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Jours tranquilles à Paris
20 juillet 2017

Mon studio photo

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20 juillet 2017

Coco de mer

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20 juillet 2017

Be brave...

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20 juillet 2017

PLOUHARNEL - Histoire. Le bunker musée a rouvert

L'association Liberty Breizh memory group (LBMG) va rouvrir occasionnellement son bunker, rénové sur le site du Bégo durant l'été. Dimanche, c'était la première journée où il était possible de pénétrer dans ce lieu et y découvrir costumes et objets d'époque pour une plongée dans l'histoire.

Visite le 30 juillet

Il faudra maintenant attendre le 30 juillet ou les 13 et 14 août pour de nouveau pouvoir visiter ce musée temporaire. Depuis 2010, les membres de LBMG oeuvrent à nettoyer, repeindre et aménager ce bunker, qui fait partie de la batterie du Bégo, pièce défensive majeure du mur de l'Atlantique. Durant l'hiver, dans le but de cette exposition, l'association a ainsi reconstitué fidèlement l'intérieur d'une chambrée allemande d'un abri à personnel, tel qu'elle devait être dans ce bunker à l'origine. « Nous avons également compété les vitrines, explique Frédéric Le Baquer, l'un des membres de l'association. Une plus grande place a été faite aux femmes pour présenter leur uniforme et toute la place qu'elles ont pu tenir durant cette période de l'histoire ». Frédéric explique également avec passion tout le soin qu'il a mis pour réaliser la maquette représentant l'une des fosses avec l'un des fameux canons, les 340 : « Je me suis servi de document d'époque pour être au plus près de la réalité, en calculant les pentes, pour remettre les camouflages aux bons emplacements ». Grâce à ces passionnés, l'histoire prend ici une autre dimension et le devoir de mémoire est assuré.

20 juillet 2017

Irina Shayk

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20 juillet 2017

Extrait d'un shooting - nu allongé

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20 juillet 2017

Avis de gros temps sur les éoliennes

Par  Coralie Garandeau

« Imaginez 80 éoliennes de plus de 120 m de haut, à 10 km des plages ! » se désole Hervé Texier, président de Belle Normandie Environnement. Le futur site éolien en mer dont le militant est le plus proche jouxte des plages très célèbres : celles du Débarquement et son vaste cimetière marin. « C’est une atteinte au patrimoine et au tourisme », estime-t-il.

Aux côtés d’une quinzaine de fédérations d’associations dans les communes concernées et depêcheurs, son association vient de déposer une plainte auprès de la Commission européenne contre les six projets d’éolien en mer autorisés sur la façade Manche- Atlantique, « tous en contradiction avec les politiques de protection de l’environnement marin ». Des projets « conduits à marche forcée par l’Etat depuis 2012 », disent les militants locaux, qui voient dans ce recours devant les tribunaux européens « la dernière chose qu’il nous reste », estime Hervé Texier.

Les antiéoliens sont amers : le nouveau ministre de l’Environnement tient à accélérer tous les projets d’éolien marin pour atteindre l’objectif de 40 % d’énergies renouvelables dans la production française d’ici à 2030.

« On est prêts à faire tous les recours possibles, car on est absolument opposés à cette guirlande d’usines offshore sur le littoral français », se désole Jacky Bonnemains, porte- parole de l’association Robin des bois, qui dénonce « une industrialisation de la mer et une technique périmée ». Pour lui, les études d’impact sur l’environnement, la faune marine, et sur la sécurité maritime ne sont pas suffisantes. D’autres dénoncent une « énergie intermittente, qui ne produit qu’un tiers du temps, quand il y a du vent », avance Catherine Boutin, du collectif Pour un littoral sans éolienne.

Au Tréport, les pêcheurs fulminent. « Beaucoup de gens regardent ça de loin, mais nous, on vivra avec ça sous notre nez », glisse Olivier Becquet, gérant de la coopérative locale. En péril, selon lui, la seiche, le barbet et le hareng, qui viennent se reproduire dans les eaux du futur projet, ainsi qu’« un vrai gisement » de coquillages. « On est allés visiter le parc éolien de Thanet, en Angleterre, et on a bien vu les dégâts provoqués par ces piliers de béton sur toute la zone poissonneuse. Les Anglais n’y pêchent plus ! » estime-t-il.

Des projets menés depuis des années

Parmi les six parcs éoliens en mer ayant été attribués sur le littoral français, quatre ont reçu leurs autorisations environnementales : Fécamp, Courseulles, Saint-Nazaire et Saint-Brieuc. Deux projets sont encore en attente, ceux de l’île d’Yeu-Noirmoutier et de Dieppe-Le Tréport.

Des projets pour lesquels les procédures de concertation avec tous les acteurs, les enquêtes publiques et des études d’impact ont été menées depuis quatre ans. « Ce ne sont pas des projets déposés à la va-vite » résume Matthieu Monnier, de France Energie éolienne, l’association professionnelle des acteurs de l’éolien.

« On a perdu deux ans avec tous ces recours », juge-t-il. Aujourd’hui, chaque parc éolien fait l’objet de « mesures de compensation pour les déséquilibres causés par son implantation », se justifie Engie, impliqué dans trois projets. Le géant de l’énergie se préoccupe ainsi des goélands de l’île d’Yeu ou des oiseaux marins nicheurs vers Dieppe. Il rappelle aussi ses efforts pour limiter l’impact visuel des éoliennes, dans leur alignement, leur espacement ainsi que leur nombre.

20 juillet 2017

Monica Bellucci

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20 juillet 2017

Armano Scacci

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20 juillet 2017

Photo de famille ?

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