Addiction au smartphone...
Addiction : quand votre smartphone vous empoisonne https://t.co/DRHXjMWPXc
— Le Parisien Week-End (@LeParisienWE) 18 mai 2019
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Par Éric Béziat
Les tarifs ont augmenté de 12,3 % selon une étude de simplauto.com, site comparateur de centres de contrôles techniques, portant sur plus de 3 600 prestataires.
C’était l’un des griefs originels des gilets jaunes : la réforme du contrôle technique du 20 mai 2018 a rendu la vie des automobilistes plus compliquée et plus chère. Une étude portant sur plus de 3 600 centres en France (sur 6 372 au total) confirme ce ressenti. Selon simplauto.com, site comparateur des prix du contrôle technique dans l’Hexagone, le tarif moyen d’une visite pour faire vérifier l’état de son véhicule a augmenté de 12,3 % depuis que la réforme a été mise en place il y a tout juste un an.
« Le prix moyen d’un contrôle est passé de 69 à 77,60 euros, détaille Mickael Barbosa, fondateur de simplauto.com. C’est un niveau de hausse que nous n’avions jamais constaté depuis 2013, l’année où nous avons commencé à réaliser notre enquête annuelle. »
L’envolée est-elle justifiée ? De fait, le contrôle technique, obligatoire tous les deux ans pour les véhicules de plus de quatre ans d’âge, s’est complexifié. Depuis le 20 mai 2018, la France, se mettant en conformité avec une directive européenne visant à améliorer la sécurité des véhicules, impose de rechercher 610 défaillances potentielles sur 133 points de contrôle. Auparavant, « seulement » 123 points étaient surveillés et 459 possibilités de défaillances contrôlées. De plus, une disposition prévoit désormais une réparation obligatoire dans la journée en cas de défaillance dite critique, sous peine d’immobilisation du véhicule.
Cette inflation des contrôles peut expliquer le renchérissement de 2018 par un allongement des opérations de vérification pour chaque véhicule « En réalité, nous avons pu constater que malgré l’augmentation des défaillances à rechercher moins de 15 % des centres avec lesquels nous sommes en partenariat ont augmenté la durée du contrôle », précise M. Barbosa.
« Pour se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation, la profession a dû embaucher davantage et de nouvelles compétences, plaide Bernard Bourrier, responsable du contrôle technique au Conseil national des professions de l’automobile (CNPA). Et les propriétaires de centres ont surtout procédé à un rattrapage tarifaire. Les prix n’avaient quasiment pas bougé depuis dix ans. »
Hausse inédite
En plus de cette hausse inédite, l’étude de Simplauto met en évidence une grande disparité de prix selon les situations. En France, on peut payer un contrôle technique 45 euros en Moselle ou 110 euros en Haute-Savoie, soit un écart de 144 % pour exactement la même prestation. Côté augmentation, c’est la Corse qui détient la palme 2018 avec + 25 %, quand la Guyane est le plus modéré des départements français (+ 1,7 %). En France métropolitaine, les Hauts-de-Seine affichent la plus grande modération avec une hausse de + 2,4 %.
L’autre conséquence de la réforme, c’est évidemment la hausse du nombre de véhicules qui ont été déclarés non conformes pour cause de défaillance. Elle n’est d’ailleurs pas si spectaculaire que cela puisqu’on passe d’un taux de 17 % de voitures refusées avant le 20 mai 2018 à un taux de 21 % après, dont 1,18 pour défaillance critique.
Mais les automobilistes contraints de passer un contrôle technique n’en ont pas pour autant fini avec les réformes. Au 1er juillet, les véhicules diesel de plus de quatre ans devront passer un nouveau test, celui de l’opacité des fumées afin de lutter contre la pollution aux particules (nouveauté initialement prévue au 1er janvier de cette année mais qui a été reportée pour cause de crise des gilets jaunes). « L’impact sur les automobilistes devrait être modéré, estime M. Bourrier. Le nombre de voitures diesel refusées pourrait passer de 1 % à 4 %. »
Au-delà du prestige pour le réalisateur qui la reçoit, la plus célèbre récompense du cinéma d’auteur a des conséquences très nettes sur la carrière du film primé.
Il y a vingt-cinq ans, en mai 1994, le réalisateur Quentin Tarantino faisait irruption au Festival de Cannes avec un film au rythme grisant : Pulp Fiction. Auréolé de la Palme d’or, le film est alors, de l’aveu de l’un de ses acteurs-phares, John Travolta, « propulsé à un tout autre niveau ». Il devient une œuvre culte des années 1990.
Mais au-delà de la notoriété qu’apporte le Festival de Cannes, quels sont plus précisément les effets de la Palme d’or pour un film ? Quelles conséquences sur sa valeur, mais aussi sur ses conditions de sortie en salle, et enfin, sur le nombre de spectateurs qui iront le voir ? Obtenir une Palme d’or est-il réellement une garantie de succès ? Nous avons rencontré des professionnels du cinéma pour mieux comprendre les enjeux économiques de la plus prestigieuse récompense du cinéma d’auteur.
Marc Bettinelli
#Trump awards custom trophy to sumo grand champion in #Tokyo pic.twitter.com/tg3CZvy9Zu
— Ruptly (@Ruptly) 26 mai 2019
Photo ci-dessus : statuette de sumo offerte à Jacques Chirac au cours d'un de ses voyages au Japon. Photo réalisée au Musée du Président Chirac à Sarran en Corrèze.
Golf et selfie pour Donald Trump et Shinzo Abe https://t.co/4McxiebeDs pic.twitter.com/4E0FZAPrA8
— Paris Match (@ParisMatch) 26 mai 2019
Trois raisons d’aller voir le dernier film d’Almodovar https://t.co/JGBcr8h8BC
— Le Parisien Week-End (@LeParisienWE) 20 mai 2019