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Jours tranquilles à Paris
17 novembre 2016

Portes ouvertes d'Anvers aux Abbesses

Les  Portes ouvertes d'Anvers aux Abbesses se dérouleront du 18 au 20 novembre dans le 9e et 18e arrondissements de Paris

A cette occasion, 86 artistes présenteront leurs oeuvres dans leurs lieux de création.

Parmi eux, 11 photographes :

- Julia Keiko - 7, rue de Trétaigne  – 78018 Paris

- MLP  - 98, rue Marcadet - 75018 Paris

- Joachim Metz -  13, rue Paul Albert 75018 Paris

- Louis Bourjac - 16, rue Muller 75018 Paris

- Cathy Bion - 5, rue Picard 75018 Paris

- Jean-Luc Debève - 11, rue d'Orsel 75018 Paris

- Théo - 58, rue des Trois Frères - 75018 Paris

- Maud Chazeau  - 32, rue Durantin 75018 Paris

- Siobhan Mlacak - 41, rue Durantin 75018 Paris

- Gérard Laurent - 45, rue Lepic 75018 Paris

- François Delandre - 13, rue André Antoine

Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse de cette manifestation.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ou envoi de visuels.

Cordialement

Anne Quémy

01 44 83 01 10


Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : CPAbbesses2016.pdf

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16 novembre 2016

Concorde Art Gallery - SENSUAL PAINTINGS

16 novembre 2016

Sur les grilles du Panthéon - jusqu'au 30 novembre...

exposition panthreon

15 novembre 2016

BEN au Musée Maillol

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14 novembre 2016

Actuellement à la Galerie de l'Instant

Jusqu’au 6 décembre 2016 – Galerie de l’Instant 

« C’est la mode qui m’a amenée à la photographie ! » nous dit Julia Gragnon, de la toujours- à-la-pointe Galerie de l’Instant. Pendant plus de deux mois, vous pourrez y découvrir les clichés des plus grands photographes ayant immortalisé diverses icônes du milieu de la mode : Herb Ritts face à Noami Campbell, Mary McCartney et Bruce Weber qui ont figé à jamais l’air mutin et sensuel de Kate Moss ou encore Jean Loup Sieff et sa légendaire photographie d’Ina Blake en contre-plongée. On y trouve également le chic  portrait en noir et blanc de l’actrice et mannequin américaine Stephanie Seymour par Richard Avedon. Il parvint avec ce cliché à saisir la fascinante beauté du modèle, la femme fatale fumant une cigarette en longue robe noire se mêle à un visage bougon et renfrogné de petite fille. Une autre célébrité, et non des moindres, est également présente au sein de cette exposition. Yves Saint-Laurent en plein travail, capté dans l’agitation de ce qu’on imagine être son prochain défilé.  L’occasion de rendre hommage à des photographes et des créateurs de génie qui nous font rêver mais qui, toujours selon Julia Gragnon, ne sont « ni des divas, ni des personnalités délirantes coupées de la vraie vie ». Plutôt « travailleurs acharnés et passionnés, hyper cultivés et ouverts aux autres », ils s’offrent à nous un instant à travers cette exposition. Laissez-vous fasciner par la perfection des créations, des modèles et des photographies car, quoique l’on dise, on ne se le lasse jamais vraiment de la beauté.

An exhibition which pays tribute to the best knows photographers who immortalized fashion icons as Noami Campbell, Kate Moss, Yves Saint Laurent, Ina Blake, Stephanie Seymour. Beautiful portraits which capture the essence of being a fashion designer, a photographer and a model.

GALERIE DE L’INSTANT

Jusqu’au 6 décembre 2016

46 rue de Poitou, 75003 – M° Saint Sébastien Froissart (8)

Du mardi au samedi de 11h à 19h et le dimanche de 14h30 à 18h30

Fermé le lundi

Entrée libre

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13 novembre 2016

Coluche – L’histoire d’un Mec

Jusqu'au 7 janvier 2017 – Hôtel de Ville 

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« L’homme et la femme sont comme les deux faces d’une médaille, ils ne peuvent pas se voir, mais ils restent ensemble.

Il voulait être clown, il est devenu le plus populaire des artistes de la seconde moitié du XXe siècle, et reste inégalé dans le cœur des Français. Michel Colucci, dit Coluche, s’en est allé depuis déjà 30 ans, l’occasion, pour la ville de Paris de lui rendre un brillant hommage. En salopette et t-shirt jaune, godillots aux pieds, nez rouge et coiffure de toréador, il poussait le grossier à outrance pour surprendre de son humour incisif et provocant. Sur scène, à la télévision, au cinéma, à la radio, il choquait autant qu’il faisait rire, suscitait l’adhésion comme il poussait à la réflexion. C’est cet homme « grossier, mais jamais vulgaire », cet artiste généreux qui a marqué des générations par son esprit critique que révèle l’exposition. Photos, vidéos, témoignages et objets personnels, viennent illustrer tant le sens aigu de la démocratie de celui qui se présenta aux élections présidentielles, que son extrême dévotion pour les plus démunis, immortalisée par les Restaurants du Cœur.

In honour of Coluche and in the 30th anniversary of his death, this exhibition is a wonderful opportunity to rediscover the funny and touching character that was Coluche, who founded les Restaurants du Coeur.

Dans les fins de mois, ce qui est le plus dur, c’est les trente derniers jours. »

HÔTEL DE VILLE

Du 6 octobre au 7 janvier 2017

Place de l’Hôtel de Ville, 75004 – M° Hôtel de Ville (1,11)

Du lundi au vendredi de 8h à 19h30

Fermé le samedi et le dimanche

Entrée libre

13 novembre 2016

Exposition à la Concorde Art Gallery - Lucie Barra (entre autres exposants)

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http://www.luciebarra.com/

Lucie Barra

Peintre

Artiste varoise née à Toulon, Lucie Barra a d'abord suivi d'autres voies que celles de l'Art, mais habitée depuis toujours par l'envie de peindre, elle se forme parallèlement à diverses techniques auprès d'artistes en ateliers, en cours privés, et par un passage aux Beaux-Arts en auditeur libre.

A partir de 2010 elle a pu s’y consacrer totalement et a commencé à exposer car il lui est apparu important de confronter son travail au regard du public, de rencontrer d'autres artistes et de découvrir le milieu professionnel de l'Art. Ceci a marqué le point de départ de sa carrière professionnelle artistique.

Depuis une première participation à BASE'ART en 2012 où elle exposera une série de nus féminins, les choses ont évolué très vite : dans une série commencée en 2013 (série Black and White), elle propose des compositions puissantes au couteau, en noir et blanc, très contrastées, avec l'omniprésence de nus féminins aux visages souvent masqués. La série Regards se concentre, elle, sur des visages anonymes ou connus, toujours réalisés au couteau. Elle travaille actuellement sur plusieurs séries en parallèle, notamment une série intitulée “icônes” consacrée aux stars du rock et de la chanson française, et également sur une autre en collaboration avec le photographe d’Art marseillais Jean-Claude Sanchez.

Elle peint également sous le pseudonyme LUBA de petits formats colorés et plein d’humour dans un style radicalement différent qui constitue une autre facette, plus ludique, de son Art.

Nourrie de passion et d'enthousiasme sa production est intense et elle multiplie, mais toujours de façon sélective, les expositions tant collectives que privées dans le Var et les Bouches-du-Rhône notamment. Elle a été remarquée récemment par plusieurs galeries avec lesquelles elle travaille désormais régulièrement. Certaines de ses œuvres sont visibles sur ARTSPER (site professionnel réservé aux galeries d’Art pour la vente en ligne au public)

12 novembre 2016

L'Amérique sans concession du photographe Andres Serrano exposée à Paris

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Montage de 3 photos d'Andres Serrano : Little Yankee Miss, Trump, White Nigger 

Par Culturebox (avec AFP) @Culturebox

Connu pour ses oeuvres antireligieuses ou ses photos "trash" sur la torture, Andres Serrano présente à Paris sa vision de l'Amérique, avec des portraits moins polémiques mais toujours intenses de sans-abri, de Donald Trump et de membres du Ku Klux Klan.

En 2011, deux photographies de l'Américain avaient été détruites à coups de marteau à Avignon, au lendemain de manifestations de mouvements catholiques. Objet du scandale: "Piss Christ", l'une des images, qui représentait un crucifix immergé dans de l'urine.

"C'est ma croix", a confié à l'AFP Andres Serrano, de passage à Paris pour inaugurer l'exposition qui lui est consacrée à la Maison européenne de la photographie (MEP) à partir de mercredi. "Beaucoup de gens ne me connaissent qu'à travers ça. C'est une oeuvre réalisée pourtant il y a près de trente ans", insiste l'artiste de 66 ans qui lui préfère ses portraits de sans-abri, comme "René" (l'affiche de l'exposition) ou celui d'un "maquereau bling bling", avec dents et chaîne en or qui brillent.

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JB Pimp America  © Andres Serrano Courtesy Galerie Nathalie Obadia Paris/ Bruxelles

"Il y a un mélange d'individuel et de symbolique" dans ces portraits, explique celui dont l'oeuvre, hantée par la religion, le sexe, la mort et la violence, évoque souvent la peinture classique et baroque.

Pour la Collection Lambert en Avignon, un musée d'art contemporain qui détient plus de 200 photographies de l'artiste new-yorkais, il faut aller chercher ses influences "vers les grands maîtres du passé dont il ne retient que la face la plus sombre (on pense à Titien et Delacroix, Le Tintoret, Vélasquez mais aussi Goya, El Greco, Zurbaran, Géricault ou Courbet)".

Ses oeuvres les plus polémiques viennent d'être présentées à Bruxelles lors d'une grande rétrospective. A Paris, la MEP a fait le pari inverse, préférant s'attarder sur la dimension humaniste de Serrano.

Des portraits façon studio de sans-abri

L'exposition s'articule en premier lieu autour des portraits de sans-abri, que Serrano préfère qualifier de "nomades", "résidents" ou "habitants". Pris dans le métro ou dans la rue, ces photographies au cadrage serré montrent des visages fermés, accentués par les ombres, à la dimension picturale évidente.

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Sleeze (Residents of New York), 2014 © © Andres Serrano, courtesy Galerie Nathalie Obadia Paris/Bruxelles

Seuls leurs bonnets ou leurs tenues, souvent trop grandes et très couvrantes, laissent deviner la situation de ces modèles, sans domicile fixe. "L'idée était que la plupart des gens, à un moment de leur vie, se rendent dans un studio pour se faire tirer le portrait. Les sans-abri ne le peuvent pas, donc j'ai fait venir le studio à eux", explique l'artiste latino, qui a commencé ce travail dans les années 90 à New York, avant de le reprendre en 2014-2015.

Parmi les personnalités américaines... Donald Trump

Dans une autre série, il livre des portraits hauts en couleur de personnalités américaines. Le rappeur Snoop Dogg y côtoie l'actrice Chloé Sévigny et un certain Donald Trump. "J'étais en avance sur mon temps, je l'ai choisi pour représenter l'Amérique" dès 2004, bien avant qu'il ne manifeste ses ambitions politiques. Ces portraits ont été réalisés sur plusieurs années dans la foulée de l'attaque du 11 septembre 2001. 

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Donald Trump (America), 2001-2004 © © Andres Serrano Courtesy Galerie Nathalie Obadia Paris/ Bruxelles

Volontiers dérangeant, Serrano montre encore une autre facette de l'Amérique avec des membres du Ku Klux Klan, prenant la pose, cagoulés. Une façon pour lui d'explorer les frontières entre bien et mal, acceptable et l'inacceptable.

"J'ai toujours dit que mon oeuvre était ouverte à l'interprétation. Ce n'est pas quelque chose que je peux contrôler ou que je veux contrôler", souligne l'artiste dans la présentation de l'exposition.

Exposition Andres Serrano, jusqu'au 29 janvier à la Maison européenne de la photographie à Paris

Exposition "Torture" d'Andres Serrano à la galerie Nathalie Obadia, jusqu'au 30 décembre 2016   

11 novembre 2016

Concorde Art Gallery - Exposition "Sensual Paintings 3" jusqu'au 31/12/2016

11 novembre 2016

A la MEP nouvelles expositions

En pleine actualité, "Une saison américaine" ouvre à la Maison Européenne de la Photographie, avec les expositions d'Andres SerranoHarry CallahanDiana Michener et Family Pictures dans la Collection de la MEP, ainsi que l'exposition des archives de Pierre Molinier mais aussi de Johann Rousselot, lauréat du prix photo AFD/Polka.

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