non, répond Alain Calvo : « Notre stratégie est claire, on veut donner très rapidement ce type de test au corps médical français pour qu’il dispose d’un nouvel outil », précise-t-il. L’auto-test par des personnes lambda « est encore trop prématuré ».

Installée à Guipry, entre Rennes et Redon, la société NG Biotech compte pour l’heure une quarantaine de salariés. Elle espère doubler son effectif dans les prochaines semaines.

Installée à Guipry, entre Rennes et Redon, la société NG Biotech compte pour l’heure une quarantaine de salariés. Elle espère doubler son effectif dans les prochaines semaines. (DR)

NG Biotech voit grand : d’une production de 50 000 à 70 000 tests en avril, elle espère atteindre le million en juillet. Pour cela, une quarantaine de personnes vont être embauchées et les murs de l’entreprise devront être poussés. Le but : continuer à produire en Bretagne. Et Alain Calvo de tacler ses futurs concurrents : « Je ne suis pas sûr que les entreprises qui vont arriver sur le marché hexagonal auront une capacité de production sur le seul sol français… »

https://www.lci.fr/sante/video-coronavirus-qu-est-ce-qu-un-test-serologique-2149541.html?type=content&share=true

29 mars 2020

Cimetière de bateaux - Ria d'Etel

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