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Jours tranquilles à Paris
14 octobre 2016

Pauline Moulettes (que j'aime beaucoup).Pauline est ici photographiée par le talentueux Nicolas Guérin pour TREATS Magazine

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14 octobre 2016

URBAN DECAY – DANIEL ILINCA {EXCLUSIVE EDITORIAL/NSFW} by chariskm

Daniel Ilinca, is a photographer from Bucharest, Romania. He submitted this set he shot with model Christina Visterneanu. He loves connecting with people and is the reason why he started shooting, he tells us: " My photography is about capturing emotions, not just a nice face, a body or location. I am inspired by a lot of artists around the world, and i continuously invest in books and magazines. Everywhere I go, I search some photography book stores and buy something.

I’ve even throw away some clothes because I didn’t have enough space in my luggage. I work now as a profesional photographer, it’s not just a hobby anymore.

I opened my new studio in Bucharest and I am working a lot to improve my craft"

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14 octobre 2016

Herb Ritts à la MEP actuellement

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14 octobre 2016

Réflexion

14 octobre 2016

Primaire à droite. Un débat musclé

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Sept candidats, une quinzaine de questions, 60 secondes maximum pour chaque réponse : c'est le scénario inédit du premier débat de la primaire de la droite. Le premier débat télévisé de la primaire de la droite et du centre, hier soir, sur TF1, a lancé les hostilités dans la course à l'Élysée. Pendant plus de deux heures, les sept candidats sous le feu des questions ont livré leur stratégie pour redresser la France. Si les échanges ont été globalement courtois, des flèches ont toutefois été décochées, Jean-François Copé attaquant d'emblée Nicolas Sarkozy sur la rupture promise en 2007.

De premières piques.

Désigné par le tirage au sort, Jean-François Copé a décoché la première flèche : « Il y a dix ans en 2007, j'avais, comme des millions de Français, espéré en la rupture que proposait Nicolas Sarkozy pour notre pays, et avec vous tous qui avez été ses ministres, et nous qui étions dans la majorité ». « Cette rupture, malheureusement, on ne l'a pas faite », a-t-il martelé, avant de vanter sa « recette infaillible : gouverner par ordonnances ». « Et donc j'ai décidé de prendre le flambeau de la rupture, avec cette idée de la droite décomplexée que je défends qui est de ne plus reculer devant le communautarisme, la CGT, la gauche caviar », a poursuivi le député-maire LR de Meaux (Seine-et-Marne). « On a gouverné ensemble », a rétorqué, visage fermé, Nicolas Sarkozy, qui a promis une alternance « énergique, immédiate et concrète ». Mais Bruno Le Maire a surenchéri dans une tonalité offensive. « Si vous voulez que tout continue comme avant, eh bien, vous avez tout sur ce plateau », a-t-il lancé, déplorant que « de quinquennat en quinquennat, la France tombe toujours plus bas ». Et l'ancien Premier ministre François Fillon, qui avait lancé la première pique de la campagne sur le thème de la probité, a ajouté vouloir être « le président de l'honnêteté ». « Je suis prêt », a assuré Alain Juppé. Le favori des sondages a déclaré être « allé à la rencontre » de ses concitoyens » et avoir « mieux compris les inquiétudes et les exaspérations ». Seule femme du plateau, Nathalie Kosciusko-Morizet a expliqué vouloir construire « la nouvelle France » et défend « une droite de progrès, liberté et audace ».Les sept candidats ont promis, tour à tour, qu'ils soutiendraient le vainqueur de la primaire.

Le sujet brûlant des 35 heures.

C'est l'un des points sur lesquels les sept candidats à la primaire sont d'accord : se « libérer des 35 heures » ou les « éteindre » (NKM). Pour François Fillon, « il faut en finir avec les 35 heures en supprimant la durée légale du temps de travail mais il faut, pour cela, que la Fonction publique passe à 39 heures. Ce sera la référence ». Nicolas Sarkozy veut « la liberté pour les entreprises. Je ne serai pas la Martine Aubry de droite sur le temps de travail. Mais à deux conditions : si c'est 37 heures, c'est payé 37 heures. Et que cette question soit tranchée par un référendum d'entreprise ». Bruno Le Maire, lui, souhaite « en finir avec le syndicalisme de blocage et favoriser un syndicalisme de salariés ». Alain Juppé propose aussi de « libérer la question de la durée du travail », et entend « laisser les entreprises et les syndicats décider ». L'ancien Premier ministre veut également « régénérer la vie syndicale ». Et des retraites. Le maire de Bordeaux souhaite relever « par étapes » l'âge légal de départ à la retraite à 65 ans d'ici à 2026. « Cela permettra d'économiser 20 milliards d'euros par an à la fin du quinquennat et au-delà », selon lui. Les Français diront « bravo et merci », estime Bruno Le Maire, qui entend faire passer par ordonnance la suppression de tous les régimes spéciaux. Nathalie Kosciusko-Morizet veut passer au système des retraites « à points », avec un point qui est « pareil pour tout le monde ». L'exemplarité largement évoquée. Bruno Le Maire assure qu'en tant que président, il « vise l'exemplarité ». Il prétend ne « viser personne », mais le candidat fait toutefois allusion aux affaires dans lesquelles sont nommés certains de ses rivaux à la primaire. « Ce ne sont pas des déclarations qui honorent ceux qui les prononcent », lui a répondu Nicolas Sarkozy avant un silence. « Je n'ai jamais été condamné, mon casier judiciaire est vierge. » Interrogé sur son passé judiciaire, le maire de Bordeaux a, lui, assuré qu'il tenait son casier judiciaire « à disposition ». « Si les Français estiment que ma faute me disqualifie, ils ne m'éliront pas », a-t-il affirmé. Source : Le Télégramme

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13 octobre 2016

Human Right

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13 octobre 2016

L'éléphant de Nantes - Royal de Luxe

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13 octobre 2016

Hôtel Lutetia

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Photos prises dans une suite à l'Hôtel Lutetia (avant les travaux)

http://jourstranquilles.canalblog.com/tag/h%C3%B4tel%20lutetia

13 octobre 2016

Ces pages qui ébranlent la hollandie

Livre « Consternant », « horrible », « pitoyable » : les socialistes jugent sévèrement les dernières confidences du président.

« Je viens de finir ma boîte de Prozac », lâche un proche de François Hollande. Hier matin, la parution dans nos colonnes des bonnes feuilles d’« Un président ne devrait pas dire ça »*, qui paraît aujourd’hui, a consterné le clan des hollandais. « Comment il peut faire un truc pareil ? Je lui en veux, c’est pas possible », fulmine un baron de la hollandie. « C’est horrible, horrible, se lamente une responsable socialiste. Il va avoir du mal à s’en remettre. »

Islam, terrorisme, Nicolas Sarkozy, etc. Au fil des 663 pages de ces confidences explosives, Hollande commente en spectateur son action. « Hollande donne une image assez pitoyable de lui-même », soupire un député qui le soutient pourtant. Ses détracteurs au sein du Parti socialiste (PS), eux, ne se gênent pas pour l’étriller.

« Le mec n’a toujours pas acté qu’il est président de la République. C’est crépusculaire », tacle le député frondeur Laurent Baumel, soutien d’Arnaud Montebourg dans la primaire de gauche. Tous sont effarés par le temps que le président a consacré aux deux auteurs de cet ouvrage (soixante et un rendez-vous dont huit dîners privés au domicile d’un des journalistes). Sans compter tous les autres entretiens accordés pour d’autres livres… « Si seulement il nous en avait accordé autant. Sa majorité ne serait peut-être pas disloquée », peste Christian Paul, le chef de file des frondeurs que le président aura reçu en groupe une seule fois durant son quinquennat ! « Mais quand est-ce qu’il bosse ? s’exaspère une cadre socialiste, fidèle de toujours. Il devrait faire une psychanalyse. Il est son pire ennemi. Il n’est pas fait pour ce job. »

« Il ne préside pas, il commente »

« Il paie cash le fait de ne pas maîtriser son expression », déplore un de ses supporteurs. Le jour où il s’adresse à la gauche dans une interview à « l’Obs » où il fait un pas de plus vers sa candidature, la sortie du livre brouille totalement son message.

« Il ne préside pas, il commente », s’agace un de ses partisans. Quitte à se contredire. Comme sur la déchéance de la nationalité dont il se dit hostile à titre privé… après avoir voulu la faire voter par le Parlement ! De quoi exaspérer certains élus. « Ceux qui l’ont soutenu par loyauté le regrettent aujourd’hui », affirme un député. Et que dire de l’énorme pataquès autour de Notre-Dame-des-Landes ? Le jour même où Manuel Valls déclare que les opposants au projet seront bien expulsés cet automne, le président confie que d’après lui, l’aéroport ne verra pas le jour ! D’autres préfèrent en rire. Alors qu’une salle de shoot vient d’ouvrir à Paris, un député PS suggère d’interdire l’accès de l’Elysée aux journalistes, « puisque Hollande se shoote aux médias ». Mais une question les taraude tous : quelle sera l’ampleur des dégâts ? « Ça restera sans doute assez parisien mais ça participe d’une ambiance générale. C’est du bruit négatif pour lui », analyse un responsable socialiste. Un fidèle soupire : « Faire campagne pour lui, ça va être dur… »  Par Ava Djamshidi et Philippe Martinat

  • « Un président ne devrait pas dire ça », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Stock.
13 octobre 2016

Livre de François Hollande

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