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Jours tranquilles à Paris
13 octobre 2016

Karl Lagerfeld

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13 octobre 2016

Ce soir, un débat réglé au millimètre

La Plaine-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), hier. Les doublures qui ont permis de procéder aux derniers ajustements laisseront place ce soir aux candidats. Chacun aura dix-sept minutes de temps de parole.

Premier des trois débats de la primaire, ce soir sur TF 1, LCI et RTL. Reportage dans les coulisses des répétitions.

Par   Benoît Daragon

Une femme, six hommes, de la taille exacte des candidats : hier, au studio 130-2 de la Plaine-Saint-Denis, TF 1 avait convoqué des doublures pour les réglages lumière du premier débat de la primaire de la droite et du centre. Face à ces « faux candidats », les journalistes Gilles Bouleau (TF 1), Elizabeth Martichoux (RTL) et Alexis Brézet (« le Figaro. ») ont répété leurs interventions. Ils ont été rejoints par l’entourage des candidats, soucieux de vérifier tout ce qui a été négocié depuis deux mois : la clim à 19   oC, l’attribution des grandes loges à ceux qui dominent les sondages et les pupitres : Nicolas Sarkozy au centre, Bruno Le Maire tout à gauche et Fillon tout à… droite.

« Chacun d’eux fait face à une caméra fixe. La distance est la même pour tous, au millimètre près. On a vérifié avec des lasers », explique Tristan Carnez, réalisateur chevronné, aux commandes ce soir.

TF 1 veut éviter les tirades lénifiantes. Le temps de réponse a donc été réduit à une minute. Dès la 50  e seconde, un voyant s’allume. « Les questions seront très précises et personnalisées pour que ça ne parte pas dans tous les sens », promet le présentateur du 20 Heures de la Une. « En cent vingt minutes — dix-sept minutes chacun ! — on veut que le débat ait lieu et que les Français sachent ce que chacun propose », renchérit Elizabeth Martichoux.

Toute prise de bec façon Clinton-Trump est-elle impossible ? « Si un candidat est pris à partie, il aura 30 secondes pour répondre », assure Bouleau. Et si le ton monte ? « On laisse faire tant que ça reste audible. »

13 octobre 2016

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13 octobre 2016

Extrait d'un shooting - dans un donjon

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13 octobre 2016

François Hollande. Étalage de confidences

Entre perplexité, agacement, indignation et de rares encouragements, le livre de confidences de François Hollande à des journalistes a suscité, hier, une cascade de réactions qui ont parasité le travail d'inventaire de son quinquennat ébauché, par ailleurs, dans l'Obs.

En voici les passages les plus croustillants, tirés, pour les uns, du livre, pour les autres de l'hebdomadaire. Valérie Trierweiler. « L'obsession de Valérie, ce n'était pas Julie (Gayet) ou une autre, c'était Ségolène ». Leur rupture a été « le pire moment personnel du quinquennat ». Le livre « Merci pour ce moment » ? « Pas un acte malveillant, mais l'acte d'une femme malheureuse ». Mais il n'a pas digéré l'expression « sans-dents », même s'il a bien employé ces mots : « Je lui ai dit : je vois les gens qui viennent vers moi dans les manifestations, ce sont des pauvres, ils sont sans dents ». « C'est odieux, c'est une trahison. Quand je dis : j'aime les gens, c'est vrai ». Tweet vengeur et embarrassant. Réplique immédiate de Valérie Trierweiler, hier, sur son compte Twitter. L'ex-compagne répudiée a posté sur le réseau social un SMS reçu de son ancien compagnon, le 31 mai 2008, à 12 h 39 : « Je suis avec ma copine Bernadette dans une grande manifestation dans son canton. Je lui ai fait un numéro de charme. Mais tu ne dois pas t'inquiéter. Dans son discours, elle a fait un lapsus formidable. Rire général, même chez les sans-dents ». Embarrassant, y compris pour le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Interrogé lors de son point de presse hebdomadaire, il s'est d'abord refusé à commenter cette information avant qu'un journaliste ne lui tende son portable pour lui montrer les tweets de Valérie Trierweiler. « En plus, il y en a plusieurs », a-t-il d'abord relevé avant de se plonger longuement dans leur lecture, et d'ajouter, visiblement désemparé : « Avec ça, je laisse les Français faire leur jugement... » Ségolène Royal. « Celle qui me connaît le mieux », « celle dont je suis le plus proche ». Notre-Dame-Des-Landes. « Le plus probable, c'est que ce projet ne sera pas annulé, mais ne verra pas le jour ! » Sarkozy. « C'est le petit De Gaulle. On a eu Napoléon le petit, eh bien là, ce serait De Gaulle le petit ». « Les cassettes » de l'ex-conseiller, Patrick Buisson, « sont très importantes, non pas qu'elles révèlent quoi que ce soit mais elles vont révéler ce qu'est ce type. Sa grossièreté, sa méchanceté, son cynisme ». Fillon. L'ex-Premier ministre a bien demandé à l'Élysée d'accélérer les procédures en cours contre Sarkozy : « Il a dit à Jouyet (secrétaire général de l'Élysée) : " Mais comment ça se fait que vous ne poussiez pas la justice à en faire davantage ? " ». Islam. « La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain. Parce que d'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions de son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal ». Son avenir. « J'aimerais que l'on dise de moi, puisque c'est la vérité, que j'ai été courageux. » « Je n'ai pas peur de perdre. Je n'aurai pas de frustration et je n'en voudrai pas aux Français. » « Je ne courrai pas le cacheton en faisant des conférences. » Manuel Valls, par sa « loyauté absolue », serait son héritier. Emmanuel Macron, avant sa démission du gouvernement ? Un « garçon gentil », « authentiquement de gauche ». Najat Vallaud-Belkacem. « Elle est bonne, Najat, très forte en langue de bois ». Jean-Marc Ayrault, Premier ministre . « Il est tellement loyal qu'il est inaudible ». Les Verts et les frondeurs. Les premiers sont « des cyniques et des emmerdeurs », les seconds, la preuve qu'une « agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote ». Les électeurs de gauche tentés de participer à la primaire de la droite. « Le premier devoir d'un électeur, c'est de faire valoir ses idées. Je pense que si nous installons l'idée que pour éviter l'extrême droite il faut voter pour la droite, eh bien, à ce moment-là, il n'y aura plus de gauche ». Source : Le Télégramme

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13 octobre 2016

Pauline Moulettes

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13 octobre 2016

Réflexion

13 octobre 2016

Primaire à droite. Top départ ce soir

C'est le grand jour pour les sept candidats à la primaire de la droite et du centre en vue de la présidentielle. Ils s'affrontent ce soir, lors d'un premier débat parfaitement millimétré.

1. Les règles du jeu.

Une quinzaine de questions pour chacun des sept candidats, 60 secondes maximum pour chaque réponse : c'est le scénario du premier débat de la primaire de la droite diffusé ce soir, en direct, sur les médias organisateurs (TF1, RTL, Le Figaro, ainsi que LCI et Public Sénat). Pour rythmer ce débat, il est prévu que les candidats puissent s'interpeller à condition de ne pas dépasser 30 secondes. Ils répondront aux questions des journalistes Gilles Bouleau, de TF1, Elizabeth Martichoux, de RTL, et Alexis Brézet, du Figaro. L'émission durera entre deux heures et deux heures quinze et chaque candidat parlera quinze à dix-sept minutes en tout. Un sondage Sofres LCI/Le Figaro/Public Sénat paraîtra demain. Les deux autres débats de la primaire se tiendront sur BFMTV et iTELE le 3 novembre et sur France Télévisions et Europe 1 le 17 novembre, et celui d'entre deux tours, le 24 novembre.

2. Différentes façons de se préparer.

Sachant qu'ils n'auront qu'un quart d'heure chacun pour convaincre, les sept candidats se sont entraînés à coups de fiches détaillées, de travail de synthèse. L'outsider Bruno Le Maire le répète depuis plusieurs semaines, la campagne commence vraiment à compter de ce premier débat télévisé. Pour le préparer, il a fait le choix original du faux débat pour répéter sa partition. « Il faut essayer de ne pas être trop technicien », a prévenu l'entourage de François Fillon. Selon lui, l'ex-Premier ministre n'a pas effectué, lui, d'exercices particuliers : « Il est en réunion publique tous les soirs avec des questions-réponses, c'est pour lui la meilleure des préparations. » Jean-François Copé « prépare ça de manière solitaire, avec beaucoup de lecture et de réflexion », ont expliqué ses collaborateurs. Alain Juppé en a fait autant. Le maire de Bordeaux a prévu une journée « très allégée » aujourd'hui. Nicolas Sarkozy avait prévu de travailler hier et aujourd'hui « avec ses collaborateurs et seul », s'accordant quelques « moments de footing » pour se concentrer. Nathalie Kosciusko-Morizet jonglera avec son agenda parlementaire pour cette journée. La députée de l'Essonne sera encore dans l'Hémicycle aujourd'hui, quelques heures avant le débat. Le président du Parti Chrétien-Démocrate, Jean-Frédéric Poisson, assure ne pas avoir effectué « de préparation particulière ». Source : Le Télégramme

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13 octobre 2016

Salon du Vintage au Carreau du Temple - save the date

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13 octobre 2016

Vu dans la rue

LUI

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