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Jours tranquilles à Paris
societe
4 juillet 2016

BIKINI

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2 juillet 2016

Gay Pride cet après-midi à Paris - Galerie de portraits...

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30 juin 2016

Circulation dans Paris...

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30 juin 2016

Les vignettes auto sont de retour... Pour lutter contre la pollution !

Les vignettes font leur grand retour. Cette fois-ci, il s'agit de limiter la pollution.Les vignettes font leur grand retour. Cette fois-ci, il s'agit de limiter la pollution. Getty Images/iStockphoto

A compter du 1er juillet, des vignettes auto vont faire leur apparition pour permettre de classer les voitures en fonction de leur niveau de pollution. Seules les collectivités volontaires auront recours à ce nouveau dispositif. Le point sur le fonctionnement de ces " vignettes " anti-pollution.

Les vignettes font leur grand retour. Mais cette fois-ci, il s'agit de limiter la pollution. Ségolène Royal, la ministre de l'Environnement, a annoncé ce mardi que le dispositif, prévu dans la loi sur la transition énergétique, sera mis en place à partir du 1er juillet prochain. Le but : classer les voitures en fonction de leur niveau de pollution afin de limiter la circulation automobile dans certaines zones.

A quoi ça sert ?

D'après une étude de l'agence Santé publique France, la pollution de l'air tue 48 000 personnes chaque année en France. Ces vignettes représenteront un moyen de lutte contre ce problème sanitaire. 

Comment ? En indiquant l'impact des véhicules sur la qualité de l'air afin de les autoriser ou non à circuler. Ce sera le cas dans les zones dites de "circulation restreinte" a précisé la Ministre. Elles pourront aussi servir d'outil, ponctuellement, en cas de pic de pollution.

Comment ça marche ?

Si vous habitez une collectivité "active" dans la lutte contre la pollution de l'air, vous pourrez vous procurer une de ces pastilles de couleur pour votre véhicule. 

Au total, 6 types de certificats sont proposés : vert pour les véhicules les moins polluants (hybrides, à gaz, ou électriques). Puis elles se déclinent en violet, jaune, orange, bordeaux et gris pour les autres. 

Pour obtenir votre vignette, il vous faudra vous rendre sur le site www.certificat-air.gouv.fr - attention, le site est pour l'instant inactif - muni de votre numéro d'immatriculation. Il vous en coûtera tout de même 4,50 euros de frais postaux pour recevoir le sésame par la poste avant de le coller sur votre véhicule. 

Pour quelles voitures ?

Dans les collectivités concernées, ces autocollants seront disponibles pour toutes les voitures, exceptées celles immatriculées avant le 31 décembre 1996. 

Dans quelles villes ?

La ville de Paris a d'ores et déjà indiqué qu'elle mettra en place le dispositif. Baptisées "Crit'air", ces vignettes seront disponibles, à partir du 1er juillet prochain, pour les automobilistes de la capitale. Elles seront obligatoires dès janvier 2017.

D'autres villes, à l'image de Grenoble, Bordeaux et Strasbourg, seraient aussi en bonne voie de s'y mettre, indique l'AFP.

28 juin 2016

Le parcours de la Gay Pride de samedi prochain 2 juillet 2016

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26 juin 2016

Référendum sur l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes : le "oui" donné nettement en tête, sur 53,65% des voix

Le très critiqué projet d'aéroport de Notre-Dames-des-Landes va-t-il enfin pouvoir décoller ? Après des années de contestation, les habitants de Loire-Atlantique étaient appelés à se prononcer, dimanche 26 juin, lors d'un référendum annoncé en février par François Hollande. Et selon les premiers résultats communiqués par la préfecture, le "oui" (56,57%) l'emporterait nettement sur le "non" (43,43%). Des résultats portant sur 53,65% du corps électoral.

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26 juin 2016

« Interdire la circulation des véhicules anciens revient à vouloir chasser les pauvres de Paris »

L’affaire prêterait plutôt à sourire si elle n’était symbolique d’une attitude et d’un choix politiques. La Mairie de Paris a ainsi décidé d’interdire, à partir du 1er juillet, la circulation dans la capitale des véhicules âgés de plus de vingt ans. L’argument : ils pollueraient beaucoup plus que les autres.

Appel à témoignages :   Que pensez-vous de cette mesure ? Votre véhicule est-il concerné ?

Le problème est que rien ne prouve que l’âge d’un véhicule implique un taux de pollution élevé. Le mien, une Mini ancien modèle − et réellement tout à fait « mini » −, mise en service en 1989, ne pollue pas plus qu’une Twingo ou une 208 neuve. Son dernier contrôle technique le prouve, s’il en était besoin.

La pollution automobile est en effet, la plupart du temps, liée à la puissance du moteur, à la taille et à la cylindrée plutôt qu’à l’âge, surtout si le véhicule est bien entretenu. L’argument ne tient donc pas.

« Salauds de pauvres ! »

Pourquoi alors une mairie « de gauche » cherche-t-elle à sanctionner les propriétaires de véhicules anciens ? Je crois que la cause est à la fois plus profonde et plus grave.

Deux catégories de citoyens automobilistes en sont les victimes. D’un côté, les plus pauvres, qui n’ont pas les moyens d’acheter un nouveau véhicule et qui le réparent tant bien que mal car il leur est nécessaire pour aller travailler. De l’autre, les conducteurs de voitures anciennes qui préfèrent leurs formes à celles, standardisées, des modèles actuels.

Cette décision signifie donc plusieurs choses.

La première est que l’on cherche à chasser les pauvres de Paris en les obligeant à prendre les transports en commun, dont tous ceux qui les connaissent bien savent qu’ils ne sont ni fiables ni rassurants. Qui va en effet imaginer qu’une serveuse de restaurant va rentrer chez elle, seule, en RER, en lointaine banlieue, à minuit et plus ? « Salauds de pauvres ! », comme disait Jean Gabin dans La Traversée de Paris.

La deuxième est que l’on cherche à renouveler le parc de voitures en obligeant un grand nombre de gens à acheter un nouveau modèle et donc à favoriser les grands groupes de l’industrie automobile. Mais qui peut, aujourd’hui, acheter un véhicule à 30 000 ou 40 000 euros, électrique, bien sûr ? Certainement pas les classes populaires.

La troisième est que l’on cherche à faire comprendre qu’il ne peut y avoir de plaisir à conduire une automobile.

Or, désolé de l’avouer, il peut y avoir du plaisir à conduire, et pas seulement par égoïsme ou pour rendre malade ses concitoyens.

J’aime conduire

Comme des millions de gens, en France et dans le monde, j’aime conduire, et je pense même que la voiture donne de l’indépendance et de la liberté. C’est le sentiment que j’ai ressenti le jour où j’ai obtenu mon permis et je crois toujours que posséder un véhicule permet de vivre à son rythme, sans se soucier d’horaires contraignants, et de découvrir le monde.

Je sais que l’idée n’est plus très répandue, en particulier chez une partie de nos dirigeants politiques, mais je crois aussi qu’on ne gouverne pas en se fiant aux statistiques.

Pourquoi alors devrais-je arrêter de conduire ma Mini, cette petite voiture qui fait la joie des enfants lorsqu’ils l’aperçoivent et que les groupes de touristes asiatiques mitraillent de photos ?

Contrôlons la pollution des véhicules, d’accord, mais n’instaurons pas de règles contraignantes, aux conséquences stupides et liées à des critères d’âge qui n’ont pas grand-chose à voir avec le problème.

Aimer conduire et préférer une voiture ancienne à une voiture moderne n’est ni « de gauche » ni « de droite ». C’est un choix qui a à voir avec la liberté et qui, contrairement à certaines idées en cours, n’empiète pas sur la liberté des autres.

Gentrification

Et puis, surtout, arrêtons cette politique de gentrification de Paris qui consiste, depuis plus d’une dizaine d’années, à uniformiser la population de la capitale, en en chassant les couches sociales les plus défavorisées et les immigrés, et en la transformant en une ville pour étudiants, oisifs et touristes.

La hausse du prix des appartements et des loyers a fait son travail d’exclusion. Mais les décisions prises par la Mairie pour restreindre systématiquement l’accès des véhicules depuis les banlieues populaires du nord et de l’est de Paris ont fait le reste.

Chers élus de Paris, ne tombez pas dans le panneau qui consiste à accroître les inégalités sociales sous prétexte de lutte contre la pollution !

Il y a aujourd’hui d’autres problèmes autrement plus importants à régler, y compris si l’on veut faire baisser le taux de particules fines. Revenez sur cette décision stupide et injuste qui, si elle est appliquée, ne nous fera plus rire.

François Margolin

24 juin 2016

Gay Pride à Paris = le 2 juillet - save the date

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14 juin 2016

Nouvelle journée de grève et manifestation...

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12 juin 2016

Grève à la SNCF

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