Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
11 janvier 2019

Marine Vacth

marine14

marine44

Publicité
11 janvier 2019

CAC 40 : le volume des dividendes en hausse de 12,8 % en 2018

Par Jean-Michel Bezat

Les quarante plus grands groupes français ont versé 57,4 milliards d’euros à leurs actionnaires, dont 10,9 milliards sous forme de rachats d’actions.

L’année 2018 aura été faste pour les actionnaires des entreprises du CAC 40. Du côté des dividendes, du moins, puisque l’indice phare de la Bourse de Paris a, lui, chuté de 10,95 % (contre + 9 % en 2017). Les quarante plus grands groupes français leur ont versé 57,4 milliards d’euros, dont 10,9 milliards sous forme de rachats d’actions (0,8 % de leur capitalisation moyenne), au titre de l’exercice 2017, annonce La Lettre Vernimmen.net, sur la base d’une compilation des informations publiées par les sociétés.

En progression de 12,8 % par rapport à 2017, ce volume de dividendes des sociétés du CAC 40 est comparable aux 57 milliards d’euros enregistrés en 2007. « Ce n’est pas surprenant, compte tenu de leurs très bons résultats (à l’exception des banques) à ce point du cycle, note la lettre réalisée par Pascal Quiry et Yann Le Fur, professeurs à HEC. Il est probable que les chiffres que nous publierons [en 2020] seront encore meilleurs, compte tenu de la progression des résultats 2018 que l’on entrevoit » (48 milliards d’euros de profits au premier semestre).

L’étude souligne que la progression moyenne du dividende (+ 4,7 %) est très sensiblement inférieure à la hausse des résultats nets courants part du groupe (+ 18 %). Le taux de distribution recule encore par rapport aux années précédentes (46 %), mais il atteint 59 %, si l’on y inclut les dividendes extraordinaires et les rachats d’actions.

Phase de grande prospérité pour les multinationales

Fait nouveau, toutes les entreprises ont versé un dividende en 2018, même si celui d’ArcelorMittal reste modeste et si trois d’entre elles (Engie, TechnipFMC et Carrefour) ont dû le réduire. A elles seules, Total (10,1 milliards d’euros), Sanofi (4,8 milliards) et BNP Paribas (3,8 milliards) pèsent 33 % des capitaux redistribués. En y ajoutant Axa, LVMH, L’Oréal et Schneider, on atteint 51 %.

Les auteurs répondent aux critiques de ceux qui estiment que ces entreprises feraient mieux de les réinvestir (ou d’augmenter les salaires). Ils jugent « plus sain de les reverser à leurs actionnaires, plutôt que de les gaspiller en surinvestissements ou en placements oisifs de trésorerie, et de priver ainsi de capitaux propres d’autres groupes qui en auraient besoin pour se développer », supposant que les actionnaires les réinvestiront ailleurs.

La lettre affirme, en outre, qu’« aucun groupe n’a dû réduire ses investissements pour verser un dividende » ni s’endetter au-delà du raisonnable pour le faire. Certains ont, comme Total ou Danone, préféré en verser une partie en actions, afin de garder des marges de manœuvre financières, notamment pour faire des acquisitions. Cette part reste réduite, puisque le paiement en actions ne représente que 3,8 milliards d’euros.

Les multinationales françaises traversent globalement une phase de grande prospérité, même si leurs résultats et leur valorisation n’atteignent pas les sommets des groupes américains. Mais les quarante premières entreprises valent plus que les quarante plus puissantes sociétés allemandes, note M. Quiry dans un entretien aux Echos.

11 janvier 2019

« L'incroyable histoire du facteur Cheval »

facteur cheval (1)

 « L'incroyable histoire du facteur Cheval », avec Jacques Gamblin et Laetitia Casta, sort dans les salles de cinéma le 16 janvier.

Avec son nouveau long-métrage, Nils Tavernier retrace l’épopée ordinaire de Joseph-Ferdinand Cheval (incarné par Jacques Gamblin), simple facteur devenu, par amour pour sa fille, un pionnier de l’Art brut. À mi-chemin du biopic et de la comédie romantique, le film rend hommage à la force créatrice de ce bâtisseur de l’insolite qui, durant plus de trente-trois ans, s’est acharné à donner corps à ses rêves.

11 janvier 2019

Exposition - Musée de la Monnaie

grayson_perry_recard___jpg_5323_jpeg_3203

Un célèbre travesti consacré par un musée parisien ? Oui, et on imagine de vénérables messieurs déglutir à la vue des robes hautes en couleurs et symboles portées par Grayson Perry à toutes les étapes de sa vie. Mais ne réduisons pas l’œuvre de cet artiste britannique à ses tenues flamboyantes. C’est par le biais de disciplines artistiques aussi différentes que la céramique, la sculpture ou la tapisserie que cet homme aujourd’hui (quasi) sexagénaire s’est imposé dans le monde de l’art, chacune de ses œuvres démolissant consciencieusement tout ce qui a trait à la domination masculine. Et il y a de quoi faire (et dire) sur le sujet ! Ne ratez pas cette expo pleine d’humour et d’irrévérence.

Jusqu’au 3 février

Musée de la Monnaie de Paris

11 janvier 2019

Patti Smith photographiée par Annie Leibovitz

Patti Smith by Annie Leibovitz

Publicité
11 janvier 2019

César 2019 - save the date

cesar2019

11 janvier 2019

Le grand débat national, c’est bien mal parti !

À quelques jours du lancement du grand débat national voulu par l’Élysée, les questions sur son organisation restent nombreuses. La démission de Chantal Jouanno n’a rien arrangé.

« Vous arrivez à construire des schémas tactiques de jeu ? » Anodine pour pareille visite, la question d’Emmanuel Macron, posée lors de l’inauguration de la Maison du handball à Créteil ce mercredi après-midi, ne manque pas de saveur dans le contexte. Car de tactique, l’exécutif semble cruellement dépourvu ces temps-ci, tant l’organisation du grand débat national s’enlise. Deux heures de séminaire gouvernemental et cette promesse à l’arrivée d’Édouard Philippe - « nous seront prêts » - n’ont pas suffi à lever les doutes. Et pour cause. Pour connaître les modalités précises de cette vaste consultation, censée répondre à la crise des Gilets jaunes, il faudra encore attendre lundi prochain. Soit la veille du lancement officiel ! Preuve qu’en la matière l’exécutif navigue à vue.

Et le retrait surprise, mardi soir, de Chantal Jouanno, la présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), n’a pas arrangé les affaires du pouvoir, qui mise très gros sur ce débat pour relancer le quinquennat. En témoigne la dureté du Premier ministre à son égard quand il a estimé : « Ceux qui servent l’État, ceux qui aiment leur pays, sont plutôt astreints à une forme de mobilisation plutôt que d’éloignement. »

Résultat, on ne sait rien encore du pilotage, de la participation des ministres, de la façon dont sera restitué le débat… « On se confronte à l’écart entre le concept et la réalisation », glisse un macroniste, qui va jusqu’à envisager que Jouanno ait quitté le navire « pour ne porter aucune responsabilité dans ce qui risque d’être un fiasco organisationnel ».

«Divergences» entre l’Élysée et Matignon

Il est vrai que le chantier est complexe. « On est dans un exercice totalement inédit. Donc, que le pouvoir réfléchisse à la meilleure façon dont il va pouvoir s’y prendre, sans le contraindre ni l’empêcher, c’est plutôt une bonne chose », tempère un stratège macroniste. À Matignon, on se rassure aussi : « On peut attendre encore quelques jours de plus, on n’a pas atteint le schéma critique. »

Certes, le défi n’est pas mince. Mais, confie un conseiller ministériel, « ça patouille aussi parce qu’il y a des divergences substantielles dans l’appréhension de l’objet entre l’Élysée et Matignon », notamment sur la participation des ministres aux débats qui seront organisés partout en France. Une position médiane se profile : que les membres du gouvernement s’y rendent, mais n’interviennent pas. « Il ne faut pas que ça se transforme en meeting, s’ils y participent, c’est pour écouter », avance ainsi un proche d’Édouard Philippe.

Autre question : faut-il maintenir le calendrier des réformes, notamment des très épineux dossiers de l’assurance chômage et de la fonction publique ? Ce mercredi, le chef du gouvernement est resté bien évasif en la matière. « Il veut garder le calendrier initial, mais lors du séminaire, la quasi-totalité des ministres, sauf une petite poignée, ont trouvé que ce n’était pas une bonne idée », rapporte un conseiller du gouvernement.

Face à ces hésitations, l’opposition s’en donne à cœur joie. « Cette grande entourloupe ne sert à rien ! » gronde le député insoumis Éric Coquerel, quand Marine Le Pen estime que le débat est déjà « coulé ». Preuve de l’ampleur du doute avant la trêve des confiseurs, quand les premières critiques fleurissaient sur la légitimité de la CNDP, un pilier de la majorité prophétisait lui-même que ce débat serait « le flop du siècle » : « C’est comme si on voulait sélectionner l’équipe de France de rugby parmi des gens qui jouent au bilboquet. »

11 janvier 2019

Le Palais des Glaces lance "Nu et approuvé", son premier spectacle naturiste

palais des galces

Mis en scène par Pascale Lievyn, "Nu et approuvé" est le tout premier spectacle naturiste dans un théâtre parisien.

Le 20 janvier, le Palais des Glaces présentera " Nu et approuvé", premier spectacle naturiste dans un théâtre parisien.

THÉÂTRE - "Nudité et serviette obligatoire" pour les spectateurs: le Palais des Glaces va accueillir le 20 janvier à Paris la "toute première représentation naturiste dans un grand théâtre parisien". Le spectacle, baptisé fort à propos "nu et approuvé", est mis en scène par Pascale Lievyn, précise le Palais des Glaces sur son site. La pièce, soutenue par la Fédération française de naturisme et l'Association des naturistes de Paris, porte sur l'histoire d'un frère et d'une soeur que tout oppose: "Pour trouver un terrain d'entente, dans un climat de détente, ils devront tomber les masques, se dévoiler, bref, se mettre à nu". Les spectateurs sont également priés de se mettre à nu pendant toute la durée de la pièce (1h15, sans entracte), en se munissant d'une serviette. Quant à ceux qui seront dans les catégories OR et VIP, une serviette microfibre leur sera offerte, précise le Palais des Glaces sur son site.

palais des glaces

10 janvier 2019

FEMEN - affaire Barbarin - pédophilie

10 janvier 2019

Le dessin de l'Express de cette semaine

Publicité
<< < 10 20 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 > >>
Publicité