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Jours tranquilles à Paris
26 juillet 2006

Touristes à Paris

Entre modernité et tradition...

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Une japonaise à Paris

Photos JS

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25 juillet 2006

"Dévorez-moi" (ce soir...)

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Inspirée d'un véritable fait divers et à partir d'une situation explosive et jamais vue au théâtre, une pièce tout public, sans violence, aux nombreux rebondissements saupoudrés de dialogues percutants, bref tous les ingrédients pour une sauce comique relevée.

Alain Gelma, l'un des meilleurs chefs au monde, réputé pour son établissement "La Tour de Vermeil" a eu le malheur de séduire Ségolène , la troublante femme de Stanislas Lefauve , redoutable et redouté rédacteur en chef du Guide Lichemin. Pour se venger, Lefauve exerce un atroce chantage envers Gelma: pour sauver sa troisième étoile, le chef doit lui cuisiner un plat gastronomique hors norme... Sur Internet, Gelma a déniché Katerina Krochnokov , une vieille fille déjantée et démoniaque qui s'est portée volontaire pour une expérience culinaire sans précédent.

Auteur : Olivier Lejeune

Artistes : Olivier LEJEUNE, Virginie PRADAL, Jean-Christophe BARC, Virginie STEVENOOT et Stéphane MALASSENET

Metteur en scène : Olivier Lejeune

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Affiche de le pièce sur une colonne Morris.

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Photo prise à la sortie du théâtre avec mon téléphone Nokia

25 juillet 2006

Les origines du string

Assez paradoxalement, lit-on dans Wikipedia.Org,  le string existait probablement avant la culotte. En effet, son origine, remonte à très loin dans l'histoire. De nombreux peuples primitifs ont porté (et pour certains portent encore) pendant des siècles ce qui pourrait être considéré comme l'ancêtre du string, qui était certes de conception très rudimentaire : une simple bande de tissu dans l'entrejambe reliée à une lien autour de la taille. On rapporte également qu'il fut porté dans des versions un peu plus sophistiquées par des générations entières de danseuses exotiques.

Cependant, il ne connaît ses premiers succès modernes que dans les années 1970, et principalement pour des raisons esthétiques : résoudre le problème de la marque de la culotte visible sous les pantalons serrés que présentaient les mannequins lors de défilés de mode, même si quelques femmes hardies et autres stripteaseuses n'hésitaient pas à en porter également.

Très rapidement, les femmes d'Amérique du Sud, en particulier les Brésiliennes (d'où le « slip brésilien»), vont faire preuve d'un véritable engouement pour ce sous-vêtement, notamment en tant que maillot de bain, et dès 1975, le string fait ses premières apparitions dans les collections de lingerie française.

C'est durant les années 1980 que le style va le plus évoluer, donnant naissance à de nombreuses variantes, dont les tangas, mais sans pour autant parvenir à détrôner les slips et les culottes.

Il faut attendre les années 1990 pour que le string rencontre une certaine notoriété, et qu'il entre totalement dans les mœurs. Depuis le début des années 2000, il est devenu un objet de mode, au point qu'il représente aujourd'hui le plus gros du volume des ventes des sous-vêtements féminins.

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Photo JS

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Photo JS

24 juillet 2006

Rappel : la WIFI est gratuite au Centre Pompidou (et sur la piazza)

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WIFI au Centre Pompidou : wifi

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Photos JS

24 juillet 2006

Voyage(s) en utopie - Centre Pompidou -

Pour beaucoup, le nom de Jean-Luc Godard est devenu aussi mythique que celui de Picasso. Tous deux ont imposé une révolution du regard au 20e siècle. Poursuivant une démarche originale depuis les années 1960, et tout en se nourrissant inlassablement des grandes œuvres du passé, Godard a changé notre manière de voir et d'écouter un film. Son style, reconnaissable entre tous, remet en question de façon radicale la narration classique et joue, sur l'image et dans la bande son, de citations de philosophes ou de poètes, de tableaux et d'extraits de films. Il est devenu une signature de la modernité.

Proche, par la conception et l'esprit, de ses monumentales Histoire{s] du cinéma, réalisées entre 1988 et 1998, «Voyage(s) en utopie», comme les films du cinéaste qui bousculent le spectateur dans la simple réception passive d'une histoire, propose au visiteur les éléments d'un collage aux multiples associations possibles. Films, séquences de films, tableaux, images, autant de signes dont se nourrit l'imaginaire du réalisateur et dont il revient à chaque visiteur de nourrir sa propre réflexion ou sa propre rêverie. «Voyage(s) en utopie» est une œuvre de Godard. qui ne se projette pas sur un écran mais se déploie dans l'espace.

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AUJOURD'HUI

On comprend qu'aucun tunnel n'est plus percé pour assurer au train le passage entre la salle «Hier» et la salle «Aujourd’hui» La télévision est au cœur de l'espace, avec deux écrans, nouvelles tables de la Loi, diffusant en continu TF1 et Eurosport, Sérénade sans espoir chante Rina Ketty.., Cette dernière salle est un appartement éclaté avec chambre, cuisine, bureau et salon: l'écran de télévision surdimensionné est partout. Le porno s'étale sur la table de la cuisine; la chair n'y est plus que viande et la sexualité scène d'abattoir, l’écran peut même devenir l'oreiller qui accueille nos rêves [le divan de Freud est juste à côté..,!. quitte à ce que nous nous endormions sur la violence des guerres, alors que les belles paroles du siècle: «plus jamais ça», <<l'appel de Stockholm», «les lendemains qui chantent» ne pèsent pas lourd sur la balance.., Dans Histoire{s] du cinéma, Godard déclarait:

«Et si la télévision a réalisé le rêve de Léon Gaumont: apporter les spectacles du monde entier dans la plus misérable des chambres à coucher, c'est en réduisant le ciel géant des bergers à la hauteur du Petit Poucet», l’échafaudage du chantier abandonné gît sur le flanc. Est-ce le signe qu'il n'y a plus d'élévation? Dernière pièce énigmatique du vaste puzzle, le panneau des croix, interrogation ardue pour de nombreux visiteurs ou, pour certains, provocante.., Peut-être la prise électrique, en haut, qui pend inutile, signifie-t-elle que le panneau est resté à l'état d'inachèvement... Godard n'a pas pu y mettre un point final,

L’œuvre d'ailleurs s'achève-t-elle? Visibles seulement de la rue, la reproduction démultipliée d'un Matisse et la phrase célèbre d'André Bazin au sujet du cinéma: «la robe sans couture de la réalité» signe définitivement l'absence de clôture et le caractère d'œuvre prise dans l'effervescence de son enfantement.

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Photos prises avec mon téléphone Nokia.

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24 juillet 2006

Vingt ans d’effeuillage sensuel et audacieux à Lyon

Le Musée d’art contemporain présente cent quarante photographies de Bettina Rheims.

Après plusieurs grandes villes européennes, c'est le Musée d'art contemporain de Lyon qui reçoit la première rétrospective de la photographe parisienne Bettina Rheims.

Erotiques, suggestives, parfois crues, les cent quarante images présentées sont issues de treize séries réalisées ces vingt dernières années. De Sharon Stone à Charlotte Rampling, en passant par Madonna et des dizaines d'anonymes, Bettina Rheims a immortalisé les plus belles femmes de la planète. Elle offre des clichés inattendus, parfois excessifs, des expressions corporelles féminines. On ne ressort pas indemne d'une première visite.

Les œuvres se révèlent sur des murs blancs ou, au contraire, enduits de couleurs vives. Une disposition qui emporte d'emblée le visiteur dans une autre dimension. Au fil des salles, les images interpellent. Dérangent parfois. Mais on y saisit toujours une émotion dominante. L'artiste a su figer la complicité de la rencontre avec ses muses.

Corps à corps

Dans Chambre close, réalisée en 1991 et 1992, on devient le voyeur. Celui qui découvre le désir à travers le trou de la serrure. On entre dans l'intimité de très jeunes filles, qui ont elles-mêmes imaginé le scénario dans des pièces vétustes aux décors décalés. On sent l'ivresse d'un corps à corps entre l'artiste et son sujet. Des femmes, issues de classes sociales très diverses, se dévoilent dans des poses lascives. Des cadrages précis jusqu'au moindre détail qui font oublier, quelques instants, le sujet principal. Bettina Rheims s'est approprié ces filles dont elle immortalise les cambrures. Des courbes féminines, dévoilées de manière plus crue dansla série Female trouble réalisée entre 1981 et 1991. En 2000, dans X-Mas, l'érotisme masque l'exhibitionnisme.

Héroïnes, dernière série réalisée par l'artiste présente vingt-trois portraits de femmes célèbres, considérées comme les plus belles du monde. Des «stars» qui avaient pour mission de se dévoiler dans un décor sombre, avec pour seul relief un caillou.

Pourquoi m'as-tu abandonnée révèle aussi des femmes célèbres, mais dans des scénarios atypiques. Des maquillages criards, vulgaires, contrastent avec des regards angéliques, parfois désespérés, démystifiant la beauté de ces femmes.

Autres séries cultes, celles de Kim Harlow et Les espionnes, mettant en scène des transsexuels dans leur métamorphose. Chaque regard transmet une émotion.

Des visages parfois enfantins révèlent l'ambiguïté de l'androgynie.

Avec Shanghai, on entre dans le paradoxe d'un monde fermé où les tabous se heurtent à l'occidentalisation des mentalités.

Morceaux choisis, reste incontestablement la réalisation la plus osée et la plus controversée. Les caresses lesbiennes, reflétant à la fois la sensualité et la brutalité des ébats, frisentla pornographie. L'artiste tourne autour de ces corps en mouvement, déflorant leur intimité, pour figer le désir.

Images chocs

Celle qui a immortalisé avec talent des dizaines de femmes a aussi baladé son objectif dans des univers très différents. Animals et Les aveugles proposent des œuvres en noir et blanc. Des images fortes, où le simple détail jaillit au premier regard.

La série I.N.R.I., réalisée en 1997, agresse le visiteur. Elle offre des scènes bibliques, imagées avec violence dans un univers contemporain. L'allusion à la virginité, à travers le sang qui coule du sein d'une très jeune fille, par exemple, peut choquer.

Bettina Rheims compte encore à son actif de nombreuses images de mode, de publicité, d'affiches de cinéma et de pochettes de disques. En 1994, elle a même réalisé la photographie officielle de Jacques Chirac, alors maire de Paris. Une artiste à part entière, qui est certainement une des plus grandes portraitistes de sa génération.

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Pratique

Bettina Rheims, Musée d'art contemporain de Lyon, Cité internationale, 81, quai Charles-de-Gaulle, Lyon.

Jusqu'au 13 août, mercredi -dimanche de 12 h à 19 h. Infos: 0033 472 69 17 17,

www.moca-lyon.org

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Photo extraite de la récente exposition de Bettina Rheims à la Galerie Jérôme de Noirmont (Paris)

24 juillet 2006

Le GLAND et le clown

24 juillet 2002

Un acte cruel bouleverse la France en cette fin juillet 2002 : un kidnapping a eu lieu. Le GLAND (Groupement de libération armé de notre département) de l'Ariège revendique le rapt du clown Ronald McDonald's sur un banc devant le restaurant McDo de Foix. Le communiqué est sans appel : "Nous avons jugé que (le clown) serait sacrifié pour notre cause", aucune rançon n'est possible... Le groupe explique vouloir alerter l'opinion sur le "danger de la propagande des multinationales et des conséquences bientôt irréversibles du phénomène de la malbouffe sur la santé et l'environnement." Mais de là à mettre en danger la vie d'un innocent clown en plâtre... 

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24 juillet 2006

Modèle chez elle...

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Photo JS

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Photo JS

23 juillet 2006

Allo Papa bobo !

Il y a parfois des imprévus dans la vie. Je ne m'attendais pas à passer la soirée d'hier à attendre que mon fils se fasse recoudre une plaie à chaque tibia ! Excellent rollerman, il a hésité à sauter par dessus un banc et c'est le banc qui l'a arrêté tout net au niveau des tibias. Plus de peur que de mal ! A ne pas confondre avec Cissé... il n'empêche qu'attendre trois heures aux urgences, c'est long et ça vous met en colère. J'avais espéré une soirée peinarde devant un DVD. Enfin, that's life ! Avec trois points de suture à chaque jambe il ne risque pas de faire du roller les jours prochains, ça le calmera...

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Photos JS (Photos prises - nuitamment - avec mon téléphone Nokia)

Et voici la vidéo

23 juillet 2006

Saperlipopette de salopette !

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Photo JS

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Photo JS

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