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Jours tranquilles à Paris
14 novembre 2019

Carole Laure - vu sur instagram

jaime carole laure

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14 novembre 2019

Métro, Boulot, Dodo....

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13 novembre 2019

Vu sur internet

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13 novembre 2019

En Italie, Venise touchée par une « marée haute » historique

venise

Par Jérôme Gautheret, Rome, correspondant

Les autorités ont annoncé mardi qu’un homme de 78 ans était mort électrocuté par un court-circuit causé par la montée des eaux, sur l’île de Pellestrina.

Dans la soirée de mardi 12 novembre, Venise a connu la pire « acqua alta » (« marée haute ») de son histoire depuis la terrible « acqua granda » du 4 novembre 1966, qui avait causé à la ville nombre de dommages irréparables. La décrue a commencé à 23 heures et une autre montée des eaux est annoncée pour mercredi matin avec un nouveau pic à 9 h 50.

Avec un niveau de 187 cm au point d’observation de la pointe de la Salute, à l’entrée du Grand Canal (194 cm en 1966), c’est l’ensemble de la ville qui s’est trouvé submergée. A 21 h 40, la compagnie de transports vénitienne ACTV a cessé toutes ses liaisons, hormis celles reliant le centre de Venise à l’île de la Giudecca et aux autres îles de la lagune.

Un mort sur l’île de Pellestrina

Dans la soirée, la préfecture a annoncé que tous les établissements scolaires seraient fermés mercredi. Plus tard, les autorités ont annoncé qu’un homme de 78 ans était mort sur l’île de Pellestrina, une étroite langue de terre entre la lagune et l’Adriatique, électrocuté par un court-circuit causé par la montée des eaux. Il est trop tôt pour connaître l’ampleur des dommages matériels, en termes de commerces et d’équipements publics, mais à voir les nombreuses vidéos postées dans la nuit sur les réseaux sociaux, ceux-ci s’annoncent considérables.

Autant que le niveau exceptionnel de la crue, la donnée la plus importante, dans les prochaines heures, sera la durée de l’épisode, qui pourrait avoir de terribles conséquences sur le patrimoine artistique vénitien. L’inquiétude est particulièrement forte concernant la basilique Saint-Marc, située au point le plus bas de la ville. Au plus fort de la crue, la crypte de l’ancienne chapelle des doges était sous plus d’un mètre d’eau. Les dommages pourraient y être irréparables.

En 2018, après un épisode spectaculaire (159 cm) mais nettement moins extrême que ce mardi 12 novembre, les experts de la surintendance aux biens culturels avaient estimé que la basilique avait « vieilli de vingt ans » en quelques heures. Dans la nuit, le ministre des biens culturels, Dario Franceschini, a annoncé que des inspecteurs allaient se rendre sur place dans les plus brefs délais.

« Nous sommes en train d’affronter une marée plus qu’exceptionnelle. Tout le monde est mobilisé pour gérer l’urgence », a tweeté le maire de Venise, Luigi Brugnaro, avant de qualifier l’acqua alta de mardi soir de « désastre » pour la ville.

Le chantier de digues semble au point mort

Depuis plusieurs jours, les services météorologiques annonçaient un risque d’acqua alta exceptionnelle, accentuée par de fortes pluies, mais ce n’est que dans le courant de la journée de mardi que le phénomène a pris des proportions exceptionnelles. En cause, la persistance d’un fort sirocco qui empêche l’eau de la lagune de se déverser dans la mer. Les prévisions pour les prochains jours sont tout sauf encourageantes, et de forts coups de vents sont annoncés pour la fin de semaine.

Phénomène fréquent dans la lagune durant les mois d’hiver (d’octobre à mai), l’acqua alta est identifiée, depuis 1966, comme la principale menace pesant sur la ville de Venise, particulièrement vulnérable à la montée des eaux. Mais le gigantesque chantier de digues flottantes censé mettre Venise à l’abri des crues (projet « MOSE »), imaginé dans les années 1970, semble au point mort. La fin des travaux est annoncée – au mieux – pour 2022, et à Venise, nul ne se risquerait à assurer que le chantier ira à son terme.

Dans un texte publié à chaud, dans la nuit, l’écrivain vénitien Roberto Ferrucci laisse percevoir sa tristesse et sa colère : « Ce soir, comme toujours, certains ont invoqué le MOSE, le chantier pharaonique qui aurait dû sauver Venise de cette calamité. Mais il vaut mieux ne pas en parler, pour le respect et la douleur que j’éprouve cette nuit, en voyant ma ville dévastée, sans cesse plus fragile, sans défense, livrée à elle-même. »

venise22

13 novembre 2019

Milo Moiré

milo65

milo66

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13 novembre 2019

Bourse du Commerce en travaux... bientôt Fondation Pinault

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13 novembre 2019

Sac à dos original...

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Photos : Jacques Snap

12 novembre 2019

A Lille, des étudiants envahissent la fac et contraignent Hollande à annuler sa conférence

Par Anne-Charlotte Dusseaulx

L'ancien président François Hollande n'a pas pu prendre part à une conférence prévue à la faculté de Lille. Des étudiants protestant contre la précarité étudiante ont envahi l'amphithéâtre.

hollande

L'affiche de la conférence que devait tenir François Hollande à Lille.

L'échange était prévu depuis plusieurs semaines. Mardi, dans l'amphithéâtre F de la faculté de Lille, François Hollande devait débattre autour du thème "Répondre à la crise démocratique", du nom de son dernier livre. Mais la conférence a été annulée, à la dernière minute. Environ 300 manifestants, présents pour dénoncer la précarité étudiante après l'immolation par le feu d'un étudiant à Lyon la semaine dernière, sont entrés dans la salle aux cris de "Hollande assassin!" Selon La Voix du Nord, François Hollande qui n'était pas encore présent dans l'amphithéâtre à ce moment-là a été placé en "zone de sécurité".

Des livres de l'ex-Président ont été déchirés, les pages jonchant le sol.

François Hollande "comprend" l'émotion des étudiants, mais regrette la violence

"Il y a une émotion légitime après le geste désespéré d'un étudiant à Lyon, et le Président la comprend, explique au JDD l'entourage de François Hollande. Il est compréhensible que certains étudiants se soient saisis de la venue d’un ancien Président pour médiatiser leurs revendications."

Mais, toujours selon son entourage, François Hollande "regrette que cette émotion se soit transformée en violence de la part d’une centaine d'individus ne laissant aucune place au dialogue et empêchant plus de 1.200 étudiants d'échanger avec lui sur la démocratie".

"François Hollande a toujours placé la jeunesse et la justice sociale au cœur de son quinquennat", ajoute-t-on encore, rappelant les mesures prises en ce sens (construction de logements étudiants, augmentation de l'indemnité minimale de stage, création de l'aide à la recherche du premier emploi, nouveaux échelons de bourse). L'ancien chef de l'Etat reviendra sur place pour défendre ses propositions institutionnelles et parler de la démocratie.

L'action d'un "petit collectif"

L'enseignant organisateur du rendez-vous, Jean-Philippe Derosier, a dénoncé l'attitude d'un "petit collectif", avec le hashtag #Inadmissible :

Aujourd’hui, on a tenté d’organiser un débat démocratique à la faculté de droit de l’Université de Lille, avec plus de 1000 étudiants.

Un petit collectif, se disant prôner la liberté d’expression, les a privés d’un tel débat, en saccageant un amphi et des ouvrages.

Sur Twitter, le socialiste Julien Dray a réagi à l'accueil réservé à l'ancien chef d'Etat, évoquant un "climat de violence intolérable".

Quand on renverse des livres quand on empêche une conference dans une universitaire .. on a beau se dire anticapitaliste ., on est d’abord stupide et totalitaire .Et ce climat de violence devient intolérable . 

Le syndicat étudiant Solidaires, auquel appartenait l'étudiant de Lyon, avait lancé un appel à se rassembler devant les Crous dans toute la France pour dénoncer la précarité et "lutter contre des conditions de vie déplorables".

L'étudiant de 22 ans, qui a tenté de se suicider à Lyon, avait publié un long message sur Facebook, où il évoquait nommément l'ancien Président : "J'accuse Macron, Hollande, Sarkozy et l'UE de m'avoir tué, en créant des incertitudes sur l'avenir de tous-tes, j'accuse aussi Le Pen et les éditorialistes d'avoir créé des peurs plus que secondaires." Brûlé à 90%, le jeune homme est soigné au centre des brûlés de l'hôpital Edouard-Herriot à Lyon.

12 novembre 2019

Caroline Vreeland

caroline33

12 novembre 2019

A table !

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