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Jours tranquilles à Paris
festival de cannes
14 avril 2017

Sélection festival de Cannes : un nouveau film de François Ozon = L'amant double

💥L amant Double 💥 sélection officielle Cannes 2017 🚨 #marinevacth ❤️ #francoisozon

Une publication partagée par Paul Schmidt (@paul1schmidt) le 13 Avril 2017 à 2h57 PDT

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13 avril 2017

Festival de Cannes - la sélection officielle

10 avril 2017

Festival de Cannes - affiche Claudia Cardinale

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22 mars 2017

Festival de Cannes

18 février 2017

Festival de Cannes. Les anti-corridas contestent la présidence d'Almodovar

Une pétition relayée par des associations anti-corridas, et qui a recueilli plus de 22.000 signatures, demande au président du festival de Cannes, Pierre Lescure, de « renoncer » à attribuer la présidence du jury 2017 au cinéaste espagnol, Pedro Almodovar (ci-dessus), présenté comme un « multirécidiviste aficionado, non repenti ». « Un grand festival de cinéma, tel que Cannes, mérite mieux que cette banalisation de l'horreur dont Almodovar est le symbole », est-il écrit dans la pétition.

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31 janvier 2017

Le cinéaste espagnol Pedro Almodovar sera le président du jury du prochain Festival de Cannes

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Pour présider le jury de sa 70e édition, du 17 au 28 mai, le Festival de Cannes a choisi un habitué, le réalisateur espagnol Pedro Almodovar, ont annoncé les organisateurs mardi 31 janvier. Le cinéaste sera chargé, avec ses jurés dont le nom n'est pas encore connu, d'élaborer le palmarès du festival, et notamment d'attribuer la Palme d'or. Il succède, dans ce rôle, au réalisateur australien de Mad Max, George Miller.

17 janvier 2017

Pierre Lescure reconduit à la Présidence du Festival de Cannes

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Alors que le Festival de Cannes prépare sa 70e édition, Pierre Lescure vient d’être réélu à l’unanimité Président de l’association organisatrice.

En décembre 2016, le conseil d’administration de l’Association Française du Festival International du Film, qui réunit pouvoirs publics et professionnels du 7e art, a renouvelé sa confiance à Pierre Lescure, et l'a réélu Président du Festival, poste qu'il occupe depuis juillet 2014. Ce nouveau mandat, d’une durée de trois ans, couvrira les éditions 2018, 2019 et 2020. Il garantit ainsi la continuité de la gouvernance du Festival et de ses projets.

Journaliste, cofondateur de la chaîne Canal+, Pierre Lescure a été Président-Directeur général du groupe Canal+ de 1994 à 2002. Entre 2008 et 2014, il est producteur et directeur des opérations du théâtre Marigny. Il est depuis 2015 Vice-Président de Molotov TV, la nouvelle plateforme numérique d’accès à la télévision.

Aux côtés de Pierre Lescure, Thierry Frémaux, Délégué général, continuera à diriger l’institution et à assurer notamment la sélection officielle qui sera dévoilée, pour l’édition 2017, à la mi-avril.

LE FESTIVAL DE CANNES SE TIENDRA DU 17 AU 28 MAI 2017.

5 janvier 2017

Festival de Cannes 2016 - Bella Hadid

Goodnight 😴 ⭐️best of GM 2016⭐️Bella Hadid x Cannes x 2016⚡️#bellahadid x @bellahadid x 129.4

Une photo publiée par Models (@goddessesmodels) le 30 Déc. 2016 à 16h02 PST

26 mai 2016

Retour sur le Festival de Cannes : jury sage pour images rugissantes

C’est un théorème cannois : les mauvaises sélections font les plus beaux palmarès, et inversement. Cette année n’a pas fait pas exception, qui a vu le jury ignorer la quasi-intégralité des œuvres qui nous ont transportés, pour en primer d’autres qui, si elles ne sont pas forcément indignes, ne reflètent en rien la force d’une compétition qui n’a pas plané si haut depuis longtemps. A l’exception de Juste la fin du monde, de Xavier Dolan, grand film qui a divisé beaucoup la critique, mais qui nous a, au Monde, follement enthousiasmés, et qui repart avec le Grand Prix du jury (autrement dit le deuxième prix), le reste du palmarès, à commencer par la Palme d’or, attribuée à Ken Loach pour Moi, Daniel Blake, a un aspect bien terne. Et surtout injuste.

Défendu dans nos pages, Moi, Daniel Blake est un mélo social efficace et émouvant, bien qu’un peu mécanique, où le cinéaste britannique dénonce avec véhémence la privatisation rampante des services publics, et le système d’humiliation et de contrôle social qui en découle. En recevant la Palme (deuxième de sa carrière après Le vent se lève, en 2006), l’Anglais a asséné sur un ton lyrique et combatif qui lui ressemble : « Quand il y a du désespoir, c’est toujours à l’extrême droite que cela profite. Il est urgent de dire qu’un autre monde est possible, et qu’il est nécessaire. »

Dans les meilleurs cas, le palmarès a souligné les mérites des films et des personnes qu’il a récompensés. L’actrice philippine Jaclyn Jose, par exemple, est formidable dans Ma’ Rosa, mais il s’agit malheureusement du film le plus faible de son auteur, Brillante Mendoza. Lauréat ex aequo du prix de la mise en scène, Baccalauréat, de Cristian Mungiu, est quant à lui, incontestablement, un film assez virtuose.

Un grand cru

C’est moins le cas, selon nous, de Personal Shopper, d’Olivier Assayas, avec qui il partage ce prix, du Client, d’Asghar Farhadi, film au parfum assez puritain, doublement récompensé pour son scénario et son acteur, Shahab Hosseini, et d’American Honey, d’Andrea Arnold (Prix du jury). Mais un palmarès est un palmarès, et laissons au jury le loisir de l’assumer pour lui-même.

Pour ce qui nous concerne, cette compétition restera donc comme un grand cru, qui a redoré le blason de la section reine, qu’avait un peu terni, en 2015, la désertion d’une poignée de cinéastes (dont Arnaud Desplechin) de l’officielle vers la Quinzaine des réalisateurs. A son sommet trônait une œuvre magistralement punk, le Toni Erdmann, de l’Allemande Maren Ade, dont la secousse tellurique a fait l’effet d’une formidable catharsis collective – qui méritait, sinon la Palme, au moins un prix d’interprétation pour son acteur principal, l’immense Peter Simonischek, sans lequel elle ne serait pas ce qu’elle est.

Quatre films porteurs d’espoir

Avec Ma Loute, de Bruno Dumont, Rester vertical, d’Alain Guiraudie, Elle, de Paul Verhoeven, Toni Erdmann a fait souffler un vent d’anarchie, qui venait pulvériser les normes du bon goût, faire craquer la couche de vernis sous laquelle ronronne trop souvent le cinéma d’auteur. Pleins d’un espoir galvanisant (à la différence du Client ou de Baccalauréat, dont les personnages ploient sous le poids de la culpabilité), ces quatre films sont porteurs d’une croyance dans la possibilité, et plus encore dans la nécessité, de résister, de briser les chaînes invisibles de nos vies aliénées.

Autre grand film de résistance, Aquarius, de Kleber Mendonça Filho, s’inscrit dans la catégorie des grandes œuvres pleines et amples, où figurent aussi Juste la fin du monde, de Xavier Dolan, Loving, de Jeff Nichols, et La Mort de Louis XIV, d’Albert Serra, chef-d’œuvre habité par la présence solaire de Jean-Pierre Léaud, injustement relégué hors compétition. La Palme d’honneur qui a été attribuée à l’acteur a toutefois contribué à le mettre au centre, et donné lieu à ce qui a été sans aucun doute le moment le plus émouvant de la cérémonie.

Le reste de la compétition était moins excitant. D’un côté, une moisson sans surprise d’œuvres de grands habitués de la Croisette, avec des degrés de réussite variables. Non seulement Moi, Daniel Blake, Baccalauréat, ou Ma’ Rosa, mais aussi Sieranevada, du Roumain Cristi Puiu ; Mademoiselle, de Park Chan-wook ; Mal de pierres, de Nicole Garcia ; Paterson, de Jim Jarmusch ; La Fille inconnue, des frères Dardenne. De l’autre, le quota incompressible de ratages et d’erreurs de casting, parmi lesquels The Last Face, de Sean Penn, monument d’indignité et d’indigence, qui méritait presque une Palme de l’horreur.

De la solitude et des femmes

Si aucune idée du cinéma ne fédérait cet ensemble hétéroclite, on pouvait y déceler des thématiques. La solitude est sans doute celle qui traverse le plus grand nombre de films, que l’on peut classer en deux groupes, selon la dynamique que met en branle le personnage principal.

D’un côté, il y a des machines autarciques, qu’une disposition naturelle, un état névrotique ou une situation objective aboutissent à totalement couper de leurs semblables : Isabelle Huppert dans Elle, dont la puissance effarante cannibalise toute celle de son entourage ; Elle Fanning dans The Neon Demon, dont la beauté produit à peu près le même effet ; Kristen Stewart dans Personal Shopper qui, depuis la mort de son frère, a déserté le monde des vivants ; Gaspard Ulliel dans Juste la fin du monde, que sa famille est tellement incapable d’écouter qu’il n’arrivera jamais à leur annoncer la nouvelle de sa mort ; Louis XIV, pour qui la solitude radicale est l’autre nom du pouvoir absolu.

De l’autre côté, on trouve des hommes et des femmes isolés par la vie, mais qui œuvrent au contraire à créer du lien : la belle Clara d’Aquarius (Sonia Braga), Winfried, le personnage principal de Toni Erdmann, Daniel Blake chez Ken Loach (Dave Johns), le scénariste nomade de Rester vertical (Damien Bonnard), la jeune médecin célibataire que joue Adèle Haenel dans La Fille inconnue.

La sélection témoignait en outre d’une évolution réjouissante de la représentation des femmes au cinéma. On ne comptait plus les héroïnes fortes, occupant des postes de pouvoir, sans que cela soit même problématisé. Les plus beaux personnages féminins de la compétition étaient, sans aucun doute, Clara (Sonia Braga) dans Aquarius et Isabelle Huppert dans Elle. Sans oublier, pour compléter ce tableau féminin, Virginie Efira, solaire vedette de Victoria, de Justine Triet, qui ouvrait la Semaine de la critique. Trois actrices puissantes, de 40 ans ou plus, qui semblent ouvrir une nouvelle ère. Article d'Isabelle Regnier - Journaliste culture, critique de cinéma

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Le palmarès du 69e Festival de Cannes

la Palme d’or à Moi, Daniel Blake, du Britannique Ken Loach

le Grand Prix à Juste la fin du monde, du Canadien Xavier Dolan

le prix de la mise en scène ex aequo au Français Olivier Assayas (pour Personal Shopper) et au Roumain Cristian Mungiu (pour Baccalauréat).

le prix du scénario à l’Iranien Asghar Farhadi pour Le Client (Forushande)

le prix d’interprétation féminine à Jaclyn Jose, pour son rôle dans Ma’Rosa, du Philippin Brillante Mendoza

le prix du jury à American Honey, de la Britannique Andrea Arnold

le prix d’interprétation masculine à Shahab Hosseini, pour son rôle dans Le Client (Forushande), de l’Iranien Asghar Farhadi

la Caméra d’or à Divines, premier long-métrage de la Franco-Marocaine Houda Benyamina (Quinzaine des réalisateurs)

la Palme d’or du court-métrage à Timecode, de l’Espagnol Juanjo Gimenez, ainsi qu’une mention spéciale du jury pour le Brésilien Joao Paulo Miranda Maria, pour La Jeune Fille qui dansait avec le diable.

  

22 mai 2016

Palme d'Or - Festival de Cannes

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