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Jours tranquilles à Paris
31 janvier 2019

Au théâtre ce soir : 7 morts sur ordonnance - Théâtre Hébertot (vu ce soir)

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D'après le film réalisé par Jacques Rouffio et le scénario original de Georges Conchon

Adaptation théâtrale Anne Bourgeois et Francis Lombrail

Mise en scène Anne Bourgeois

Avec Bruno Wolkowitch, Claude Aufaure, Valentin de Carbonnières, Jean-Philippe Puymartin, Julie Debazac, Francis Lombrail, Jean-Philippe Bêche, Bruno Paviot

Deux brillants chirurgiens disparaissent dans les mêmes conditions à 15 ans d’écart, victimes de manipulations sournoises d’un chef de clinique concurrencé par leur réussite.

Pouvoir, argent et honneur sont au cœur de cette intrigue inspirée de faits réels qui se sont déroulés dans une grande ville de province.

Fragilités, chantage et harcèlement… Comment ont-ils été précipités vers cette issue fatale ?

Le film de Jacques Rouffio, nommé aux Césars 1976 du Meilleur Film, est adapté pour la première fois au théâtre

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31 janvier 2019

Carlos Ghosn affirme vouloir « se battre contre de fausses accusations »

Après deux mois d’incarcération, le bâtisseur de l’alliance automobile Renault-Nissan-Mitsubishi clame son sentiment d’« injustice ».

Le Monde avec AFP 

Après la presse japonaise mercredi, Les Echos et l’Agence France presse publient à leur tour, jeudi 31 janvier, une interview de Carlos Ghosn. Arrêté au Japon le 19 novembre pour des malversations financières présumées, l’ancien dirigeant se montre combatif et fustige sa détention prolongée.

« Je veux me battre pour rétablir ma réputation et me défendre contre de fausses accusations. On m’a refusé la libération sous caution, ça n’arriverait dans aucune autre démocratie. J’ai fait tout ce que je pouvais pour montrer que je n’allais pas m’enfuir et pour les rassurer sur le fait que je ne détruirai aucune preuve. »

Dans un parloir du centre de détention de Kosuge, à Tokyo, où il est emprisonné depuis le 19 novembre, l’ancien patron du constructeur automobile japonais Nissan et de Renault dénonce ses conditions d’incarcération :

« Quand je dors la nuit, la lampe est toujours allumée. Je n’ai même pas de montre. Pas de notion du temps. J’ai seulement trente minutes par jour pour sortir sur le toit. L’air frais me manque tant. Oui, je suis fort, mais je suis fatigué de tout ça. Le pire, c’est que je ne peux pas parler à ma famille. »

« Comment puis-je me défendre ? »

Il dénonce aussi l’attitude de Nissan : « J’ai face à moi une armée chez Nissan, des centaines de personnes se consacrent à cette affaire, soixante-dix au bureau du procureur et je suis en prison depuis plus de soixante-dix jours. Je n’ai pas de téléphone, pas d’ordinateur, mais comment puis-je me défendre ? »

Il poursuit :

« Chez Nissan, il y a beaucoup de gens dont le rôle est discutable, étrange. C’est très surprenant, alors qu’on me refuse tout droit de me défendre. Je parle d’équité. J’aime le Japon, j’aime Nissan, j’ai consacré tant d’années à relancer l’entreprise, à la reconstruire, à la transformer. Je n’ai rien contre la compagnie. »

Bâtisseur de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, Carlos Ghosn déclare qu’il voulait aller plus loin dans l’intégration des trois groupes, mais s’est heurté à une « résistance » chez Nissan. « L’objectif était clair et il y avait une résistance dès le début, mais quelles sont les options pour assurer la stabilité de l’alliance ? »

Carlos Ghosn justifie aussi sa décision de démissionner de ses fonctions de président-directeur général (PDG) de Renault par la nécessité de donner au groupe une gouvernance plus pérenne, mais regrette de n’avoir pu s’en expliquer devant le conseil d’administration.

« On ne pouvait pas maintenir Renault dans une situation où la gouvernance était temporaire. Quand j’ai appris que ma caution était de nouveau refusée, j’ai décidé de démissionner. »

Jean-Yves Leborgne, avocat français de Carlos Ghosn, espère que l’ancien PDG de Renault pourra bénéficier d’une libération sous caution, bien que cette demande ait été régulièrement rejetée depuis son arrestation. « J’ose l’espérer, car si elle n’était plus possible, on serait dans une situation éminemment regrettable », a-t-il déclaré sur RTL.

carlos

31 janvier 2019

Ghosn livre les détails du projet qui aurait provoqué sa chute

Par  Hayat Gazzane

Dans une interview aux Échos, l'homme d'affaires explique que ce projet, qui visait à intégrer Renault, Nissan et Mitsubishi, suscitait de fortes réticences chez Nissan. Pour l'éviter, le constructeur japonais lui aurait tendu un «piège» qui l'a conduit en prison.

C'est bien le projet d'intégration de Renault, Nissan et Mitsubishi qui a conduit à sa perte. Carlos Ghosn l'affirme avec certitude dans un entretien accordé cette fois aux Échos . Lors de ce tête-à-tête de quinze minutes, le patron de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi a expliqué qu'il y avait «beaucoup d'opposition et d'anxiété» autour de ce projet qui visait à intégrer les trois entreprises. Carlos Ghosn travaillait dessus depuis la fin de l'année 2017. «J'avais dit à Hiroto Saikawa [le directeur général de Nissan] que si je décidais de faire un autre mandat à la tête de l'Alliance, nous allions devoir travailler beaucoup plus sur l'intégration. (…) L'objectif était clair, mais il y avait des résistances dès le départ», explique-t-il.

Concrètement, le projet de Carlos Ghosn visait à «garantir la stabilité de l'Alliance» en créant «un holding qui aurait contrôlé les trois entités et possédé la totalité des actions des groupes», détaille le dirigeant. «Mais ce système devait être basé sur les performances solides de chaque entreprise». Or Nissan n'était pas au mieux de sa forme. «La performance de Nissan a baissé durant les deux dernières années. Si vous regardez les résultats et les forces de Nissan, Mitsubishi et Renault, vous voyez bien qu'il y a un problème», ajoute-t-il. De là à inciter Hiroto Saikawa à le faire chuter? «Il n'y a aucun doute là-dessus. C'est une affaire de trahison», affirme Carlos Ghosn, comme il l'avait déjà fait dans un entretien au journal japonais Nikkei , la veille.

L'ex-patron de Renault confirme que Hiroto Saikawa, qui a fait éclater «l'affaire Carlos Ghosn» en novembre, était sur la sellette («quand la performance d'une entreprise baisse, aucun PDG n'est immunisé contre un limogeage»). Le patron japonais aurait donc pris la tête d'une «armée» destinée à le faire tomber avant qu'il ne mène à bien son projet. «Chez Nissan, les gens qui sont au cœur des accusations sont aussi ceux qui font l'enquête. Ce sont des personnes qui étaient très profondément impliquées dans les affaires légales de Nissan. C'est tout de même très surprenant», explique Carlos Ghosn.

«Je suis fort, mais je suis fatigué de tout ça»

Carlos Ghosn

Revenant sur les accusations dont il fait l'objet, l'ex-dirigeant nie toujours en bloc. «On m'accuse de ne pas avoir déclaré des revenus que je n'ai jamais reçus», ironise-t-il. Et pour les 14 millions d'euros versés à l'homme d'affaires saoudien Khaled Al-Juffali ? «Tout le monde sait qu'il nous a beaucoup aidés dans la région et en Arabie Saoudite à l'époque», explique-t-il, ajoutant que «les paiements qui lui ont été faits ont été signés par quatre cadres de Nissan». Au final, tout n'est que «fausses accusations» destinées à «détruire sa réputation». D'ailleurs, son choix de quitter la présidence de Renault ne doit pas être interprété comme un aveu, prévient-il. «On ne pouvait pas maintenir Renault dans une situation où la gouvernance était temporaire (…) Mais j'aurais ardemment souhaité avoir l'occasion de m'expliquer devant le conseil d'administration».

Carlos Ghosn déplore le fait d'être puni avant d'être déclaré coupable. Il estime ne pas pouvoir mener sa défense dans de bonnes conditions. «Chez Nissan, il y a plusieurs centaines de personnes dédiées à l'affaire. Au bureau du procureur, ils sont 70 à travailler sur le cas. Moi, je suis en prison depuis 70 jours sans avoir accès à un téléphone ou à un ordinateur», critique-t-il, écorchant au passage le système judiciaire japonais. «Ça n'arriverait dans aucune autre démocratie du monde», regrette-t-il. Carlos Ghosn pointe du doigt ses conditions de détention difficile, avec une lampe constamment allumée, même la nuit, l'interdiction de porter une montre ou de parler à ses enfants au téléphone. Il espère toujours obtenir une libération sous caution. «Je suis fort, mais je suis fatigué de tout ça», concède-t-il.

31 janvier 2019

Vu sur internet

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31 janvier 2019

Ce week end.... Porte de Versailles

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31 janvier 2019

Des milliers de Vénézuéliens appellent l’armée à se rebeller contre Maduro

Désireux de trouver une solution pacifique à la crise politique, l’Uruguay et le Mexique ont annoncé l’organisation d’une conférence des pays « neutres » à Montevideo le 7 février.

Des milliers d’opposants vénézuéliens, menés par le président autoproclamé Juan Guaido, ont manifesté, mercredi 30 janvier, pour convaincre l’armée de tourner le dos au président Nicolas Maduro qui tente, lui, de serrer les rangs.

« Ne tirez pas contre un peuple qui se bat aussi pour sa famille », a lancé à l’appel des militaires M. Guaido, député de 35 ans et chef du Parlement contrôlé par l’opposition, à l’occasion d’un rassemblement dans la capitale Caracas.

« Une marionnette des “gringos” au Venezuela ? »

Portant une blouse médicale qu’on lui a offerte, il a défilé au côté de patients et d’infirmiers. « Nous avons retrouvé une majorité puissante qui peut changer le pays », en plein naufrage économique, s’est-il félicité. « Guaido est arrivé et l’espoir est revenu », chantaient ses partisans, tapant sur des casseroles et faisant sonner des cornes de brume.

Peu avant cette mobilisation, l’opposant a reçu les encouragements du président des Etats-Unis, Donald Trump. Les deux hommes, qui se sont entretenus par téléphone, se sont mis « d’accord pour rester en contact régulier afin de soutenir le retour vers la stabilité du Venezuela ». « Le combat pour la liberté a commencé ! », a tweeté, dans la foulée, le locataire de la Maison Blanche. De quoi prêter le flanc aux accusations de M. Maduro, qui crie au coup d’Etat orchestré par Washington.

Supervisant des manœuvres militaires à Caracas, le dirigeant socialiste a appelé l’armée à l’unité face aux appels à la rébellion des Etats-Unis et de M. Guaido, qui leur a promis l’amnistie. « Vous voulez que gouverne une marionnette des “gringos” au Venezuela ? », a-t-il lancé ensuite dans un meeting face à des jeunes Vénézuéliens.

La pression diplomatique des Etats-Unis se fait chaque jour plus insistante : premiers à accepter Juan Guaido comme président, ils martèlent que « toutes les options sont sur la table », y compris une intervention militaire. Washington se dit aussi prêt à livrer 20 millions de dollars (17,4 millions d’euros) en aliments et en médicaments, frappés de pénuries dans le pays pétrolier, mais cela passe par le feu vert de l’armée.

Dans une tribune publiée mercredi par le New York Times, Juan Guaido affirme que le soutien de l’armée est « crucial » pour parvenir à renverser le gouvernement de Nicolas Maduro. Il stipule aussi que des réunions secrètes ont eu lieu avec des membres des forces de sécurité et assure que la plupart de ses interlocuteurs ont été d’accord pour affirmer que le status quo au Venezuela ne pouvait plus continuer.

M. Guaido exige la mise en place d’un gouvernement de transition puis des élections libres, soutenu en ce sens par les Etats-Unis ainsi qu’une grande partie de l’Amérique latine et de l’Europe. M. Maduro se dit « prêt à discuter avec Donald Trump » et à « s’asseoir à la table des négociations avec l’opposition ». M. Guaido a répondu mercredi y être ouvert, seulement si cela permet « la fin de l’usurpation » du pouvoir par le socialiste.

Une quarantaine de morts et plus de 850 arrestations

Soucieux de trouver une solution pacifique à la crise politique que traverse le Venezuela, l’Uruguay et le Mexique ont annoncé de leur côté l’organisation d’une conférence des pays « neutres » à Montevideo le 7 février.

Le risque de troubles civils est élevé au Venezuela, pays pétrolier de 32 millions d’habitants, un des plus violents au monde. Neuf jours de mobilisations se sont ainsi soldés par une quarantaine de morts et plus de 850 arrestations, selon les chiffres de l’organisation des Nations unies.

Dans cette ambiance tendue, deux journalistes français étaient, mercredi, en détention depuis vingt_quatre heures, tandis que dans la soirée deux reporters de l’agence espagnole EFE ont été arrêtés et deux reporters chiliens ont été expulsés après avoir été retenus près de quatorze heures.

Des manifestations des deux camps sont prévues samedi : « Nous allons nous échauffer dans la défense de la patrie, pour nous préparer à de nouvelles batailles et de nouvelles victoires », a clamé le numéro deux du chavisme, Diosdado Cabello.

31 janvier 2019

Pédophilie dans l'église : une femme citée dans le film de François Ozon exige le retrait de son nom

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Par Culturebox (avec AFP) @Culturebox

Une ex-membre du diocèse de Lyon, Régine Maire, jugée récemment aux côtés du cardinal Barbarin pour non-dénonciation d'agressions sexuelles, a mis en demeure François Ozon de retirer son nom du film qu'il a réalisé sur l'affaire et dont la sortie est prévue en février. Elle dit avoir appris par la presse qu'elle était représentée sous son vrai nom sans avoir été consultée

"Elle a fait une demande officielle, par voie de mise en demeure, pour que son nom patronymique soit retiré de ce film et ne soit plus utilisé", a indiqué mercredi l'avocat de Régine Maire, Me Xavier Vahramian, confirmant une information du site internet de l'hebdomadaire La Vie.

Le film de François Ozon, "Grâce à Dieu", doit sortir le 20 février. Il raconte la naissance de l'association de victimes "La Parole libérée", fondée à Lyon en 2015 par d'anciens scouts abusés par un prêtre pédophile, Bernard Preynat. L'une des victimes, Alexandre Hezez-Dussot, est incarné à l'écran par l'acteur Melvil Poupaud.

Régine Maire a comparu devant le tribunal de Lyon, début janvier, avec l'archevêque Philippe Barbarin et quatre autres personnes, poursuivi par des victimes du prêtre pour ne pas avoir dénoncé ses agissements à la justice.

Régine Maire demande à visionner le film avant sa sortie

Régine Maire a appris dans la presse qu'elle était représentée à l'écran sous son vrai nom dans le film, sans avoir été consultée, "alors que pour les victimes, ils ont utilisé un nom d'emprunt", déplore son avocat, qui précise que sa cliente a demandé également "à visionner le film" avant sa sortie.

"Elle veut savoir" le rôle qu'on lui fait jouer, a-t-il dit. Fin 2014, avant qu'Alexandre Hezez ne porte plainte contre le prêtre, cette bénévole du diocèse avait organisé une rencontre entre les deux hommes, élément central de sa comparution au procès.

Le tribunal doit rendre son délibéré après la sortie du film

Le courrier de mise en demeure est parti mardi. "Il faut voir la réaction que le producteur et le distributeur vont avoir. Avec le numérique, changer une bande-son c'est facile", considère Me Vahramian, qui dénonce une "atteinte énorme" aux droits de la personne et à la présomption d'innocence de sa cliente.

Le tribunal correctionnel doit rendre son délibéré le 7 mars, soit après la sortie du film. A l'audience, l'avocat de Régine Maire a plaidé la relaxe et le parquet n'a pas requis de condamnation.

Le père Bernard Preynat, lui, n'a pas encore été jugé pour l'agression des scouts. Son avocat a demandé à François Ozon de reporter la sortie du film après le procès.

31 janvier 2019

Presqu’île de Quiberon

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31 janvier 2019

Helmut Newton

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31 janvier 2019

Au théâtre ce soir...

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Théâtre Hébertot - 7 morts sur ordonnance

D'après le film réalisé par Jacques Rouffio et le scénario original de Georges Conchon Adaptation théâtrale Anne Bourgeois et Francis Lombrail Mise en scène Anne Bourgeois Avec Bruno Wolkowitch, Claude Aufaure, Valentin de Carbonnières, Jean-Philippe Puymartin, Julie Debazac, Francis Lombrail, Jean-Philippe Bêche, Bruno Paviot

Deux brillants chirurgiens disparaissent dans les mêmes conditions à 15 ans d’écart, victimes de manipulations sournoises d’un chef de clinique concurrencé par leur réussite. Pouvoir, argent et honneur sont au cœur de cette intrigue inspirée de faits réels qui se sont déroulés dans une grande ville de province. Fragilités, chantage et harcèlement… Comment ont-ils été précipités vers cette issue fatale ? Le film de Jacques Rouffio, nommé aux Césars 1976 du Meilleur Film, est adapté pour la première fois au théâtre.

Jeudi, 31 janvier⋅21:00 à 23:00

Description :D'après le film réalisé par Jacques Rouffio et le scénario original de Georges Conchon

Adaptation théâtrale Anne Bourgeois et Francis Lombrail

Mise en scène Anne Bourgeois

Avec Bruno Wolkowitch, Claude Aufaure, Valentin de Carbonnières, Jean-Philippe Puymartin, Julie Debazac, Francis Lombrail, Jean-Philippe Bêche, Bruno Paviot

Deux brillants chirurgiens disparaissent dans les mêmes conditions à 15 ans d’écart, victimes de manipulations sournoises d’un chef de clinique concurrencé par leur réussite.

Pouvoir, argent et honneur sont au cœur de cette intrigue inspirée de faits réels qui se sont déroulés dans une grande ville de province.

Fragilités, chantage et harcèlement… Comment ont-ils été précipités vers cette issue fatale ?

Le film de Jacques Rouffio, nommé aux Césars 1976 du Meilleur Film, est adapté pour la première fois au théâtre.

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