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Jours tranquilles à Paris
8 novembre 2014

Save the date : Samedi 29 novembre à 15 heures : lâcher de chiens dans le Marais. Une explication?

A l'occasion de l'expo Jeff Koons au Centre Pompidou (dès le 26 nov), un lâcher de ballons en forme de chien est organisé.

Ils peuvent être partout: attachés à des piquets, aux entrées des parcs, perdus dans les ruelles, le métro...

Chaque chien portera à son cou un collier et un code de tatouage donnant droit à un cadeau si vous les trouvez.(on peut gagner des places de musées, un restau etc..)

Indice: chercher à proximité du Centre Beaubourg, de la place des Vosges, du quartier Etienne Marcel.

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Voir mes précédents billets sur Jeff Koons : 11/10/2014, 18/06/2014 (2 billets), 15/11/2013, 11/11/2013, 08/10/2013, 13/10/2010, 02/10/2010, 19/09/2010, 03/06/2010.

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

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8 novembre 2014

Vu dans la Presse..... j'aime bien

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8 novembre 2014

"Le Bal des Vampires" à Mogador...

Le professeur Abronsius (David Alexis) part en Transylvanie avec Alfred, son assistant, à la recherche des vampires (Daniele Carta Mantigli) Alfred tombe amoureux de Sarah, la fille de l'aubergiste.

Mais elle a déjà rencontré le comte Von Krolock, un vampire, et semble bien éprise.

Il faut donc la sauver...

Des décors incroyables, une mise en scène qui joue avec la promiscuité du public, à ce niveau là, c'est une réussite.

On reconnaitra la musique Total Eclipse of the Heart, de Bonnie Tyler, qui revient comme un fil conducteur.

Certaines reprocheront toutefois à la comédie d'avoir perdu ce côté décalé propre au film. D'autres aimeront moins les chansons.

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http://www.billetreduc.com/110545/evt.htm

8 novembre 2014

Festival Européen de la Photo de Nu 2015

8 novembre 2014

Mario Testino (photographe)

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8 novembre 2014

"Good Bye Lenin" - dans le cadre du 25ème anniversaire de la chute du mur de Berlin. Un excellent film à (re)voir


8 novembre 2014

Extrait d'un shooting - portrait en mode Halloween...

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8 novembre 2014

Jacquemus...

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7 novembre 2014

Nicolas Sarkozy, en meeting à Paris, veut bâtir un "parti de la France", tendu vers la République

UMP - Nicolas Sarkozy entend "tout remettre à plat" à l'UMP, mouvement fourbu dont il brigue la présidence, pour bâtir "le parti de la France", qu'il veut rassembleur, ouvert au débat et tendu vers "la République". "République". Un mot qu'a martelé près de 80 fois l'ex-chef de l'Etat vendredi lors de grand meeting parisien, au Palais des expositions de la Porte de Versailles. Cette République, a-t-il dit, est incompatible avec le communautarisme. Dans cette République, "il n'y a qu'une seule communauté qui vaille, c'est la communauté nationale". Multipliant les références à de Gaulle, l'ex-chef de l'Etat a parlé Nation, identité, laïcité, fermeté, refus de l'assistanat, tout au long de ce dixième meeting de campagne, devant un public conquis. 2700 places assises, toutes occupées, des entassements dans les allées latérales: ils étaient 5000, selon les organisateurs à applaudir leur champion, favori du scrutin UMP par Internet du 29 novembre dans lequel il affronte les ex-ministres Bruno Le Maire et Hervé Mariton.

Bernadette Chirac ovationnée

Dans les premiers rangs, deux de ses ferventes supportrices, Bernadette Chirac –"grande dame" qu'il a fait ovationner– et son épouse, Carla Bruni-Sarkozy. Autour d'elles, outre le porte-parole, Gérald Darmanin, une forte délégation de la turbulente droite parisienne, de la députée Nathalie Kosciusko-Morizet au sénateur Pierre Charon. Et aussi des fillonistes qui le soutiennent pour reprendre l'UMP, Eric Woerth ou Valérie Pécresse, et ses inconditionnels, Patrick Balkany et Nadine Morano. Dans un discours de cinquante minutes où l'on reconnaissait la patte d'Henri Guaino, présent dans la salle, Nicolas Sarkozy a détaillé les facettes de "sa" République, sans cesse opposée à la vision de l'exécutif de gauche, jamais nommé, toujours désigné comme responsable de la "France qui sombre". La République, c'est "la souveraineté du peuple", c'est "le recours au référendum", et "quand on délaisse la pratique référendaire, on abandonne une partie de la République", a lancé Nicolas Sarkozy. La République "réclame l'assimilation", elle "est incompatible avec l'assistanat". Ceux "qui n'éprouvent pas la fierté d'être français", ceux-là "abîment la République!", a-t-il martelé. A François Hollande qui avait ironisé jeudi soir sur TF1 sur sa soif de candidature, Nicolas Sarkozy a rétorqué, sans nommer le président, que le mot République signifie pour lui "le refus de la mise en scène de l'impuissance de la politique, comme celle que les Français ont vue hier soir".

Il ne se dévoile pas pour 2017

Mais pour lui, il ne faut pas confondre les échéances: "à ceux qui attendraient que je dévoile mes intentions pour l'élection présidentielle de 2017, je veux dire: chaque chose en son temps", a déclaré l'ex-chef de l'Etat. C'était, selon son entourage, "un moment important de la campagne" dont l'enjeu semble être l'ampleur de sa victoire. Ses amis tablent sur environ 65%. Les plus récents sondages ont cependant montré un net recul de sa cote de popularité, y compris parmi les sympathisants de droite. "Le pire pour Sarkozy serait de faire un score de maréchal", veut convaincre un de ses amis députés, conscient que son champion n'est pas en mesure d'égaler son score de 2004, quand il avait pris le parti pour la première fois avec 85%. Nicolas Sarkozy s'est contenté de dire qu'il voulait faire émerger une "grande formation politique moderne qui ne sera pas qu'une force d'opposition, mais de proposition, d'imagination". En revanche pas de détail sur les changements qu'il souhaite (nom, organisation, fonctionnement), pour remettre en ordre un parti divisé, entaché par l'affaire Bygmalion et ses six mises en examen dont un proche de Nicolas Sarkozy, Éric Cesari. "Le vote sera notre mode de fonctionnement", a-t-il simplement assuré. Prochain but: aborder en force les élections de 2015, départementales en mars, régionales de décembre. Des victoires conforteraient Nicolas Sarkozy dans ses ambitions pour la suite : gagner l'investiture de son camp en vue de 2017. Ce qui passera, a-t-il redit, par des primaires. "Quand on prend le parti, on a le micro, la lumière, les finances et les investitures. Ça aide à fabriquer son armée", résume l'un de ses amis. Source : Site Huffingtonpost

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7 novembre 2014

Chute du mur de Berlin: 8000 ballons illuminés sur le tracé de la frontière

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