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Jours tranquilles à Paris
25 octobre 2015

Au Théâtre des Béliers hier soir

Une comédie moderne, poétique et subversive où deux soeurs opposées croisent une dizaine de personnages hauts en couleurs les orientant et désoriantant dans leur quête identitaire. Alice, romantique et hypersensible, se confie à son psychologue. Par flashback elle raconte sa vie et celle de sa soeur jumelle, qui se trouve être son exact opposé, une agent secret en jeans qui se coltine des cadavres ensanglantés et collectionne les amants. Si la vie a un sens, elles n'ont décidément pas choisi le même. Que l'on affiche un optimisme apparemment inébranlable ou que l'on voit le verre à moitié vide, la quête du bonheur reste une constante. Et avec elle, le cortège du quotidien dans lequel chacun essaye de se débrouiller... Une introspection, au final inattendu, qui a l'élégance de nous faire rire.

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25 octobre 2015

FRANCOFONIA - bientôt en salles

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25 octobre 2015

La Chute - film complet en francais

Olivier Hirschbiegel (réalisateur)

Devenu cuisinier sur un bateau après avoir interrompu sa scolarité, Oliver Hirschbiegel reprend par la suite des études, en peinture et en graphisme, à l'Académie des Arts de Hambourg, avant de s'orienter vers la photo et la vidéo. Après avoir vendu son premier scénario, qu'il adapte lui-même pour la télévision allemande ZDF en 1986, Oliver Hirschbiegel tourne de nombreux téléfilms dont plusieurs épisodes de la série Tatort. En 2001, le metteur en scène passe au long métrage avec le thriller L' Expérience. S'inspirant d'une terrifiante étude menée à la prison de Stanford en 1971, le film est récompensé dans de nombreux festivals.

Habitué depuis ce premier film à la controverse, il s'empare trois ans plus tard d'un sujet éminemment délicat en réalisant La Chute, qui s'intéresse aux dernières heures d'Adolf Hitler (campé par Bruno Ganz), terré avec ses fidèles dans son bunker berlinois. L'un des plus gros succès de l'histoire du box-office allemand, le film remporte en outre une moisson de récompenses et est cité à l'Oscar du Meilleur film étranger en 2005. Il change radicalement de registre avec Invasion (2006), remake d'un classique de la SF anxiogène des années 50 signé Don Siegel.

En 2009, il dirige Five Minutes Of Heaven qui traite du conflit irlandais et de la vie d’Alistair un membre d’un groupe paramilitaire cherchant à se faire pardonner pour ses crimes. Le long-métrage reçoit le prix de la réalisation au festival de Sundance.

Oliver Hirschbiegel connaît également un grand succès en réalisant les 4 premiers épisodes de la série Borgia initiée par Canal+ qui pulvérise les scores d'audience des séries françaises et étrangères, en réunissant plus de 1,5 million d’abonnés sur les deux premiers épisodes. En 2013, il met en scène Naomi Watts dans le rôle de la princesse Diana au sein de son biopic du même nom qui s’immisce dans la vie privée de cette dame au sort tragique. Le succès n'est par contre pas au rendez-vous.

Diffusé dans les salles en automne 2015, Elser, Un Héros ordinaire met en lumière la vie de Georg Elser, un ébéniste qui a tenté de tuer Hitler. Il s'agit de son premier film intégralement en allemand depuis plus de neuf ans et pour l'occasion, Oliver Hirschbiegel revient à la thématique du nazisme.

24 octobre 2015

Au théâtre ce soir...

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Alice, une jeune femme en robe sage, fleur dans les cheveux, romantique et hypersensible, se confie à son psychologue. Par flashback elle raconte sa vie et celle de sa sœur jumelle, qui se trouve être son exact opposé, une agent secret en jeans qui se coltine des cadavres ensanglantés et collectionne les amants. Si la vie a un sens, elles n'ont décidément pas choisi le même. Une comédie moderne, poétique et subversive où les deux sœurs vont croiser une dizaine de personnages hauts en couleurs qui vont les orienter, les désorienter parfois, dans leur quête identitaire. Que l'on affiche un optimisme apparemment inébranlable ou que l'on voit le verre à moitié vide, la quête du bonheur reste une constante. Et avec elle, le cortège du quotidien dans lequel chacun essaye de se débrouiller… Une introspection, au final inattendu, qui a l'élégance de nous faire rire.

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23 octobre 2015

Au Théâtre ce soir "Le Roi Lear"

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Nous sommes à l’aube des événements de 1929. Dans un monde encore insouciant et léger, Lear décide d’abandonner son empire et de le redistribuer entre ses trois filles. Mais le refus de Cordélia, la plus jeune, entraînera sa colère et son propre déclin. Tandis que les deux autres se déchirent pour sa fortune, l’isolant de ses amis et finissant par le jeter dehors, seul sur la lande, accompagné de son fou, il plongera de plus en plus dans la folie.

Ici, Lear est représenté sous les traits d’un grand nabab du cinéma. Quand il commencera à perdre la raison, il nous entraînera dans ses visions d’un monde transfiguré, nous racontant son histoire par le prisme déformé des fantômes et des artifices cinématographiques. Quand Cordélia reviendra, il sera trop tard. Le mot « fin » se sera irrémédiablement inscrit pour le vieux Lear.

Le Roi Lear, nouvelle mise en abîme de Jean-Luc Revol

Quand Jean-Luc Revol, metteur en scène, revisite Le Roi Lear, cela donne un casting prestigieux et talentueux dont Shakespeare pourrait se féliciter. Au côté de Michel Aumont, l’on retrouve sur scène Marianne Basler, Bruno Abraham-Kremer, Agathe Bonitzer, Anne Bouvier, Olivier Breitman, Frédérix Chevaux, Denis d’Arcangelo… sur une musique de Bernard Vallery. On plonge à corps perdu dans les années 1930, dans un classique très connu mais auquel chaque adaptation donne un nouveau relief.

Jean-Luc Revol prend le parti d’une mise en profondeur, d’un jeu de lumière qui perturbe l’œil et l’esprit. On passe de l’ombre à la pleine lumière, du noir et blanc à l’éclatante couleur. Nous sommes à la veille de la crise de 1929, juste avant que ce monde, qui se tient devant le spectateur, bascule. Lear est roi, omniprésent, omnipotent, fou à demi-mot, car la folie ne se nomme pas. Au crépuscule de sa vie, il divise son empire pour en faire profiter ses filles. Mais Cordélia n’en veut pas, et c’est là que s’amorcent la lente disgrâce et le chaos…

http://www.theatre-madeleine.com/spectacle/piece/le-roi-lear

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Roi_Lear

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22 octobre 2015

Dans les salles : Mon roi , Maïwenn revit dix ans d’histoire d’amour

Condamnée à réfléchir. Une rupture des ligaments du genou l’oblige à ranger ses skis. Elle a tout son temps pour revivre sa belle histoire d’amour avec Georgio, le propriétaire d’un resto branché qui se trouve être le père de son fils. Des flash-back répétés remontent la chronologie d’une aventure sentimentale agitée.

Coup de foudre

Ça commence sur un coup de foudre. Elle est avocate. Il n’a pas besoin de plaider sa cause longtemps. Elle se laisse emporter avec bonheur dans une relation passionnée. Elle a tout de suite la conviction qu’avec ce séducteur insaisissable, la vie amoureuse sera trouble et mouvementée. Tant pis. Il a tellement de charme. Elle a envie de tenter le coup. Au point de vouloir un enfant de lui. Et c’est là que les difficultés se succèdent dans la vie du couple. Chacun s’y reconnaîtra, peu ou prou. Il y a comme un sentiment de déjà-vu, une sensation de déjà vécu, dans un scénario qui colle, avec conviction, à la réalité sociale du moment. Maïwenn avait déjà affiché son habile sensibilité à raconter son époque dans Polisse, il y a quatre ans. Elle récidive ici, mais avec moins de force, de richesse, de créativité. Et pourtant, elle prend tout son temps, plus de deux heures, et son scénario s’éparpille dans quelques considérations inutiles ou artificielles. Par bonheur, son sens de la mise en scène est toujours là. Il redonne du rythme au récit quand la mécanique de la construction patine. Surtout il y a ses interprètes, qu’elle a l’art de choisir. Vincent Cassel se laisse aller à tous les artifices de la séduction. Charmeur et malicieux autant qu’insupportable et retors. Tout pour faire chavirer Emmanuelle Bercot. Le prix d’interprétation qu’elle a reçu à Cannes a salué sa composition bouillante et douloureuse. 2 h 10. Article de Pierre FORNEROD.

21 octobre 2015

Dans les salles aujourd'hui : ELSER , UN HÉROS ORDINAIRE

21 octobre 2015

Crazy Horse Paris - Teaser Désirs 2015

 

21 octobre 2015

Le chapeau au cinéma...

21 octobre 2015

Elser, un Héros ordinaire

Synopsis

Allemagne, 8 Novembre 1939. Adolf Hitler prononce une allocution devant les dirigeants du parti nazi dans la brasserie Bürgerbräu à Munich. Une bombe explose, mais Hitler ainsi que Joseph Goebbels, Heinrich Himmler, Martin Bormann et d’autres ont quitté les lieux quelques minutes plus tôt. L’attentat est un échec. Rattrapé à la frontière suisse alors qu’il tentait de s’enfuir, Georg Elser est arrêté puis transféré à Munich pour être interrogé. Pour les Nazis, il s’agit d’un complot et on le soupçonne d’être un pion entre les mains d’une puissance étrangère. Rien ne prédestinait Georg Elser, modeste menuisier, à commettre cet acte insensé ; mais son indignation face à la brutalité croissante du régime aura réveillé en lui un héros ordinaire…

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http://www.slate.fr/story/99981/elser-assassinat-hitler

Olivier Hirschbiegel (réalisateur)

Devenu cuisinier sur un bateau après avoir interrompu sa scolarité, Oliver Hirschbiegel reprend par la suite des études, en peinture et en graphisme, à l'Académie des Arts de Hambourg, avant de s'orienter vers la photo et la vidéo. Après avoir vendu son premier scénario, qu'il adapte lui-même pour la télévision allemande ZDF en 1986, Oliver Hirschbiegel tourne de nombreux téléfilms dont plusieurs épisodes de la série Tatort. En 2001, le metteur en scène passe au long métrage avec le thriller L' Expérience. S'inspirant d'une terrifiante étude menée à la prison de Stanford en 1971, le film est récompensé dans de nombreux festivals.

Habitué depuis ce premier film à la controverse, il s'empare trois ans plus tard d'un sujet éminemment délicat en réalisant La Chute, qui s'intéresse aux dernières heures d'Adolf Hitler (campé par Bruno Ganz), terré avec ses fidèles dans son bunker berlinois. L'un des plus gros succès de l'histoire du box-office allemand, le film remporte en outre une moisson de récompenses et est cité à l'Oscar du Meilleur film étranger en 2005. Il change radicalement de registre avec Invasion (2006), remake d'un classique de la SF anxiogène des années 50 signé Don Siegel.

En 2009, il dirige Five Minutes Of Heaven qui traite du conflit irlandais et de la vie d’Alistair un membre d’un groupe paramilitaire cherchant à se faire pardonner pour ses crimes. Le long-métrage reçoit le prix de la réalisation au festival de Sundance.

Oliver Hirschbiegel connaît également un grand succès en réalisant les 4 premiers épisodes de la série Borgia initiée par Canal+ qui pulvérise les scores d'audience des séries françaises et étrangères, en réunissant plus de 1,5 million d’abonnés sur les deux premiers épisodes. En 2013, il met en scène Naomi Watts dans le rôle de la princesse Diana au sein de son biopic du même nom qui s’immisce dans la vie privée de cette dame au sort tragique. Le succès n'est par contre pas au rendez-vous.

Diffusé dans les salles en automne 2015, Elser, Un Héros ordinaire met en lumière la vie de Georg Elser, un ébéniste qui a tenté de tuer Hitler. Il s'agit de son premier film intégralement en allemand depuis plus de neuf ans et pour l'occasion, Oliver Hirschbiegel revient à la thématique du nazisme.

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