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Jours tranquilles à Paris
11 octobre 2016

Moulin Rouge

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11 octobre 2016

DELETE Magazine

11 octobre 2016

Galerie Circulation(s)

Soirée de lancement de la Galerie Circulation(s)
Jeudi 13 octobre de 19h à 22h

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Accueil journalistes 
et présentation de Circulation(s) 2017
Jeudi 13 octobre de 16h à 19h
RSVP : nathalie.dran@wanadoo.fr

Dossier de presse Galerie
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21 rue des Filles du Calvaire - 75003 Paris
Fond du couloir à gauche
M° Filles du Calvaire


Galerie éphémère ouverte vendredi 14 et samedi 15 octobre de 11h à 18h

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Galerie Circulation(s)
La galerie en ligne de la jeune photographie contemporaine
www.galerie-circulations.com

11 octobre 2016

Pompidou à Bruxelles....en projet

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10 octobre 2016

Charlotte Rampling

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10 octobre 2016

À Pirou, les huîtres s’achètent au distributeur

« Distributeur automatique. 24h/24, 7J/7. » La pancarte surprend lorsque l’automobiliste pénètre sur la zone conchylicole de Pirou (Manche), sur la côte ouest du Cotentin. Un distributeur automatique au milieu des ateliers ostréicoles ? Pour des billets ? Non, des fruits de mer. Trente cases où reposent bien au frais des huîtres, des moules et des bulots. Une envie d’huîtres à 3 h du matin ? Pas de problème. Le distributeur automatique permet d’acheter des coquillages à toute heure, pour deux ou quatre personnes. Ghislaine Lefeuvre, gérante de l’entreprise Conchy-Marée, s’est lancée dans l’aventure le 21 août. L’entreprise, qu’elle a reprise en 2000 à ses parents, est plutôt spécialisée dans la vente en gros.« Jusqu’à présent, je faisais peu de ventes aux particuliers », explique la patronne. Avec un hectare de parcs à huîtres, 4 000 m2 pour les moules de bouchots et cinq salariés (trois à terre et deux sur le bateau),« il n’est pas facile de se lancer dans la vente sur les marchés, par exemple ».

Comme les maraîchers

Elle n’abandonne pas pour autant l’idée de vente en direct.« Mon fils, Quentin, travaille dans la maintenance industrielle. Un jour, il me parle des automates. L’idée a germé comme ça », raconte Ghislaine Lefeuvre. Deux ans sont nécessaires pour trouver la machine adaptée.« Je suis allée voir des maraîchers en Bretagne. Ils distribuent leurs légumes de cette façon depuis longtemps. Mais, ils n’ont pas les mêmes obligations pour les conditions de froid. Pour les bulots cuits, il faut être à 2 °C. » Pour son distributeur automatique, Ghislaine Lefeuvre fait finalement affaire avec une entreprise de l’Est qui fait fabriquer ses machines en Italie. Moins de deux mois après le lancement, elle est satisfaite des premiers retours. La machine va encore s’améliorer, avec la possibilité de payer par carte, en plus des espèces. Et Ghislaine a des idées de développement.« Le distributeur peut fonctionner en drive : le client passerait sa commande sur Internet et pourrait prendre sa livraison quelques heures plus tard. » Elle envisage aussi d’en installer de nouveaux ailleurs. Article de Jean-Christophe LALAY. Ouest France

10 octobre 2016

Magritte au Centre Pompidou

9 octobre 2016

Apiculture. Une nouvelle bête noire ?

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Un frelon asiatique dévorant une abeille domestique, qu'il découpe méthodiquement.

Arrivé accidentellement en France en 2004, le frelon asiatique a colonisé les deux tiers du territoire français. Les départements bretons sont touchés depuis 2011 et la présence de l'insecte y progresse de manière exponentielle. Plus de 10.000 nids ont été recensés en 2015 en Bretagne. Et désormais, les apiculteurs craignent l'arrivée d'une nouvelle bête noire : le petit coléoptère de la ruche (photo ci-dessous).

Le comportement de prédateurs des frelons asiatiques envers les abeilles domestiques est significatif. Il en découle un impact non négligeable sur la production apicole (ruches décimées, stressées...). Le classement du frelon asiatique dans les espèces représentant un danger sanitaire de deuxième catégorie ne constitue en rien une obligation de lutte contre l'espèce. La décision de destruction et les coûts de mise en oeuvre incombent au propriétaire du fonds sur lequel se trouve le nid. En revanche, le classement en catégorie 1 imposerait un plan de lutte obligatoire, à la charge de l'État.

En attendant cet hypothétique classement en catégorie 1, chaque département mène la lutte sous la houlette de la Fredon Bretagne qui fédère les quatre fédérations départementales de lutte contre les organismes nuisibles. Ainsi, dans le Morbihan, un comité de pilotage a été mis en place dès 2015 avec tous les acteurs concernés, ce qui a conduit à une organisation de lutte (nomination d'un référent frelon par commune, incitation au piégeage des fondatrices au printemps, destruction des nids primaires et secondaires...). Le bilan 2015 se décompose comme suit : 24.612 fondatrices capturées ; 602 nids primaires (premiers nids) et 2.918 nids secondaires recensés (en 2014, 1.200 nids avaient été recensés). (*)

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 Aethina tumida : la nouvelle menace

Le petit coléoptère de la ruche, Aethina tumida, originaire d'Afrique du Sud, a déjà colonisé l'Afrique du Nord, l'Amérique du Nord et l'Australie. Il provoque des ravages importants dans les colonies d'abeilles où il se nourrit du couvain et du miel. Ils entraînent la mort de la colonie ou la désertion des abeilles. Au contraire de sa cousine africaine qui a développé contre l'intrus une stratégie de lutte en l'emmurant dans une gangue de propolis et en évacuant minutieusement les oeufs et les larves de la ruche, l'abeille mellifère européenne est sans défense face à ce ravageur Aethina tumida a été détecté pour la première fois en Italie, en Calabre, en septembre 2014. Cette même année, 61 foyers ont été mis au jour (60 foyers en Calabre et un en Sicile).

En 2015, environ 1.000 ruchers ont été visités en Calabre et 450 en Sicile, ce qui a permis de détecter 29 foyers uniquement en Calabre (aucun en Sicile). En 2016, la surveillance a repris depuis le mois de mars et le premier cas a été identifié le 21 avril. Quatre nouveaux foyers d'infestation ont été détectés les 25 et 26 juillet. Situés à 100 km de la première zone de protection, cet éloignement laisse supposer que la dissémination de l'infestation ne résulte pas d'une dispersion naturelle du petit coléoptère mais pourrait être liée aux activités humaines apicoles.

Mesures de protection

En France, aucun cas n'a été détecté et des mesures de protection et de contrôle ont été prises. L'expédition d'abeilles, de bourdons, de produits de la ruche non-transformés et de matériel apicole est interdite depuis les régions infestées vers les autres régions de l'Union européenne. En outre, la législation européenne interdit toute importation d'essaims d'abeilles ou de colonies provenant de pays tiers (à l'exception de la Nouvelle-Zélande).

* En ce qui concerne le Finistère, au 19 janvier 2016, 2.139 nids détectés et signalés à la FDGDON 29 (315 nids en 2014) ; 218 communes touchées dans le département, soit 77 % des communes. Quant aux Côtes-d'Armor, ce sont 1.600 nids qui y ont été recensés en 2015 et 302 communes étaient concernées.

9 octobre 2016

Ren Hang

9 octobre 2016

Terrasse de café

café

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