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Jours tranquilles à Paris
19 octobre 2017

Beaux Arts - spécial FIAC 2017

beaux arts

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19 octobre 2017

Charlie Hebdo

charlie

16 octobre 2017

La une de Libération ce matin

 

Instagram post by Jacques Snap * Oct 16, 2017 at 12:24am UTC



2 Likes, 0 Comments - Jacques Snap (@jacquessnap) on Instagram

 

15 octobre 2017

Macron au "Spiegel" : "Je ne suis pas arrogant, je suis déterminé"

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Emmanuel Macron est à la une du Spiegel, samedi. Le président donne une longue interview à l'hebdomadaire allemand dans laquelle il répond aux critiques sur son style notamment.

Emmanuel Macron s'explique dans une interview fleuve à l'hebdomadaire allemand Der Spiegel. "Je ne suis pas arrogant, je suis déterminé", souligne le chef de l'Etat, interrogé à propos de sa sortie sur les "fainéants" et sur son style politique en général. "Certains aimeraient me coller une étiquette comme des chercheurs le feraient avec un papillon séché pour dire : 'Regardez, c'est le banquier qui n'aime pas les gens'", se défend le Président. "Pendant l'élection, j'ai voyagé à travers tout le pays. J'aime mon pays et les Français, poursuit Emmanuel Macron. J'aime leur parler et les convaincre. C'est mon travail de me battre pour eux. Mais je ne dois pas succomber à la démagogie et aux mensonges", poursuit-il.

Des critiques envers François Hollande

Le Président se défend également d'être "distant" vis-à-vis des Français. "Je ne suis pas distant, car j'appartiens aux Français. Je pense que le Président fait partie de son peuple puisqu'il en est l'émanation", déclare-t-il. Emmanuel Macron poursuit en adressant une critique à peine voilée du rapport aux médias que ses prédécesseurs entretenaient, et notamment François Hollande."Je mets fin à la connivence entre les politiques et les médias. Pour un président, parler constamment aux journalistes, être toujours entouré de journalistes, n'a rien à voir avec être proche du peuple. Un président doit garder les médias à distance."

Emmanuel Macron s'explique aussi sur la décision du gouvernement de réformer l'ISF. "Je ne fais pas ça pour aider les riches, assure-t-il. Mon prédécesseur a taxé les riches et ceux qui réussissent à des taux jamais égalés. Et qu'est-il arrivé? Ils sont partis. [...] Est-ce que le chômage a baissé? Non", tacle le Président. Emmanuel Macron affirme en outre qu'il ne cédera pas face à ceux qui développent selon lui des réflexes de jalousie typiquement français, car c'est "justement l'envie qui paralyse le pays". "Nous ne pouvons pas créer d'emploi sans propriétaires d'entreprises, affirme-t-il, nous ne pouvons pas créer d'emplois par décret."

14 octobre 2017

Inrockuptibles

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http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2017/10/13/35764316.html#comments

La semaine dernière..... voir ci-dessous

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Mise à jour : Tombe de Marie Trintignant - Photo prise le 15 octobre 2017

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10 octobre 2017

La une de Libération de ce matin

 

 

8 octobre 2017

La une de Libération de demain lundi 9 octobre

 

https://twitter.com/libe

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Référendum en Catalogne

Reportage - Le réveil de la « majorité silencieuse » catalane

Par Sandrine Morel, Madrid, correspondance, Feriel Alouti, Barcelone, envoyée spéciale - Le Monde

Les opposants à l’autodétermination, de tous bords politiques, doivent se retrouver dimanche à Barcelone sous le slogan « Stop, retrouvons le bon sens ».

Chacun a ses excuses pour avoir gardé le silence ces dernières années : trop de pression sociale, pas assez de cohésion entre les non-indépendantistes, pas non plus de sentiment d’urgence. Au fond, ceux qui, en Catalogne, s’opposaient à l’indépendance, ne pensaient pas que le président de la région, Carles Puigdemont, serait prêt à aller si loin : forcer l’organisation d’un référendum illégal le 1er octobre, et peut-être déclarer l’indépendance de manière unilatérale, mardi 10 octobre, comme l’ont annoncé les anticapitalistes de la Candidature d’union populaire (CUP).

La donne a changé : les petites manifestations contre l’indépendance se sont multipliées à Barcelone ces derniers jours, et dimanche 8 octobre, ceux qui sont contre l’autodétermination devaient se retrouver dans la capitale catalane, sous le slogan : « Stop, retrouvons le bon sens » à l’appel de la Société civile catalane (SCC).

Une effervescence inhabituelle règne dans les locaux de cette association anti-indépendantiste, ce 5 octobre. « Le téléphone sonne sans cesse, les dons affluent, les demandes de journalistes aussi. On va même devoir changer le parcours de la manifestation », s’enthousiasme le président Mariano Goma, un quinquagénaire au visage joufflu et au crâne dégarni.

« Pas un bloc homogène »

Ce rassemblement entend défendre « l’unité de l’Espagne, la Constitution et la loi », explique M. Goma. A la tête de la SCC depuis sa création, en 2014, il veut faire de cette mobilisation « une journée historique ». Pour cela, il espère mobiliser « la majorité silencieuse ». Autrement dit, « ceux qui restent à la maison parce qu’ils espèrent que la situation s’arrange et ceux qui ne se mobilisent pas parce qu’ils ont peur ». Mais « tout cela est fini », veut croire cet architecte.

Jusqu’à présent, les « unionistes » n’ont pas réussi à occuper la rue aussi bien que les indépendantistes. Selon Gabriel Colomé, professeur en sciences politiques à l’Université autonome de Barcelone, l’une des raisons est qu’« ils ne constituent pas un bloc homogène alors qu’ils représentent la majorité de la population catalane ». Les partis en faveur de l’indépendance ont obtenu, aux dernières élections régionales, en septembre 2015, la majorité des sièges au Parlement. Mais, avec 47,8 %, ils n’ont pas remporté la majorité des voix. « La SCC est perçue comme une société de droite conservatrice, explique le chercheur. Dès lors, quand elle convoque une manifestation, il y a peu de monde. Mais cette fois-ci, le climat est si tendu qu’il est possible que des gens de tous bords manifestent. »

Une trentaine d’intellectuels et de personnalités politiques, de droite, du centre et de gauche, sont attendus en tête de cortège. L’écrivain péruvien installé à Madrid Mario Vargas Llosa, Prix Nobel de littérature en 2010, la réalisatrice Isabel Coixet ou encore Josep Borrell, ex-président du Parlement européen, devraient prendre la parole.

Ce dernier n’a jamais été silencieux. Auteur d’un essai sur les mensonges du discours indépendantiste, M. Borrell manifestera cependant pour la première fois dans la rue : « La tension appelle la tension, l’action appelle la réaction, et le ras-le-bol est immense. » Le Parti socialiste de Catalogne (PSC), dont il est issu, a en revanche douté jusqu’au dernier moment. « En Catalogne, manifester avec le Parti populaire [PP, droite] est compliqué, reconnaît Josep Borrell, c’est un parti stigmatisé, et pas seulement par les indépendantistes. Il est considéré anticatalaniste. Au contraire, les indépendantistes n’ont pas ce genre de considération : les anticapitalistes s’allient sans complexe avec la bonne bourgeoisie libérale, si c’est pour la cause. »

Pour éviter que des militants d’extrême droite, phalangistes et néofranquistes, ne viennent perturber la manifestation comme souvent, la SCC a mobilisé un service de sécurité de 300 personnes.

Coup de massue

Dimanche, Alessandro, « à la fois espagnol et catalan », descendra dans la rue pour « la première fois ». « Pendant trop longtemps, la société catalane a eu peur de parler, même sortir avec un drapeau espagnol dans la rue est impossible », regrette cet entrepreneur de 39 ans. C’est pourquoi il veut désormais « montrer au monde entier que des Catalans aiment l’Espagne ». Craint-il que l’indépendance devienne réelle ? « Ce n’est pas une option, mais ce qui nous faisait rire hier devient sérieux aujourd’hui. » « Nous avons eu du mal à nous mobiliser jusque-là, car il existe une pression sociale très forte contre une pensée unique [l’indépendantisme] qui s’est imposée dans les médias publics locaux et l’administration », assure Marisa, infirmière. « Il est très dur de lutter contre les chimères qu’ils racontent », ajoute Fernando, maître d’école. « Nous, Catalans qui nous sentons espagnols, nous ne sortons pas de chez nous par confort, affirme Carlos Brugeros, 41 ans, analyste financier. Mais ils sont allés trop loin. »

Des grandes entreprises, jusque-là silencieuses, ont déjà délocalisé leur siège : la compagnie d’énergie Gas natural a annoncé son départ à Madrid vendredi 6 octobre, dans le sillon de la banque Caixa, partie à Valence, ou encore de la banque Sabadell, à Alicante… Un véritable coup de massue pour les indépendantistes, qui observeront sans doute la manifestation de dimanche avec attention, eux qui, depuis cinq ans, ont profité du silence de l’autre pour se présenter comme le seul représentant du poble, le peuple catalan.

Sandrine Morel et Feriel Alouti

Mariano Rajoy pourrait suspendre l’autonomie de la région Le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, n’écarte pas, dans un entretien au quotidien El Pais, dimanche 8 octobre, de suspendre l’autonomie dont jouit la Catalogne si ses dirigeants ne renoncent pas à leur menace de déclaration d’indépendance. « Je n’écarte rien », dit-il au journal qui l’interroge sur l’application de l’article 155 de la Constitution, permettant de suspendre cette autonomie. « Mais je dois faire les choses en temps voulu (…) J’aimerais que la menace de déclaration d’indépendance soit retirée le plus vite possible. L’idéal serait de ne pas devoir prendre des mesures drastiques, mais pour cela il faut des rectifications » de la part de l’exécutif catalan, précise M. Rajoy dans cet entretien.

Il assure que pour les dirigeants catalans, « il est encore temps » de faire machine arrière pour éviter le déclenchement d’une réponse musclée, réitère son refus de « discuter de l’unité du pays » et martèle que, dans tous les cas, « on ne parle pas sous la menace », alors que l’hypothèse d’une déclaration d’indépendance en différé serait l’une des options sur la table en Catalogne. Que cela soit « le lendemain » ou « assortie d’une suspension » ou « en différé », cela « n’a absolument aucune importance », rétorque M. Rajoy. « Soyons sérieux : on ne peut rien construire si la menace contre l’unité nationale ne disparaît pas », ajoute-t-il. M. Rajoy écarte les propositions de médiation et affirme que la seule négociation prioritaire doit se tenir au Parlement régional catalan, entre séparatistes et opposition.

8 octobre 2017

Interview

interview

7 octobre 2017

Nakid Magazine

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nakid02

7 octobre 2017

Les Inrockuptibles

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