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Jours tranquilles à Paris
11 novembre 2015

Bretagne - Soleil couchant sur la mer, ce soir...

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9 novembre 2015

Une exposition sur la grande vitesse en 2017

En 2017, la Ligne à grande vitesse (LGV) mettra Paris à 1 h 27 de Rennes. La même année, l’Espace des sciences de Rennes a prévu une exposition sur la grande vitesse ferroviaire, alors que l’on fêtera le 10 anniversaire du record de vitesse sur rail, 574,8 km/h, établi le 3 avril 2007. Pendant neuf mois, cette exposition inédite sera l’occasion de découvrir les coulisses de ce vaste chantier qu’est la LGV. Et, plus largement, le fonctionnement des trains à grande vitesse dans le monde. « Un exploit du quotidien » , comme aime à le rappeler un responsable de la SNCF, partenaire de l’opération avec le groupe Eiffage, la Région Bretagne, le Département d’Ille-et-Vilaine et Rennes métropole.

7 novembre 2015

Erdeven prépare Noël....

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1 novembre 2015

Le remplissage du lac de Guerlédan débute ce dimanche

Démarrés en mars, les travaux sur le barrage hydroélectrique du lac de Guerlédan, aux confins du Morbihan et des Côtes-d’Armor, s’achèvent. Son remplissage débutera dimanche. Alimenté par le Blavet, il faudra entre un et six mois avant qu’il retrouve son niveau d’eau d’avant vidage. Les dernières visites de la vallée engloutie sont proposées samedi. Réservations au 02 96 29 02 72.

1 novembre 2015

AURAY : Saint-Gildas, cimetière d’histoires à faire revivre

Le cimetière et ses 2 648 emplacements est aussi un endroit qui se visite. Au fil des allées, on y découvre les tombes de personnalités qui ont participé à l’histoire d’Auray. Petite visite guidée.

Reportage

Philippe Uzel est un peu l’homme qui tombe à pic. Vous cherchez la tombe du général Auguste La Houlle ? Le gardien du cimetière est prompt à vous indiquer l’emplacement. La tombe des six soldats morts pendant la Première Guerre ? Rien de plus simple. En quelques pas vous voici devant la stèle érigée en leur honneur par le Souvenir français. Dire que Philippe Uzel connaît bien les lieux serait peu dire. Cette dernière tombe est comme flambant neuve. « Je l’ai entièrement repeinte, les gravillons qui l’enrobent sont tout neufs », indique le gardien avec une once de fierté légitime dans la voix. Un cimetière comme celui de Saint-Gildas, « c’est du boulot… mais j’aime beaucoup. Le plus dur c’est le désherbage, il faut être méthodique. Heureusement, j’ai l’appui des Espaces verts pour le cimetière de Saint-Goustan ». En cette veille de Toussaint, le cimetière de Saint-Gildas prend des couleurs. Peu à peu, les tombes refleurissent. On s’active dans les allées, on redonne un petit coup de jeune aux sépultures des défunts. On s’arrête ici et là, on discute avec les membres d’une famille voisine. « C’est loin d’être mort un cimetière, sourit Philippe Uzel. C’est même très vivant. On s’y parle énormément, on s’y rencontre. »

Dédale d’histoires

Saint-Gildas est aussi un dédale d’histoires de familles alréennes. En y prêtant attention, on se penche plus profondément dans la vie de personnages qui ont fait l’Histoire d’Auray. Accompagné pour l’occasion de Geneviève Hamon, directrice du service archives et patrimoine et de Patrick Gouégoux, conseiller au patrimoine, on remonte le fil de cette histoire, au fil des tombes sagement alignées. « Saint-Gildas a bougé au XIXe siècle, explique Geneviève Hamon. Autrefois implanté près de l’église (à la Plaine) le cimetière était à l’étroit et souffrait de problèmes sanitaires. On craignait des épidémies. La majorité des tombes ont été déplacées ici, en 1805. » Reste-t-il des traces de l’ancien site ? « Il subsiste encore des sépultures, acquiesce Patrick Gouégoux, sous le bitume qui environne l’église. En 2012, des travaux sur une canalisation de gaz ont mis à jour des ossements. » L’actuel cimetière Saint-Gildas est situé dans l’aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine (Avap). « Ce qui veut dire que toute cette histoire sera conservée et protégée », précise Patrick Gouégoux.

Fleurie ad vitam æternam

Parmi les sépultures (2 648 recensées), celle de la famille Le Doré et de l’ancien maire d’Auray, Louis Le Doré, un industriel qui a beaucoup fait pour le développement commercial d’Auray entre 1900 et 1908. « C’est lui, également qui permit la construction du Petit théâtre. » À deux pas, voici la tombe de Jean Marie Barré. « LE » bienfaiteur de la Ville. « Il était l’héritier direct d’une très riche famille. Dès 1796, il a beaucoup donné de sa fortune pour la Chartreuse, le cloître de SainteAnne-d’Auray et pour la chapelle du Saint-Esprit. Il était membre de la loge maçonnique « La douce entente » installée à Saint-Goustan ». Poursuivons la visite jusqu’à la stèle de la famille Royère, dont le parc du centre-ville porte le nom. « Zoé Guillon des Brûlons, la grand-mère de Jean Royère, décorateur de renommée internationale, possédait d’importantes propriétés à Auray. » La tombe du général Auguste La Houlle, aviateur engagé dans les deux guerres mondiales, mort à Rabat en 1959, sera de celle qui sera fleurie par le maire ce dimanche. « Par obligation aussi, explique Geneviève Hamon. À sa mort, il fut décidé, par délibération municipale, qu’elle serait fleurie et entretenue ad vitam… » Fleuries, les tombes des différents défunts maires d’Auray le seront aussi. Comme celles des soldats de la Première Guerre ou celles des résistants Jean Marca et Henri Conan, parmi les personnalités qui reposent paisiblement, avec tant d’autres, à l’ombre de Saint-Gildas. Un parcours qui pourrait aussi faire un jour l’objet de visites guidées et commentées ? Idée à creuser…

Pierre WADOUX.

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30 octobre 2015

Brest ce matin...

30 octobre 2015

Lac de Guerlédan

Démarrés en mars, les travaux sur le barrage hydroélectrique sont achevés. Il faudra attendre entre un et six mois avant que le lac des Côtes-d’Armor ne retrouve son niveau d’eau d’avant sa vidange.

La fin d’un chantier à 4 millions d’euros

Aux confins du Morbihan et des Côtes-d’Armor, le lac de Guerlédan a ouvert en grand ses vannes en mars dernier pour permettre à EDF d’examiner les parties immergées de son barrage hydroélectrique. L’électricien a rénové deux vannes de fond et leur système de manœuvre, a procédé à l’entretien de la paroi en béton… Réalisé par une quarantaine d’entreprises, dont la moitié de Bretagne, le chantier d’envergure de 4 millions d’euros s’achève. « Tout s’est bien passé : le chantier s’est déroulé sans incident, dans le respect du budget, du planning et des critères environnementaux »,se réjouit Olivier Le Bras, responsable EDF de la centrale.

Un à six mois de remplissage du lac

La fermeture partielle des vannes de vidange de fond est programmée à partir de ce samedi. Le remplissage du plus grand lac artificiel de Bretagne débutera quand le débit du Blavet sera supérieur à 2,5 m3 par seconde, l’équivalent du débit qu’EDF doit restituer à la rivière pour garantir l’alimentation en eau potable. Le remplissage va durer d’un à six mois. « S’il pleut beaucoup, c’est un mois, s’il n’y a pas d’eau, il en faudra six. » Pour rappel, il s’était vidé en dix-sept jours. Durant cette période, des essais seront effectués sur les vannes du barrage et sur les groupes de production de la centrale qui sera remise en service au début de l’année 2016.

Treize tonnes de poissons réintroduits

Avant la vidange du lac, plus de cinq tonnes de poissons ont été récupérées. La plus grande partie des captures a été relâchée dans des sites à proximité. Des poissons seront réintroduits en novembre et décembre, puis à l’automne 2016 afin de permettre la reprise de la pêche en fin 2017. « Le plan de rempoissonnement, financé par EDF et réalisé par la fédération de pêche des Côtes-d’Armor, prévoit la réintroduction de 13 tonnes de poissons : 20 % de perches, sandres et brochets et 80 % de gardons, carpes et tanches. »

La prochaine vidange, c’est quand ?

La dernière vidange remontait à 1985. La prochaine ? « La réglementation impose une inspection décennale. Mais on n’attendra pas 2025 pour procéder à des auscultations. Nous effectuons des contrôles d’étanchéité tous les quinze jours. » Dans dix ans, nous ferons une inspection subaquatique avec un robot. Et on verra la suite selon les résultats.

Le barrage.

Construit entre 1923 et 1930, le barrage de 208 mètres de long et 45 mètres de haut permet de constituer un lac d’une superficie de 304 ha et d’un volume total de 51 millions de m3. Le barrage fonctionne selon le principe d’un moulin : l’eau, retenue derrière le barrage, est amenée sur une turbine qui se met en rotation. La turbine entraîne un alternateur qui génère le courant électrique. Le transformateur élève ensuite la tension pour faciliter le transport de l’électricité sur de longues distances. La production de la centrale de Guerlédan est réalisée au moment où la demande en énergie est la plus forte. Il n’existe aujourd’hui aucun moyen de stocker l’électricité en grande quantité. Les retenues d’eau formées par les barrages représentent une solution écologique.

Voir mes précédents billets :

Lac de Guerlédan - 7 octobre 2015    16/10/2015

Plus d’un million de visiteurs au lac de...20/09/2015

Lac de Guerlédan       12/08/2015

Lac de Guerlédan à sec !        21/07/2015

BRETAGNE : Le barrage de Guerlédan fait... 04/07/2015

BRETAGNE : Lac de Guerlédan    26/04/2015

Le lac de Guerlédan est désormais à sec   23/04/2015

De nouvelles règles d’accès au lac de...   11/04/2015

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html 

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29 octobre 2015

Bretagne

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25 octobre 2015

La Bretagne a la cote !

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25 octobre 2015

BONJOUR !

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