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Jours tranquilles à Paris
9 février 2015

"JOY" - Alain Chamfort

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6 février 2015

50 Shades of Grey

5 février 2015

50 Shades of Grey

4 février 2015

50 Shades of Grey

2 février 2015

Théâtre : "La Vénus à la fourrure" - actuellement

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1 février 2015

65ème édition du Festival International de Berlin - La Berlinale

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La 65ème édition du Festival International du film de Berlin s'ouvre jeudi. L'Ours d'Or qui récompense le meilleur film sera attribué le 14 février par le jury.

Le Festival international du film de Berlin, la Berlinale, présente à partir de jeudi 23 films en sélection officielle. Parmi ceux-ci, 19 se disputeront l'Ours d'or qui sera décerné le 14 février par un jury présidé par le cinéaste américain Darren Aronofsky et dans lequel on retrouve l'actrice française Audry Tautou. Au total, 21 films de cette sélection fêteront leur première mondiale à Berlin. Les films de la sélection

« 45 Years » d'Andrew Haigh avec Charlotte Rampling, Grande-Bretagne

« Aferim » de Radu Jude, Roumanie/Bulgarie/République Tchèque

« Als wir traümen » d'Andreas Dresen, Allemagne/France

« Body » de Malgorzata Szumowska, Pologne

« Cha va con va » (Big Father, Small Father and Other Stories) de Phan Dang Di, Vietnam/France/Allemagne/Pays-Bas

« Cinderella » (« Cendrillon ») de Kenneth Branagh avec Cate Blanchett, Stellan Skarsgard et Helena Bonham Carter, Etats-Unis/Grande-Bretagne (hors compétition)

« Eisenstein in Guanajuato » de Peter Greenaway, Pays-Bas/Mexique/Belgique/Finlande

« El boton de nacar » (« Le bouton de nacre ») de Patricio Guzman, France/Chili/Espagne

« El Club » de Pablo Larrain, Chili

« Elser » d'Oliver Hirschbiegel, Allemagne (hors compétition)

« Everything Will Be Fine » de Wim Wenders, avec James Franco, Charlotte Gainsbourg, Rachel McAdams,Allemagne/Canada/France/Suède/Norvège (hors compétition)

« Ixcanul » de Jayro Bustamante, Guatemala/France (premier long-métrage)

« Journal d'une femme de chambre » de Benoit Jacquot, avec Léa Seydoux, France/Belgique

« Knight of Cups » de Terrence Malick, avec Christian Bale, Cate Blanchett et Natalie Portman, Etats-Unis

« Mr. Holmes » de Bill Condon, avec Ian McKellen et Laura Linney, Grande-Bretagne (hors compétition)

« Nadie quiere la noche » (« Personne n'attend la nuit ») d'Isabel Coixet avec Juliette Binoche, Rinko Kikuchi et Gabriel Byrne, Espagne/France/Bulgarie (film d'ouverture)

« Pod Elektricheskimi Oblakami » d'Alexei German, Russie/Ukraine/Pologne

« Queen of the Desert » de Werner Herzog, avec Nicole Kidman, James Franco, Damian Lewis et Robert Pattinson, Etats-Unis

« Taxi » de Jafar Panahi, Iran

« Ten no chasuke » (« Le Voyage de Chasuke ») de Sabu, Japon

« Vergine giurata » de Laura Bispuri, Italie/Suisse/Allemagne/Albanie/Kosovo (premier long-métrage)

« Victoria » de Sebastian Schipper, Allemagne

« Yi Bu Zhi Yao » de Jiang Wen, Chine/Etats-Unis

Projections spéciales

« Die abhandene Welt » de Margarethe von Trotta, Allemagne

« Fifty Shades of Grey » de Sam Taylor-Johnson avec Jamie Dornan et Dakota Johnson, Etats-Unis

« Love and Mercy », de Bill Pohlad avec John Cusack, Elizabeth Banks et Paul Giamatti, Etats-Unis

« Selma » d'Ava DuVernay, Etats-Unis/Grande-Bretagne

« Woman in Gold » de Simon Curtis avec Helen Mirren, Ryan Reynolds et Katie Holmes, Grande-Bretagne.

 

1 février 2015

Lulu Gainsbourg : « J'essaye de me faire un prénom »

Fils de Serge et demi-frère de Charlotte, Lulu Gainsbourg sort un deuxième disque attachant, à l'image du personnage. Rencontre avec un sentimental.

Lors de son premier concert en France, il y a cinq ans, Lulu Gainsbourg nous avait laissés sur des points de suspension. « Aujourd'hui, je vous dis que je ne veux pas chanter. Mais j'ai bien peur que... » Le fils de Serge Gainsbourg et Bambou avait raison de rester prudent.

Non content d'être à 29 ans un pianiste accompli, il fait ses débuts de compositeur et de chanteur, coproduit et cosigne les textes de son deuxième album, le savoureux « Lady Luck », à découvrir sur Leparisien.fr avant sa sortie demain. Rencontre avec un garçon timide et sensible à la voix fragile, qui tranche avec sa carrure de rugbyman et sa tignasse de hard rockeur.

Mais qui est cette « Lady Luck » ?

LULU GAINSBOURG. La lady qui est présente aujourd'hui à mes côtés me porte chance, mais j'ai eu beaucoup de peines de coeur. D'ailleurs, cet album est né d'une séparation très difficile et devait s'appeler « Trouble ». La rupture a agi comme un déclic. Je me suis mis au piano et la musique s'est mise à couler de moi. Mon père se nourrissait aussi de ses traumatismes pour créer.

Vous lui rendez hommage sur la chanson « Destiny ».

Oui, j'en ai même fait un tatouage. C'est une discussion avec lui. Il est décédé quand j'avais 5 ans, mais il est toujours là pour moi, pour me soutenir, me porter vers ma destinée. Si je joue du piano aujourd'hui, c'est grâce à lui. A l'âge de 4 ans, il m'avait offert un piano Berstein droit que j'ai toujours. Enfant, il me jouait des musiques de Disney, « Peter Pan », « les Trois Petits Cochons »... Le jour de sa mort, je me suis mis au piano et j'ai rejoué d'oreille « les Trois Petits Cochons » à ma mère. Elle m'a mis aussitôt au conservatoire.

« Moushka », c'est elle ?

Cette chanson me touche tellement que j'en ai pleuré en la jouant en studio. Ma mère est ma meilleure amie, je la mets sur un piédestal. Très discrète et protectrice avec moi, notamment vis-à-vis des médias, elle m'a toujours dit : « Ce n'est pas parce que tu as un nom que tu peux faire n'importe quoi. » Elle m'a aussi conseillé de prendre mon temps.

« Lily Rose », c'est pour la fille de Vanessa Paradis et de Johnny Depp ?

Oui. Il y a quatre ou cinq ans, j'étais chez eux quand Lily Rose est tombée malade. Pendant que Vanessa l'emmenait chez le médecin, j'ai écrit cet instrumental comme une berceuse. J'ai glissé deux instrumentaux dans le disque parce je me sens plus musicien que chanteur.

Pourquoi chantez-vous en anglais ?

Ce n'est pas ma langue première et, même si j'ai vécu six ans aux Etats-Unis (NDLR : il a étudié au Berklee College of Music), mon anglais n'est pas encore parfait. Mais j'aime les challenges et l'anglais est quand même plus simple que le français. Et puis les artistes qui m'inspirent le plus, à part mon ami Matthieu Chedid, sont Michael Jackson, U 2, Coldplay, Pink Floyd...

Allez-vous faire une tournée ?

Je l'espère. Mais ce qui est sûr, c'est que ce sera simple. J'essaye de me faire un prénom, mais je ne suis pas du genre à me mettre en avant. Et puis, je stresse assez vite, il me faut un bon shot de vodka avant de monter sur scène... Je suis un grand émotif, j'ai la sensibilité d'une fille.

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Paris (IIe), le 26 janvier. Le chanteur et musicien Lulu Gainsbourg, fils de Serge et de la chanteuse et ex-mannequin Bambou, sort « Lady Luck », son deuxième album. (LP/Frédéric Dugit.)

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31 janvier 2015

50 Shades of Grey

30 janvier 2015

"Black Book" de Paul Verhoeven

Hier soir NRJ 12 diffusait à 20h50 le magnifique Black Book, de Paul Verhoeven, avec Carice Van Houten. Habitué à diriger des actrices sublimes, véritables mantes religieuses qui sont les pierres angulaires de son cinéma, le réalisateur batave qui a élevé au rang de fantasmes ultimes et d'icônes hot des stars méconnues (à l'époque) comme Sharon Stone (avec Basic Instinct), Elizabeth Berkley (avec Showgirls), ou Denise Richards (avec Starship Troopers), n'a pas dérogé à la règle avec ce film tourné dans son pays natal en 2008, puisqu'il a dirigé la magnifique actrice néerlandaise Carice Van Houten. Après des études d'art dramatique à Amsterdam, la belle Carice voit sa carrière décoller en 1999 quand elle obtient le rôle-titre dans le téléfilm Suzy Q de Martin Koolhoven, projet le plus primé cette année-là aux Pays-Bas, elle reçoit d’ailleurs pour sa prestation le Golden Calf de la Meilleure Actrice. Cette même récompense lui sera attribuée à nouveau deux années plus tard pour son rôle de chatte qui se transforme en femme dans Undercover Kitty (énorme succès national) puis encore une fois en 2006 pour son rôle de femme juive et résistante dans la Hollande occupée dans Black Book de Paul Verhoeven, son compatriote et réalisateur de Basic Instinct et Hollow Man. Le réalisateur dira d’elle dans une interview télévisée : "Jamais, de toute ma vie, je n’ai travaillé avec une actrice aussi talentueuse". Verhoeven n’est pas le seul, la critique ne cesse de l’encenser. Surmenée et fatiguée, l’actrice se retire, en décembre 2006, d’une pièce de théâtre qu’elle était censée jouer. Mais elle revient en 2008 sur le devant de la scène avec son premier film en langue anglaise Dorothy, par la réalisatrice française Agnès Merlet. Très remarquée grâce à son rôle dans Black Book, elle est choisie, également en 2008, par le réalisateur à succès Bryan Singer pour jouer face à Tom Cruise dans le thriller politique Valkyrie. Un succès ne venant jamais seul, la même année, elle donne également la réplique à Leonardo DiCaprio dans Mensonges d'état.En 2009, Van Houten est à l’affiche de Repo Men, avec, entre autres grands noms hollywoodiens, Jude Law et Forest Whitaker. Son succès et sa popularité grandissants n’empêchent pas l’actrice de rester simple, naturelle et discrète, déclarant haut et fort détester la vie hollywoodienne à laquelle elle préfère le calme reposant de son pays natal. Si on a aussi pu la voir dans la série culte Game of Thrones, nous la retrouverons bientôt au cinéma dans le rôle de la réalisatrice Leni Riefenstahl dans Race, qui retrace le destin olympique et légendaire de Jesse Owens. Mais hier, c'était pour Black Book qu'on avait le plaisir d'évoquer cette incroyable actrice.

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30 janvier 2015

50 Shades of Grey

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