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Jours tranquilles à Paris
bretagne
4 mars 2017

Grand-site. Vers le label national

Les élus et les responsables du syndicat mixte Grand-site Gâvres-Quiberon se sont réunis mercredi. L'ordre du jour était conséquent puisqu'il fallait approuver le compte de gestion et présenter le débat d'orientation budgétaire 2017. Mais le sujet phare était une fois de plus le projet de labellisation Grand-site de France.

Avec des résultats globaux de 219.240  € en section de fonctionnement et 51.262€ en section d'investissement et surtout une capacité d'autofinancement nette de 156.343€, les finances du syndicat sont redevenues saines. Une satisfaction pour le président Adrien Le Formal, qui n'a pas manqué de féliciter l'ensemble des personnels pour leurs efforts. M.Berton, trésorier principal à Auray ,a d'ailleurs commenté le bilan avec sérénité. L'activité « transport maritime de passager » entre le port d'Etel et le Magouer en Plouhinec, appelée « Le passeur », a été bénéficiaire. Mais en 2017, ce service va de nouveau être assujetti à la TVA. Les élus ont fait le choix de ne pas augmenter pour autant les tarifs cette saison.

2017 sera la dernière année de « l'opération Grand-site ». Le syndicat avait signé, en 2012, avec l'État, la Région, le Département et l'ONF (Office national des forêts), une convention financière pour cinq ans, pour près de 6 M€ ,visant à élaborer le dossier et déposer la demande de labellisation Grand-site de France auprès du ministère de l'Environnement en 2018. Un programme d'action « pré-label » va donc être lancé.

Mettre en avant les richesses

Le plan de financement, qui représente 210.000  € (subventionné à 80 % par l'État, la Dreal et la Région) a été présenté par Christine Bonfiglio, directrice du Syndicat mixte qui est également revenu sur les enjeux : « Ce label sera un outil de promotion touristique. Jusqu'à présent, nous avons surtout travaillé sur les paysages, sur la préservation du site. Il va maintenant falloir apprendre à communiquer et à mettre en avant toutes les richesses de ce patrimoine ». Première étape de cette identification spécifique, les élus ont pu découvrir le premier projet de l'identité visuelle spécifique. Les quatorze sites labellisés ont en effet un cartouche qui associe le logo Grand-site de France, avec un paysage stylisé et un nom choisi. Cette signature graphique permet de représenter et d'identifier les sites. Pour le moment, le texte « Dunes sauvages, de Gâvres à Quiberon » a été retenu, mais rien n'est arrêté.

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4 mars 2017

Je suis en Bretagne - port de St Goustan - AURAY

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3 mars 2017

Je suis en week-end et je vais en Bretagne...

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28 février 2017

Carnac : Des visites pour voir les mégalithes autrement

La Maison des Mégalithes propose des visites dans les pas d’un guide conférencier. En ce moment, elles se déroulent aux alignements de Kermario.

Le rendez-vous

Responsable du service culturel et éducatif de la Maison des Mégalithes, Jean-Michel Bonvalet résume le propos des visites-conférences organisées par le Centre des monuments nationaux. Pour les construire,« on est parti des interrogations du public : quand, où, quoi, qui, comment et surtout pourquoi ? » Jusqu’au 5 mars, des départs ont lieu tous les jours, sauf le samedi, à 15 h. Elles se font actuellement à Kermario (en ce moment fermé à la visite libre). Les visites se déroulent dans les pas d’un guide conférencier, qui propose au public de porter un autre regard sur les alignements.« Dans le mouvement de la science actuelle, on voit que peut-être la ligne n’est pas la règle, poursuit Jean-Michel Bonvalet.Quand on se place différemment dans le site, elle disparaît. » Ce point de départ amène« à rebondir » sur les théories qui se sont succédé au sujet des mégalithes. Tout d’abord, celle d’un lien avec les astres :« Ils n’ont rien à voir avec les alignements de Carnac. » Ainsi qu’une autre, en cours jusqu’au début des années 2000 :« Celle des vestiges d’un temple avec des espaces de déambulation, qui auraient permis d’accéder à un autre espace : une enceinte mégalithique. » Puis, on s’est rendu compte qu’on« ne regardait peut-être pas dans le bon sens ». Aujourd’hui, on considère les connexions entre les pierres levées,« les autres monuments qui accompagnent : grands tombeaux, tumulus, tertres ».

« Nouvelle approche »

L’archéologie du paysage est« fondamentale dans la nouvelle approche ». Ainsi, à l’époque, depuis Kermario,« on voyait le Ménec ». Un monument« prend son sens car il résonne avec un autre plus loin ». Les conférenciers« donnent des informations sur tout cela ». La question de comment ont été érigées les pierres incite à les observer de près.« Certains gros blocs portent leur histoire sur eux. » Par exemple,« sur le flanc de celui-ci, cette vasque est le résultat de dizaines de milliers d’années d’érosion » : affleurements de granit, les pierres« ont été arrachées, transportées » et érigées vers le ciel par les hommes du néolithique.« Cela permet de parler de la manutention : rondins de bois, leviers, cordages en fibres végétales, etc. » La visite enchaîne« sur le qui ». Un travail« de cette ampleur » (quelque 3 000 pierres levées aux alignements du Ménec, Kermario et Kerlescan) suppose« une société très organisée », avec« des équipes : tailleurs, cordages… » L’image de l’homme préhistorique« qui peint dans les grottes » n’est pas d’actualité :« Cette société, c’est déjà la nôtre. » Elle a aussi« des élites », inhumées dans des tombes dont le mobilier est visible au Musée de Préhistoire, avec des objets faits avec des pierres provenant d’Italie et d’Espagne. On se situe à la fin du néolithique, quand« l’homme devient sédentaire grâce à l’agriculture et à l’élevage », rappelle Jean-Michel Bonvalet. Cette évolution« change son rapport à l’environnement. L’homme prédateur devient producteur. Il a domestiqué la nature. » Article de Virginie JAMIN.

Maison des Mégalithes, le Ménec : visite-conférence à 15 h, tous les jours (sauf les samedis) jusqu’au 5 mars. Tarifs : 6 €, réduit 5 €, gratuit moins de 18 ans. Rendez-vous à la Maison des Mégalithes 15 minutes avant. Contact : tél. 02 97 52 29 81. Site : www.menhirs-carnac.fr

19 février 2017

La Trinité sur Mer

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18 février 2017

Etel - Morbihan

10 février 2017

VANNES : Week-end Jane Birkin. Exposition d'un Vannetais toujours fan

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Article de Catherine Lozac'h

Pendant trois jours, le hall du Palais des arts accueille une exposition inédite. À travers des pochettes de vinyle, des affiches, des couvertures de magazine, la carrière de Jane Birkin se révèle.

Marc Leclanche est ce qu'on peut légitimement appeler un fan. « Le premier déclic a eu lieu en 1985. J'ai entendu une voix très haute à la radio. J'ai d'abord cru que c'était Nana Mouskouri... », se souvient-il en riant. « C'était " Quoi " chanté par Jane Birkin. »

Quelques années plus tard, le jeune Vannetais assiste pour la première fois à un concert de l'égérie de Serge Gainsbourg à Rezé. Le premier d'une longue série. « J'ai dû en faire une cinquantaine ». Paris bien sûr, mais surtout les dates bretonnes : Rennes, Saint-Brieuc, Nantes, Carhaix, Lorient, Fougères... Il manquait Vannes, jusqu'à ce week-end.

En parallèle des concerts, Marc Leclanche s'est lancé dans une collection autour de Jane Birkin. Ses tickets de concert bien sûr, mais surtout un impressionnant fonds de presse. « J'aime la personne. Je trouve que les couvertures de magazine révèlent des choses sur sa carrière, sur ce qu'elle est ». Toute jeune, elle pose en couverture de « Lui ». Un peu plus tard, son regard clair illumine les très sélects « Vogue » et « Elle ». « Elle est à la fois populaire et distinguée. Elle peut aussi bien être sur Télé 7 jours que sur Télérama ». On la suit également un peu partout dans le monde, de la Turquie au Japon en passant par le Liban.

Vannes, un aboutissement

« J'ai beaucoup fréquenté les vide-greniers... Et aujourd'hui je suis beaucoup sur Internet », explique-t-il. Documents originaux ou copies, ce qui compte pour le collectionneur est de retracer les étapes de la vie de l'artiste. Les pochettes de 45  tours voisinent ainsi avec les affiches de films.

Il y a tout juste 20 ans, Marc Leclanche avait montré sa collection balbutiante à Theix, puis à Nantes dans les coulisses d'un concert, plus récemment dans les belles vitrines du Palace à Paris, où Jane Birkin chantait pour la réouverture de cette salle mythique.

Bien sûr, depuis l'annonce de sa venue, enfin, à Vannes, Marc Leclanche avait des billets pour les trois rendez-vous du week-end. Mais il a dû attendre de pouvoir poser quelques jours de congés pour recréer son exposition au Palais des Arts. « J'ai vécu mes 32 premières années à Vannes, où j'ai toujours ma famille et où je reviens régulièrement. J'ai beaucoup de souvenirs d'enfance au Palais des arts ». Il a redécouvert le lieu avec plaisir.

La Bretagne au coeur

En plus des huit panneaux de sa collection de presse, il a préparé deux séries de deux documents supplémentaires. D'abord une plongée dans l'histoire bretonne de Jane Birkin à travers la presse locale. Ses liens avec Brest et les abers, son père, la première photo prise par sa fille Kate sur les dunes. Ensuite, une série de photos de Jane Birkin par les gens qu'elle aime, Kate à nouveau, mais aussi Gabrielle, sa meilleure amie, et même Marc Leclanche en 1997 à Brest. On y trouve aussi un petit mot d'Arno et une lettre de Françoise Hardy. « Chaque objet raconte quelque chose pour moi ». Bien des moments de la carrière de Jane Birkin évoqueront aussi des souvenirs pour chacun.

Pratique

À voir jusqu'à dimanche, dans le hall du Palais des Arts.

8 février 2017

Erdeven : Salon du livre. Nouveau chapitre le 5 mars

Le lancement du projet d'espace culturel avec salle de spectacle, au centre-bourg, signe une ambition municipale forte sur le front de la culture. Déjà, cet axe s'était concrétisé par l'ouverture au quotidien de la médiathèque, qui a eu un impact net sur la fréquentation. Autre marqueur de cette politique : le salon du livre, dont la troisième édition, le 5 mars, sera celle de la consolidation de l'événement, déjà reconnu, et posera les jalons d'une montée en puissance.

À un mois de l'événement, Patricia Odaert et le comité du salon en présentent les axes forts et les partenariats élargis : avec un libraire pour appuyer la participation d'auteurs, avec les écoles par des animations, avec les familles des enfants scolarisés sur Erdeven via un chèque-cadeau de 5€ à faire valoir sur le salon. « Le salon prend de la consistance. Nous avons de très bons retours des auteurs qui ont participé ; ils nous disent qu'il a du potentiel. Il est reconnu et apprécié pour l'accueil, l'ambiance, l'espace offert qui évite la bousculade et favorise les rencontres et les échanges avec les auteurs. Pour cette troisième édition, on espère encore plus de monde ».

Les contes et légendes, fil rouge de cette édition

Plus qu'une thématique, les contes et légendes, de Bretagne et d'ailleurs, sont le « fil rouge » de cette troisième édition. « Ça ne s'adresse pas qu'aux enfants ! Et au-delà, on a veillé à une grande variété parmi les auteurs, avec tous les univers présents, pour les enfants et les adultes : polar, BD, documentaire, fiction, récit de voyage, roman,etc. Par rapport à 2016, le renouvellement des auteurs invités (47 à ce jour) est de 50 % ; pour ceux qui reviennent, on a veillé à ce qu'ils présentent de nouvelles parutions », expliquent Patricia Odaert, Isabelle Le Blé et Dorothée Varron, bibliothécaire.

En amont du salon, un concours de dessin est déjà lancé, de même que des ateliers, dans les écoles, autour des contes de Bretagne. Les 2 et 3 mars, Renaud Marhic, auteur et conférencier, interviendra dans les écoles pour montrer un lien entre super-héros d'aujourd'hui et figures des contes traditionnels.

Enfin, lors du salon, Jean-Marc Derouen fera vivre ses contes de Mylaidy pour les enfants (à 11 h et à 16 h 15). Quant à Doé, alias Dominique Buissonnais, il déploiera son théâtre du tour du monde des contes, pour petits et grands, à 14 h 45.

Pratique

Dimanche 5 mars, de 10 h à 18 h, salle du Grand-Large. Entrée libre. Buvette et restauration sur place.

Contact : tél.02.97.55.64.62.

5 février 2017

À Pont-Aven, l’art moderne en Bretagne

Exposition. Le Musée de Pont-Aven ouvre sa nouvelle exposition temporaire. Elle retrace l’histoire de l’art moderne en Bretagne à travers près de 70 toiles.

Depuis l’an dernier, le musée de Pont-Aven (Finistère) connaît une nouvelle vie. Après trois années de travaux, l’établissement a changé de dimension, passant de 50 000 visiteurs par an en moyenne à plus de 120 000 personnes depuis sa réouverture en mars 2016. Encore faut-il savoir se renouveler. Le musée ne l’oublie pas avec, par exemple, un nouveau dispositif d’exposition temporaire.« Un même sujet, la modernité en Bretagne de 1870 à 1940, illustré par une centaine d’artistes, sera traité en deux temps » , résume la conservatrice en chef Estelle Guille des ButtesFresneau. Pour cela, l’équipe a tenté de dresser un état des lieux de l’art en Bretagne aussi exhaustif que possible. Pour ce premier volet de l’expo, la période s’étire de 1870 à 1920. Sur les 89 tableaux exposés, provenant pour la plupart de collections privées, 36 toiles ont été prêtées par de grands musées publics, comme le musée d’Orsay, le centre Pompidou et le musée Marmottan. Dans un parcours pensé par une scénographe, l’exposition est découpée en trois sections. Dans l’espace Bretagne, terre d’accueil des maîtres ,le spectateur découvrira des toiles de maîtres comme Eugène Boudin et Claude Monet, qui ont encouragé les autres peintres à venir en Bretagne. Il y verra aussi des représentants du fauvisme, tels Robert Delaunay et Jean Puy.

Couleur et modernité

Avec L’influence des mouvements novateurs , on découvrira les peintres rattachés au cubisme, comme Le Fauconnier, Kickert et Sabbagh. Enfin, L’émergence de foyers artistiques permettra d’effectuer un tour d’horizon des écoles de peinture de la région, de Concarneau à Douarnenez, en passant par Perros-Guirec ou encore Camaret. Résultat : une exposition très transversale. Les œuvres, parfois présentées pour la première fois au grand public, se succèdent suivant les courants émergeant à cette période. Leur fil conducteur ? L’explosion de la couleur. Au fil de la visite, le visiteur découvrira ces audaces, symboles de modernité, que les peintres s’autorisent au tournant du XIXe et XXe siècle. Du pointillisme à l’influence du japonisme et des estampes, comme dans Le figuier à Pénerf de Ferdinand Loyen du Puigaudeau, tableau emblème de cette exposition temporaire. Ou encore, les prémisses du synthétisme, précurseur du cubisme, observable chez Adolphe-Marie Beaufrère. Le second volet de l’exposition démarrera le 1er juillet. Il retracera la période de 1920 à 1940, De Jean-Julien Lemordant à Mathurin Méheut . Article de Pauline BOURDET.

12 janvier 2017

VANNES = Festival photo. Dix expositions : de la mer à Ailleurs

David Robo a confirmé la fin du festival Photo de Mer. Créé en 2003, il laisse place à « Ailleurs », dont le thème se renouvelera chaque année.

« Ce n'est ni un choix financier, ni un choix technique », a affirmé le maire, en préambule de la présentation du nouvel événement photo de Vannes : « Ailleurs ». « Nous avions des difficultés à nous renouveler, nous souhaitions continuer à travailler avec les associations et conforter l'identité photographique du kiosque culturel. Vannes continue à soutenir la photographie », a continué David Robo. Photo de mer était le premier budget des événements culturels de la ville avec 250.000 €. « Nous avons programmé 110.000 €, hors personnel et communication, soit un budget global d'environ 200.000 € ».

Côté technique, seules deux expositions - la Steppe Mongole vue par le photographe brestois Serge Vincenti et Vannes par le club photo de l'IUT- seront en extérieur pour relier les autres sites. « L'objectif est d'amener un nouveau public vers des lieux de patrimoine : le passage central de la Cohue, Limur et les Bigotes ». Une vocation qu'avait eue Photo de mer. « C'est une orientation 2017, ce n'est pas définitif », assure David Robo. Le thème d'Ailleurs sera renouvelé chaque année. Le directeur artistique, Dominique Leroux, est lui embarqué pour plusieurs éditions.

Un air de Brest

Le photographe brestois a programmé plusieurs années les expositions de la librairie Dialogue et porté quatre ans une galerie. Membre du jury de la bourse pro de Photo de mer, figure de la photo en Bretagne, c'est sa première expérience de directeur artistique de festival.

Pour cette édition, il a choisi comme fil rouge le voyage, le trajet. Un choix dans le sillage de la parution fin 2016 de « Sad Paradise, la dernière route de Jack-Kerouac » de René Tanguy. Déjà exposé à Vannes en 2016, le photographe, brestois également, a exploré six ans le trajet réel et intérieur de Jack Kerouac, figure de proue de la Beat Generation et monument de la littérature, et de son ami Youenn Gwernig, poète et sculpteur breton. Les photos de René Tanguy, des lettres inédites de Kerouac seront mises en scène dans le passage central de La Cohue.

Autour de ce « road trip », Dominique Leroux a choisi deux maîtres français : Raymond Depardon pour « Errance » au Kiosque culturel, et Bernard Plossu pour le « Voyage mexicain » à l'hôtel de Limur. Et un maître américain : Paul Fusco et son « Funeral train », un regard sur l'Amérique depuis le train ramenant le corps de Bob Kennedy de New York à Washington.

Il présente aussi deux jeunes photographes à Limur : Alexa Brunet pour « Brest-Vladivostock » et Simon Tanguy, fils de René, pour ses déambulations solitaires et photographiques jusqu'à la mer du Japon. La « Brest connection » du festival va jusqu'à son parrain : Christophe Miossec.

Pas de concours

Les associations locales exposeront un périple au Québec de Cédric Wachthausen pour In Visu à Limur et un regard collectif sur la voie verte Questembert-Mauron pour Contraste aux Bigotes.

Pour marquer la césure entre Photo de mer et Ailleurs, pas de concours amateur pour cette première édition. Pas de bourse professionnelle non plus. Le lauréat de la bourse 2016 sera bien exposé en 2017 à Vannes, mais pas dans le cadre de l'événement. La présence de Richard Pak pourrait être coordonnée aux Rencontres de la photographie d'Arles, de début juillet à fin septembre, où son travail sera également montré.

Pratique

Du 1 er avril au 8 mai. Gratuit. En savoir plus : www.ailleurs-vannes.fr

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