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Jours tranquilles à Paris
confinement
4 avril 2020

Confinement le 4 avril 2020

confinement 4 avril

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3 avril 2020

Confinement le 3 avril 2020

confinement 3 avril ter

3 avril 2020

La baguette

baguette

2 avril 2020

Confinement : une attestation de déplacement dérogatoire numérique

Confinement : une attestation de déplacement dérogatoire numérique sera disponible sur smartphone "dès le 6 avril", annonce Christophe Castaner

Le ministre de l'Intérieur a déclaré que l'exécutif voulait "donner un peu de souplesse avec cet outil" aux Français.

Les Français pourront bientôt présenter leur attestation de déplacement dérogatoire sur smartphone. Le ministre de l'Intérieur annonce au Parisien, jeudi 2 avril, la mise en place "d'une attestation numérique en complément du dispositif papier". Elle sera utilisable à partir du lundi 6 avril. "Le service sera accessible en ligne, sur le site du ministère de l'Intérieur et du gouvernement, a précisé Christophe Castaner. Désormais, les Français se sont approprié les règles du confinement, il convient donc de leur donner un peu de souplesse avec cet outil."

Depuis l'entrée en vigueur en France du confinement, il faut impérativement avoir l'attestation de sortie dérogatoire sur soi en cas de sortie. Mais jusqu'ici, seule la version papier était acceptée en cas de contrôle. Pour utiliser la version numérique, il faudra remplir le formulaire sur son smartphone "afin de le présenter aux policiers grâce à un QR Code". "Nous n'avons pas voulu d'une application comme celles que nous avons vu fleurir lors des premiers jours du confinement, car il y avait un risque de piratage des données", précise le ministre de l'Intérieur.

Ce format permettra par ailleurs de "lutter contre la fraude", selon Christophe Castaner. "Il faudra préciser votre heure de sortie, mais l'heure à laquelle vous avez édité le document sera accessible aux policiers. Cela évitera que des personnes remplissent l'attestation uniquement à la vue d'un contrôle de police, a-t-il détaillé dans les colonnes du Parisien. Et grâce au QR code, les policiers et les gendarmes n'auront pas besoin de prendre le téléphone en main, il leur suffira de scanner l'écran."

1 avril 2020

Avec le confinement, l’Ile-de-France passe en mode silencieux

paris silence

Par Stéphane Mandard

Une étude relève une chute historique du bruit en région parisienne, où 90 % de la population est habituellement soumise à des niveaux sonores dépassant les recommandations sanitaires.

Les aboiements d’un chien, le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles dans les arbres : ces derniers jours, les citadins redécouvrent des mélodies habituellement étouffées par le vacarme des grandes villes. Si ce n’était le froid, ils en seraient presque à dormir fenêtres grandes ouvertes. Confinement oblige, la ville est passée en mode silencieux.

Moins de voitures, camions, motos, scooters dans les rues. Moins d’avions dans le ciel. Moins de trains ou de métros. Moins de marteaux-piqueurs ou d’engins de chantier. Le bruit a déserté les agglomérations. Et tous les soirs, à 20 heures, peut se propager de fenêtre en balcon la claque donnée en l’honneur des soignants engagés dans le combat contre le coronavirus.

Jusqu’à 90 % de baisse près de certaines voies

Bruitparif, l’organisme chargé de surveiller la pollution sonore en Ile-de-France, a mesuré l’impact des mesures de confinement et du ralentissement de l’activité qui en découle. Les 150 capteurs disséminés dans la région sont formels : le niveau de bruit a chuté. Jusqu’à près de 90 % la nuit aux abords de certaines voies dans Paris intra-muros.

Selon le bilan des deux premières semaines de confinement publié mardi 31 mars par Bruitparif, le niveau sonore a baissé entre 5 et 10 décibels le long des axes routiers. « Du jamais vu, réagit Aurélie Solans, conseillère déléguée à l’environnement à la Mairie de Paris. Nous vivons une expérience grandeur nature inédite ». La même tendance historique avait été mise en évidence par Airparif avec la réduction drastique de la pollution de l’air liée au trafic routier.

Un impact sur la qualité de vie

Cette chute sans précédent du niveau de bruit s’est encore amplifiée au cours de la deuxième semaine, précise Bruitparif. Elle bénéficie également aux personnes vivant à proximité des aéroports de Roissy et Orly – où le trafic est désormais quasiment nul – ou sous des couloirs aériens. Les stations de mesure de l’organisme notent aussi une baisse le long des voies ferrées qui accompagne la réduction du trafic ferroviaire.

Cette réduction de la pollution sonore ne se limite pas aux transports, elle est aussi perceptible pour les riverains des chantiers (ceux du Grand Paris Express sont à l’arrêt) ou dans les quartiers festifs de la capitale. « Les nuisances sonores ont disparu des quartiers animés de la capitale, qui comptent de nombreux bars et restaurants ou établissements habituellement fortement fréquentés en soirée et en début de nuit », relève Bruitparif. Les baisses peuvent atteindre jusqu’à 20 décibels.

« On ne peut évidemment pas souhaiter que le pays reste paralysé mais peut-être que ce répit, lorsque le confinement prendra fin, aura au moins le mérite de faire prendre conscience aux gens que le bruit peut avoir un impact sur leur qualité de vie, commente Fanny Mietlicki, la directrice d’Airparif. Car beaucoup de Français, et en particulier de Franciliens, vivent en permanence dans un univers sonore bruyant. »

Un enjeu de santé publique

De par la densité de sa population et de son maillage (routes, voies ferrées, aéroports), l’Ile-de-France est la région de France la plus touchée par le bruit lié aux transports. 90 % de la population est exposée à des niveaux supérieurs aux valeurs recommandées par l’Organisation mondiale de la santé : 53 décibels (dB) pour le trafic routier (et 45 dB la nuit), et de respectivement 45 dB et 40 dB pour les avions.

« L’exposition au bruit des transports constitue un enjeu de santé publique, rappelle Aurélie Solans. La chute de l’exposition à cette pollution transforme notre paysage sonore avec des bénéfices en termes de santé. » Le bruit est en effet considéré comme « la seconde cause de morbidité derrière la pollution atmosphérique » parmi les facteurs de risque environnemental en milieu urbain. Troubles du sommeil, infarctus du myocarde, acouphènes, gênes… dans une étude publiée en février 2019, Bruitparif estimait que le bruit des transports était responsable, en moyenne, d’une perte de 11 mois de vie en bonne santé par habitant et jusqu’à trois ans pour les plus exposés, vivant souvent à proximité d’un aéroport.

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29 mars 2020

PEROU : La police protégée si elle tue pendant le confinement

police perou

PEROU : Les militaires et policiers qui patrouillent pour faire respecter la quarantaine seront exemptés de responsabilité pénale s'ils tuent ou blessent par «légitime défense».

Le ministère de la Défense a averti sur les réseaux sociaux, vidéos à l'appui, que les militaires allaient faire usage du «principe de la légitime défense» en cas de «danger».

Les militaires et policiers péruviens qui patrouillent pour faire respecter la quarantaine décidée contre le coronavirus seront exemptés de responsabilité pénale s'ils tuent ou blessent par «légitime défense» en situation de «danger», ont annoncé les autorités samedi. «Le personnel des forces armées et de la police nationale du Pérou est exempté de toute responsabilité pénale dans l'exercice des fonctions constitutionnelles qui (...) de manière réglementaire, provoque des blessures ou la mort» du contrevenant, est-il écrit dans une loi publiée samedi dans l'organe officiel.

Après cette publication, le ministère de la Défense a averti sur les réseaux sociaux, vidéos à l'appui, que les militaires allaient faire usage du «principe de la légitime défense» en cas de «danger». Le Pérou est soumis à un isolement obligatoire et à un couvre-feu nocturne depuis le 16 mars.

(L'essentiel/afp)

29 mars 2020

Confinement - L’Espagne va surveiller les déplacements de ses habitants grâce aux smartphones

COURRIER INTERNATIONAL (PARIS)

Le gouvernement de Pedro Sánchez a décidé, samedi 28 mars, d’ordonner à tous les salariés travaillant dans des secteurs non essentiels de rester chez eux durant deux semaines. Pour mesurer l’efficacité du confinement, le gouvernement a demandé aux opérateurs de téléphonie mobile de lui fournir les données de géolocalisation de tous les smartphones du pays.

Après l’Italie, c’est au tour de l’Espagne de durcir les mesures prises pour lutter contre le covid-19. Alors que le pays a enregistré 832 morts en 24 heures, selon le dernier bilan publié samedi, le gouvernement de Pedro Sánchez a annoncé que tous les salariés des activités non essentielles devront rester chez eux durant les deux prochaines semaines.

Le but est de réduire encore plus la mobilité et donc la potentielle propagation du virus alors que les Espagnols sont déjà soumis depuis mi-mars à un confinement des plus stricts qui a été prolongé jusqu’au 11 avril. Afin d’évaluer l’efficacité des nouvelles mesures annoncées samedi, le gouvernement a demandé aux opérateurs de téléphonie mobile de fournir à l’Institut national de la statistique espagnol, des données de géolocalisation recueillies sur les smartphones des habitants, rapporte le quotidien espagnol ABC.

Le secrétaire d’État à la Numérisation et à l’Intelligence Artificielle réalisera ensuite un rapport basé sur les mouvements de population “afin de déterminer les principales voies de contagion et de concevoir un modèle de lutte efficace” contre le coronavirus, explique La Vanguardia.

Il y a quelques mois, une étude similaire analysant les mouvements de la population espagnole avait suscité la polémique en Espagne, “en raison d’importants doutes concernant l’anonymisation des données collectées”, rappelle ABC.

29 mars 2020

Confinement physique, expansion érotique ?

Par Maïa Mazaurette

A ceux qui rêvent d’inscrire « rebond sexuel » sur leur to-do list du moment, la chroniqueuse de « La Matinale » Maïa Mazaurette livre de bons conseils. Aux autres, elle rappelle que c’est toujours « sans obligation ».

LE SEXE SELON MAÏA

Déjà dix jours de confinement ! A mesure que la vie ralentit, certains rêvent de compenser par une accélération sexuelle : contre mauvaise fortune bon cœur, et contre la distanciation, les délices du rapprochement. Non seulement la sexualité a l’avantage de sublimer le confinement, mais elle lui donne un sous-entendu canaille. Elle se pratique à domicile, sans frais, seul, à deux, a priori sans contrôle de police : tous les voyants sont au vert.

Sauf qu’en termes de transcendance érotique il y a – une fois encore – les privilégiés et les autres. Côté pile, les couples cohabitant sans enfants pourront certainement courir nus dans leurs 25 mètres carrés en secouant leur chatoyante chevelure. Côté face, les célibataires risquent de le rester un moment, les couples avec enfants vont perdre de l’intimité, les duos mal assortis pourront fignoler leur procédure de divorce, et je ne doute pas que certains individus – plutôt des femmes – subiront une pression pour augmenter la fréquence des rapports sexuels.

Cependant, refrénons notre misérabilisme : certains d’entre nous ont le temps, la place et l’envie d’inscrire « rebond sexuel » sur leur « to-do list » de confinement. Voici quelques idées pour retrouver un second souffle.

1) Protégez-vous

Le coronavirus a été retrouvé dans la salive et les fèces, mais pour l’instant ni dans le sperme ni dans les sécrétions vaginales. Les projections de salive étant quasi inévitables, le meilleur partenaire sexuel, c’est vous-même. En l’absence de symptômes, votre partenaire habituel fera très bien l’affaire aussi – à condition d’arrêter les rapports au moindre doute sanitaire.

Pour les partenaires occasionnels et les rencontres d’un soir, attendez la fin de la pandémie (ou pratiquez le sexe via webcam, messagerie instantanée, sextoys connectés : vivre en 2020 n’offre pas que des désagréments). Enfin, n’oubliez pas que ni les IST ni les grossesses non désirées ne disparaissent magiquement en temps de crise : les mesures de précaution habituelles restent d’actualité.

2) Enfilez des (vrais) vêtements

On connaît la chanson : débarrassé des obligations sociales, l’être humain lambda tente de transformer chaque journée en dimanche matin, cette parenthèse enchantée où les pantalons constituent des vues de l’esprit. Je vous accorde une dérogation pour les trois prochaines heures, mais ensuite habillez-vous, lavez-vous (pas seulement les mains), coiffez-vous. Rien ne donne moins envie d’être déshabillé qu’une personne déjà déshabillée.

3) Redécouvrez votre partenaire

Je sais, je sais : après 97 896 heures en circuit fermé dans un studio de la taille d’un timbre-poste, on a envie de rencontrer tout le monde, sauf notre partenaire (adoré mais envahissant). Difficile de se languir de l’autre dans des conditions pareilles.

Cependant, tout n’est pas perdu : la proximité physique peut se compenser par des distances non géographiques. Essayez de vous habiller différemment (en commençant par ce fameux pantalon), de vous livrer à des activités inhabituelles (le bilan comptable de la boîte sur FaceTime), de vous poser des questions auxquelles vous n’aviez jamais pensé. Vous ne pouvez pas changer la situation, mais vous pouvez certainement changer de conversation !

A cet effet, je vous ai traduit sur ce fil Twitter les questions recommandées par le New York Times : Si vous deviez sauver un seul objet dans votre maison incendiée, quel serait cet objet ? Vous pouvez inviter n’importe quelle personne dans le monde à dîner : qui choisiriez-vous ? (Il y en a trente-quatre autres.)

4) Calmez votre anxiété

Non seulement l’addiction aux flux d’information nous fait tourner en boucle (je parie que vous pouvez réciter les symptômes du Covid-19 en sanskrit et à l’envers), mais cette rumination ne laisse aucune place à d’autres imaginaires – notamment érotiques.

L’anxiété compromet à la fois les érections et la motivation. Pourtant, le problème et la solution se confondent, puisque le sexe est un antistress naturel (voir notre chronique consacrée au sexe sans stress).

Rappelez-vous que l’anxiété n’est pas forcément une ennemie, apprenez à la discipliner par des exercices de respiration, prenez le temps de vous ennuyer et profitez de cette occasion pour laisser tomber toute pression concernant vos performances (pendant les pandémies, et idéalement hors des pandémies aussi : zéro pression).

5) Passez un doctorat « culture sexe »

Parce que le champ des possibles s’est réduit comme peau de chagrin, les adeptes du FOMO (fear of missing out, peur de rater des choses) compensent avec un champ culturel en pleine expansion. Les propositions alléchantes s’accumulent (opéras gratuits, jeux vidéo gratuits, ebooks gratuits, MOOC gratuits, n’en jetez plus).

Sexuellement, vous faites coup double : 1) l’érotisme est une culture, 2) en la redécouvrant, vous augmenterez nécessairement l’étendue de votre répertoire fantasmatique et pratique – dont vous ferez bon usage, éventuellement après la pandémie. Quelques ressources :

– Remettez à jour votre liste de podcasts, vos classiques du roman érotique, votre bibliothèque de bandes dessinées et de non-fictions sur la sexualité, et même votre playlist.

– Si vous préférez Netflix, Sex Education se laisse regarder… (et donne l’occasion de parler de sexualité aux ados).

– Lisez mon abécédaire des mots du sexe, publié sur Lemonde.fr.

6) Upgradez vos masturbations

Les plaisirs solitaires ne rendent pas sourd, ils peuvent même étendre notre amplitude sexuelle. A condition de les sortir de leur condition de pis-aller expédié en deux minutes, pour les faire entrer par la grande porte dans le domaine de l’hédonisme (vous le valez bien).

Cette option devrait réjouir les confinés isolés, mais pas seulement, puisque le risque est grand de se retrouver constamment en demande envers son/sa partenaire.

Apprenez à (re)découvrir votre corps, en prenant votre temps, en utilisant des supports fantasmatiques différents et en testant des zones habituellement zappées. Nos habitudes sont modifiées : modifiez vos masturbations ?

7) Mollo sur le X

La consommation pornographique est en hausse mondiale de 11,6 % par rapport à début février selon les statistiques Pornhub (on sait que les pics de consommation surviennent quand les internautes sont à domicile, cette évolution était donc prévisible).

La France affiche + 38,2 % de visionnages, et l’Espagne + 61,3 %. Si j’étais vous, je favoriserais d’autres solutions : le X est déjà suffisamment angoissant en général. Pensez à la musique, aux fanfictions, à la peinture, à la rêverie…

8) Pratiquez le sexe à distance

Si votre partenaire se trouve actuellement hors d’atteinte, l’heure est venue de tester les teledildonics : sous cette appellation barbare se tapit un marché de niche en pleine expansion, celui des sextoys permettant des interactions à distance.

Pour une version low-tech, la vidéoconférence, avec ou sans sextoys, fonctionne au poil. Les adeptes de sexting pourront upgrader l’art de la correspondance érotique, et l’éclairage sur leurs nudes. En l’absence de partenaire, tchatez sur les sites de rencontre : même s’ils ont vu leur fréquentation chuter de 55 %, vous pourrez toujours trouver quelqu’un pour après.

9) Lancez votre ménage de printemps

Où en êtes-vous côté sextoys ? Ces menottes en fourrure prennent-elles la poussière depuis quatre ans dans votre tiroir ? Est-il temps de commander le joujou de vos rêves (voici comment le choisir) ou de transformer votre mobilier en fourniture érotique improvisée ?

Redécouvrez les potentiels abandonnés… et, si comme moi vous avez tendance à perdre vos câbles, repensez l’organisation de votre coffre aux trésors. Au passage : les sextoys se lavent à l’eau savonneuse – comme les mains !

10) Cette liste est facultative

Si le coronavirus vous donne envie de jeter votre vie sexuelle par la fenêtre, allez-y. Si votre partenaire lâche l’affaire, acceptez sa décision. Si on vous met la pression concernant le fameux baby-boom post-virus, oubliez (quand les menaces sont sévères et prolongées, la natalité a tendance à baisser, selon le docteur Justin Lehmiller).

La pandémie nous soumet déjà à des situations pas faciles, n’en rajoutons pas. Par ailleurs, un rappel important : si vous êtes victime de violences domestiques, sexuelles ou non, le numéro d’écoute est le 39 19, le numéro d’urgence est le 17.

Enfin, n’oubliez pas ! Le sexe n’est pas prioritaire. Il peut attendre. Gardez-en pour plus tard, consommez tout de suite : c’est vous qui décidez.

27 mars 2020

La période de confinement est prolongée au moins de deux semaines

Coronavirus : la période de confinement est prolongée au moins de deux semaines, jusqu'au mercredi 15 avril, annonce le Premier ministre

Ce n'est pas encore demain que les Français retrouveront une vie normale. Depuis l'Elysée, où il s'exprimait vendredi 27 mars, Edouard Philippe a annoncé que la période de confinement pour lutter contre l'épidémie de coronavirus était prolongée de deux semaines. C'est-à-dire jusqu'au mercredi 15 avril. "Cette période pourra être prolongée si la situation sanitaire l'exige. Je remercie les Français pour leur civisme, leur patience et leur solidarité. Je vous donne rendez-vous demain pour un point complet avec le ministre de la Santé, Olivier Véran", a précisé le Premier ministre à la sortie du Conseil des ministres.

27 mars 2020

Confinement - Patientons en regardant le ciel...

nuages

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