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Jours tranquilles à Paris
societe
7 novembre 2016

Société

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26 octobre 2016

"Jungle" de Calais - Migration

Des flammes sont aperçues dans la « jungle » de Calais, le 26 octobre. 1 918 des 6 500 exilés ont quitté le bidonville dans les bus du gouvernement, lundi. Mais des groupes de migrants refusent toujours ces départs qui ne correspondent pas à leur projet. Tous les 50 mètres, un brasero ou un feu de camp enfume le quartier afghan de la « jungle » de Calais (Pas-de-Calais). Une sorte de triste fête anime, lundi 24 octobre au soir, ce lieu où les palettes de bois et les planches se consument aussi vite que les derniers espoirs de passer au Royaume-Uni. Ce sont des pans entiers du bidonville qui partent ainsi en fumée. Un petit monde, fût-ce un bidonville, s’écroule en direct, et certains sont bien décidés à accompagner l’agonie du lieu. -- People stand on a hill as smoke and flames rise from amidst the tents, after fires were started in the makeshift migrant camp known as "the jungle" near Calais, northern France, Wednesday, Oct. 26, 2016. Firefighters have doused several dozen fires set by migrants as they left the makeshift camp where they have been living near the northern French city of Calais. -- Photo : @thibaultcamus @ap.images Lire l'article : > http://bit.ly/2eaR472 < #Calais #CalaisJungle #Jungle #Migrants #Refugies #Camp #France #Crise #TheJungle #Refugees #RefugeeCamp #Crisis

Une photo publiée par Le Monde (@lemondefr) le 26 Oct. 2016 à 10h30 PDT

«Le bidonville de Calais part en fumée. Ses échoppes, ses restaurants, ses abris minutieusement installés depuis plusieurs mois disparaissent peu à peu sous les flammes. En fin de matinée, des incendies se sont déclarés dans plusieurs points de la «jungle». Leur origine est inconnue : s’agit-il d’actes d’individus malveillants, du résultat d’une «tradition» de la communauté afghane qui mettrait le feu aux abris quand elle quitte un lieu, comme le soutient la préfète du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, ou un peu des deux ?» Ce mercredi signe la fin de trois jours d'évacuation du camp, devenu méconnaissable entre les incendies et le départ de l'essentiel des réfugiés, en route vers de nouveaux lieux de vie à travers la France. Photo Aimée Thirion pour Libération #Calais #CalaisJungle  #Incendies #refugees #migrants

Une photo publiée par Libération (@liberationfr) le 26 Oct. 2016 à 7h03 PDT

25 octobre 2016

Landévant. Jo Kerguéris : « On est tous des réfugiés »

Jo Kerguéris, figure politique tutélaire du Morbihan, se souvient.

À l'heure, de l'évacuation de la « Jungle » de Calais et de l'arrivée des bus qui déposent des migrants dans les communes du département, il se souvient qu'il a été lui même un réfugié.

« J'ai le droit de jouer au papi indigne. J'ai le droit de dire : niet ! » À 78 ans, en vieux sage retiré de la vie politique, Jo Kerguéris (*) entend exprimer son opinion en puisant dans son expérience, réveiller – pourquoi pas – les consciences et à, tout du moins, susciter le débat. De son poste d'observation morbihannais – il habite Landévant – tablette numérique à portée de main, il observe le monde. Ce qu'il y voit ne lui plaît guère. Pour une radio chrétienne de la bande FM, il vient de publier un billet sur les réfugiés qui a largement circulé sur le web, ce week-end. Sous le titre « Nous sommes tous des réfugiés », il entend rappeler ce qui devrait être une évidence.

« Le débat sur les réfugiés, j'ai l'impression que c'est un débat sur un concept, alors que c'est une réalité », observe-t-il. « Cette réalité, ce sont des hommes, des femmes, des enfants. Ce qu'ils vivent nous l'avons vécu. Pour moi l'expérience a été dure. Être réfugié, ce n'est pas de la rigolade ! »

« Marqué à vie »

Jo Kerguéris avait à peine six ans en 1944, quand un obus allemand a pulvérisé la maison familiale de Landévant, au coeur de la bataille pour délivrer la poche de Lorient. Réfugiée dans la cave, toute sa famille est sortie indemne du pilonnage. Mais il se souvient de la peur, de la course effrénée dans la nuit alors que les obus tombaient encore juste à côté. Il se souvient de l'accueil dans une ferme de Pluvigner, dix kilomètres plus loin, de la soupe populaire pendant des semaines, des baraques installées dans la forêt de Camors. « Cet accueil, je m'en souviendrais toute ma vie. On est peut-être encore quelques milliers sur la région de Lorient à avoir vécu cela. Il faut qu'on le dise. Cette expérience vous marque pour la vie. On n'a pas le droit de pas voir les regards angoissés des mères, et ceux emprunts de lassitude des pères. On n'a pas le droit d'oublier que dans ce coin-ci, comme à Brest ou à Saint-Nazaire, il y a plein de gens qui sont partis avec leurs baluchons. Pendant de long mois, voire des années, leur vie a dépendu de la générosité des autres et de leur hospitalité. Et on peut être généreux sans être des bisounours ».

S'il était encore maire, accueillerait-il des réfugiés dans sa commune ? « Si j'étais maire de Landévant, je dirais à mes concitoyens, nous n'avons pas le droit de ne pas nous poser ensemble la question. On n'empêchera pas les gens d'avoir leur opinion, mais qu'ils se la construisent avec un peu de mémoire. On ne peut plus vivre avec les esprits bloqués à l'intérieur de nos frontières. Qu'ils n'oublient pas que s'ils ne se prémunissent pas contre les causes de ce chaos, ils peuvent eux aussi en subir les conséquences ».

  • Il fut maire de Landévant, conseiller général, premier président de la communauté de communes d'Auray, sénateur, président du conseil général du Morbihan. Il s'est retrié de la vie politique en 2011, à l'issue des élections sénatoriales.
25 octobre 2016

Migrants : Premières arrivées hier soir en Bretagne

Quelque 600 migrants de la « Jungle » de Calais doivent être accueillis en Bretagne. Les 147 premiers sont arrivés, hier soir, à Trébeurden (22), Cancale (35), Lorient, La Trinité-sur-Mer et Guidel (56).

Trébeurden. Vingt-six Soudanais, deux Érythréens et un Somalien sont arrivés, hier soir, à Trébeurden. Des migrants partis à 9 h 30 de Calais pour être accueillis au CAO (Centre d'accueil et d'orientation) de la commune, dans les locaux de la Caisse centrale d'activité sociale (CCAS). Ils vont pouvoir y rester jusqu'au 22 décembre, le temps de souffler et d'être redirigés, pour certains, vers un centre pour demandeurs d'asile, comme celui de Langueux. 19 h : le premier d'entre eux descend du car, tout sourire, et répond au bonjour de la sous-préfète et du maire par un « bonsoir ! ». Puis la petite troupe, des jeunes hommes, âgés de 18 à 30 ans, récupère ses bagages et s'engouffre dans le hall de la CCAS, cornaquée par les travailleurs sociaux de Coallia, association spécialisée dans l'hébergement et l'accompagnement. Avant le pot d'accueil, chacun reçoit un lot de vêtements neufs, puis les bénévoles de La Croix-Rouge Lannion leur distribuent un kit d'hygiène. « Et un ballon car les journées risquent d'être longues », précise Hadibé Wadie, la responsable. Après le départ du car, transportant le reste des migrants vers le Morbihan, les officiels font le point : « J'espère que les gens vont les accueillir correctement », déclare Alain Faivre, le maire de Trébeurden. Trégastel et Saint-Brieuc devraient voir arriver leurs migrants dans les jours qui viennent.

Cancale. La commune, qui avait déjà accueilli 58 migrants issus du camp de Calais entre avril et juin dernier, a vu arriver, hier, vers 20 h 30, 48 hommes majeurs, en majorité d'origine soudanaise et érythréenne, ainsi qu'un Afghan. Ils ont été accueillis à leur descente du car par le préfet d'llle-et-Vilaine et de Bretagne, Christophe Mirmond, le sous-préfet de Saint-Malo, François-Claude Plaisant, et le maire de Cancale, Pierre-Yves Mahieu, entouré de deux adjoints. Ils ont tout de suite été dirigés vers l'ancienne maison de retraite où ils seront hébergés durant trois mois au maximum, comme l'a demandé le maire.

Morbihan. Un groupe de 25 hommes en provenance de Calais sont arrivés, hier soir, à La Trinité-sur-Mer. Ils ont été accueillis à la Maison des Salines, un centre de vacances transformé en centre d'accueil et d'orientation. Une vingtaine de migrants est arrivée, par ailleurs, à l'auberge de jeunesse de Lorient, vers 19 h 30, et 25 hommes, femmes et enfants, vers 20 h 15, à Guidel, dans un centre de vacances.

Finistère. Dans le département, qui dispose de 116 places d'accueil, l'arrivée des premiers migrants est attendue demain ou jeudi.

23 octobre 2016

Facebook va assouplir sa politique de suppression des contenus choquants

Une fois de plus critiqué pour avoir supprimé une vidéo sur le cancer du sein, le réseau social autorisera davantage de publications, si elles concernent l’actualité ou si elles ont un intérêt public.

Le réseau social Facebook a fait savoir vendredi 21 octobre qu’il allait commencer à autoriser la publication d’images et de contenus potentiellement choquants s’ils présentent un intérêt du point de vue de l’actualité, assouplissant ainsi ses règles jugées parfois étriquées.

« Nous allons commencer à autoriser davantage de contenus dont les gens estiment qu’ils sont importants, qu’ils concernent l’actualité ou qu’ils ont un intérêt public, même s’ils ne respectent pas nos critères », ont écrit les vice-présidents de Facebook Joel Kaplan et Justin Osofsky dans un billet de blog.

« Notre intention est d’autoriser davantage d’images et d’histoires sans que cela pose de risque de sécurité, ou que des mineurs ou toute personne ne souhaitant pas l’être soient exposés à des images terribles. »

Le réseau social a plusieurs fois été critiqué pour avoir retiré des contenus jugés choquants alors qu’ils présentaient un intérêt particulier, comme une vidéo de prévention sur le cancer du sein, au sujet de laquelle Facebook a reconnu, vendredi, avoir fait « une erreur » en la retirant.

« Incompréhensible et étrange »

L’association caritative suédoise Cancerfonden, qui a diffusé cette vidéo expliquant un dessin animé comment détecter les signes de cancer du sein, a trouvé « incompréhensible et étrange que quelqu’un puisse percevoir des informations médicales comme choquantes », a réagi sa directrice de communication, Lena Biornstad.

Une polémique similaire avait éclaté en septembre lorsque Facebook avait effacé d’une publication de la première ministre norvégienne Erna Solberg la photo historique d’une petite Vietnamienne fuyant un bombardement au napalm pendant la guerre du Vietnam, au motif que l’enfant était nue.

Facebook interdit en effet à ses 1,7 milliard d’utilisateurs de publier des images de nudité, à l’exception des œuvres d’art, des images d’allaitement et des contenus pédagogiques. Le réseau social proscrit également toute incitation à la haine ou à la violence.

« Le Monde » aussi concerné

Une dizaine de jours avant que le réseau social ne soit remis en cause pour avoir supprimé la vidéo de l’association suédoise de lutte contre le cancer, Le Monde a vécu la même mésaventure à propos d’un article sur la question des dépistages systématiques du cancer du sein.

Pour illustrer cet article, nous avions choisi l’image qui nous semblait la plus adéquate : celle d’une mammographie. Publié sur le compte Facebook des Décodeurs, l’article en a été supprimé quelques minutes plus tard par le réseau social au motif que l’image en violait les conditions d’utilisation. Par ailleurs, tous les comptes des administrateurs des pages Facebook du Monde ont été momentanément suspendus à la suite de cette « infraction ».

Si nous avons choisi sur le moment de traiter cette affaire par l’ironie, Facebook a réagi en rétablissant dans la nuit la version qu’il avait censurée, puis publié un communiqué expliquant que cet article « avait été supprimé par erreur et a été restauré dès que nous avons pu enquêter ». Source : Le Monde

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17 octobre 2016

Free the nipple

#regram @velvetstrips

Une photo publiée par Free The Nipple (@freethenipple) le 16 Oct. 2016 à 15h07 PDT

16 octobre 2016

Manif pour Tous - les FEMEN s'invitent à la manifestation...

Les militantes FEMEN ont été frappées par certains militants de la ManifPourTous, tirées par les cheveux et traînées à terre avant d'être exfiltrées par le service d'ordre de la manifestation puis par les forces de l'ordre, selon BFM TV. Les militantes ont été arrêtées tandis que les auteurs des violences continuent tranquillement de défiler...

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16 octobre 2016

Manif pour Tous : environ 24 000 personnes ont défilé à Paris, selon la préfecture, 200 000 selon les organisateurs

La Manif pour Tous, née en 2012 de l'opposition au mariage entre personnes de même sexe, espèrait une large mobilisation, dimanche 16 octobre, à Paris. Ce premier défilé depuis deux ans, organisé pour défendre "la famille et l'éducation" et "peser sur les candidats" à six mois de la présidentielle, a rassemblé entre 23 000 et 24 000 personnes dans les rues de la capitale, selon la préfecture. Les organisateurs annoncent, de leur côté, 200 000 participants.

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Captures d'écran Périscope

http://www.herve-mariton.fr/

15 octobre 2016

La Manif pour Tous de nouveau dans la rue

Le mouvement appelle à manifester, dimanche à Paris, pour dénoncer les « offensives » du gouvernement contre la famille et l’Éducation, tout en prenant date pour la présidentielle.

Qui appelle à manifester ?

La Manif pour Tous est un collectif d’associations opposées à la loi ouvrant le mariage civil et l’adoption aux personnes de même sexe. La loi Taubira a été promulguée, en mai 2013, mais le mouvement estime que plusieurs textes, en cours de discussion, menacent la famille et les intérêts de l’enfant (célébration systématique du Pacs en mairie, statut du beau-père).

Pourquoi ?

PMA (procréation médicalement assistée) avec donneur anonyme (aujourd’hui interdite aux couples de même sexe), GPA (gestation pour autrui, interdite), «idéologie » du genre… sont autant d’autres sujets« d’inquiétude » . Les« atteintes à la liberté éducative » et la politique familiale du gouvernement constituent des motifs supplémentaires pour battre le pavé.

Quels sont les objectifs ?

La Manif pour Tous estime que le succès populaire des manifestations de 2012 et 2013 a permis de faire reculer le pouvoir. Ce nouvel appel à descendre dans la rue est l’occasion de peser sur la primaire de la droite et du centre. Une tentative aussi de faire revenir ses sujets de prédilection dans le débat : filiation, mariage, équité fiscale…

Le mouvement s’essouffle-t-il ?

Difficile de prévoir l’ampleur de la mobilisation dimanche, même si le contexte est moins favorable. Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif pour tous, souligne la« mobilisation » des militants. Le champ des revendications a été élargi pour rassembler au-delà du noyau dur de la droite catholique conservatrice. Le mouvement espère toujours voir abrogée la loi Taubira (sans rétroactivité), mais il n’a pas été assez puissant pour que cela soit promis par les favoris de la présidentielle.

Quels poids politique ?

Constitué en lobby, le collectif, qui a souffert de dissensions en son sein (départ de Frigide Barjot…), se veut apolitique. Il ne donne pas de consigne de vote. Il a trouvé, avec Sens commun affilié aux Républicains, une émanation partisane. Sens commun soutient François Fillon, qui propose de« réécrire la loi Taubira » . Jean-Frédéric Poisson (PCD) souhaite son abrogation. En revanche, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy refusent de revenir sur le mariage pour tous. En manque de soutiens officiels, la Manif pour tous est confrontée, plus largement, à l’acceptation croissante du mariage homosexuel dans l’opinion. Selon un sondage Ifop, le 14 septembre, pour le compte des familles homoparentales, 62 % des personnes interrogées sont défavorables à une abrogation de la loi Taubira.

François VERCELLETTO.

11 octobre 2016

Maintenant, la trottinette dans le métro, c’est minimum 60 €

Si les amendes traditionnelles subsistent, toute une série de nouvelles contraventions a été mise en place. Vous voilà prévenus !

Par   Jean-Gabriel Bontinck

Soixante euros : c’est désormais le tarif, dans le métro, si vous chaussez des rollers, restez endormis après le terminus, ou même si vous oubliez simplement un sac… Depuis le 1  er octobre, les règles et les tarifs ont changé dans vos transports en commun.

De nouveaux motifs de verbalisation

Une nouvelle série de « contraventions de 4  e classe », sanctionnées par une indemnité forfaitaire de 60 €, a été créée. Désormais, il est par exemple interdit de rester dans une rame au-delà du terminus. C’était déjà le cas dans les bus et trams, ça l’est désormais dans les métros et RER. Les fêtards devront faire attention à ne pas s’endormir…

Interdite aussi, l’utilisation des trains comme « engin de remorquage » : les pratiques dangereuses de « trainsurfing » sont visées.

Une autre nouveauté vise à lutter contre les colis suspects, véritable plaie qui ralentit quotidiennement le trafic : désormais, l’oubli de tout objet dans le réseau RATP est sanctionnable. Avant, on pouvait oublier son sac dans une rame. Maintenant, c’est 60 €.

Des infractions précisées

Les crachats et l’urine dans le métro, c’est non, bien sûr. Mais désormais, cela figure comme tel dans la loi. Auparavant, un tel comportement était sanctionné comme une « souillure » au sens large. Il s’agit maintenant d’une incrimination spécifique, passible d’une contravention de 60 €.

Jusqu’à présent, mendier était interdit dans les gares ou stations du réseau. Désormais, l’interdiction est étendue aux trains eux-mêmes. La RATP fait aussi la chasse aux nuisances et incivilités. Les « appareils et instruments sonores » étaient déjà proscrits dans tout le réseau. C’est plus généralement le « trouble de la tranquillité d’autrui par des bruits ou des tapages » qui est puni de 60 €.

Des contraventions qui augmentent

Les amendes traditionnelles, elles, subsistent, mais elles ont augmenté. Pour les voyageurs se déplaçant avec un titre non valable, l’amende passe de 33 à 35 €. Pour ceux qui ont un billet, mais qui ne l’ont pas composté, l’amende grimpe de 33 à 50 €. Côté SNCF, ceux qui utilisent un titre de transport qui ne leur appartient pas devront payer 70 €, contre 50 € auparavant. Enfin, le montant des frais de dossier, qui s’applique si l’amende n’est pas immédiatement réglée, passe de 30 à 50 €. Si vous n’avez aucun titre de transport, l’amende reste à 50 €.

Autre hausse, pour les voyageurs qui fument dans les métros ou les gares, la contredanse passe de 60 à 68 €.

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