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Jours tranquilles à Paris

27 mars 2017

Réflexion

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27 mars 2017

PRISCILLA FOLLE DU DÉSERT La plus extravagante des comédies musicales !

Adaptée du célèbre film australien du même nom, sorti en salles en 1994, prix du public à Cannes avant de recevoir l’Oscar des meilleurs costumes en 1995.

Sa Bande Son est la plus dansée de l’histoire, sur scène le défilé ininterrompu de chansons et de chorégraphies font de Priscilla la comédie musicale « FEELGOOD ! » par excellence.

C’est l’histoire tout aussi fantasque que le film, haute en couleurs, généreuse et drôle, de 3 amis qui s'apprêtent à traverser le désert Australien, de Sydney à Alice Springs, pour y présenter leur spectacle de Drag queen. Ils optent pour un bus qu'ils baptisent Priscilla pour le voyage de leur vie. Sur la route, ils ne trouvent pas que l'amour et l'amitié, mais bien plus que ce qu'ils n'auraient osé imaginer.

Un voyage rythmé par les plus grands tubes de la musique disco de tous les temps, de Tina Turner à Gloria Gaynor, d’Aretha Franklin à Earth, Wind & Fire, de Madona à Kylie Minogue , Cyndi Lauper….

Sur scène, une troupe de 30 artistes, 500 costumes excentriques, 200 perruques délirantes, un autobus totalement robotisé, une énorme production pilotée par une technique des plus complexe et sophistiquée.

Priscilla stationnera au Casino de Paris pour vous inviter à une expérience musicale hors du commun !

Priscilla est un hommage à la Liberté et à la Tolérance,

Un seul mot d’ordre ‘’I WILL SURVIVE’’.

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27 mars 2017

Bellisima ! - vu sur internet

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27 mars 2017

La verdure envahit le Grand Palais

Par Florence Evin

Le musée parisien propose un parcours enchanteur jalonné de quelque trois cents œuvres sur le thème du jardin.

L’exposition « Jardins », au Grand Palais, à Paris, ne propose pas une promenade odorante entre des parterres fleuris. Elle met en scène un conservatoire éphémère, plongé dans la pénombre en raison de la fragilité des documents, où œuvres d’art et science dialoguent dans un parcours conçu pour surprendre le visiteur, l’éblouir ou le terrifier. Jusqu’à le perdre dans un labyrinthe où il va de merveille en merveille, découvrant comment l’homme a su préserver le plus simple comme le plus complexe des spécimens de la nature pour l’étudier, le contempler, voire l’imiter, afin de se l’approprier.

La première salle nous invite au cheminement, cette phrase d’Aragon en tête : « Tout le bizarre de l’homme, et ce qu’il y a en lui de vagabond, et d’égaré, sans doute pourrait-il tenir dans ces deux syllabes : jardin. » Ces mots surplombent une fresque restaurée venue de la Maison du bracelet d’or (30-35 après J.-C.) à Pompéi (Italie). Avec ses masques de théâtre suspendus comme des plantes vertes, sa fontaine dont on croit entendre la musique et les Ménades allongées pour un culte dionysiaque dans un fouillis de palmes, on se dit que le poète n’est pas loin.

A côté, figure un petit dessin à la plume et à l’encre bistre aquarellée d’Albrecht Dürer (1471-1528), La Madone des animaux, prêté par l’Albertina de Vienne, et un bouquet de violettes si parfait qu’on se penche pour en humer le parfum. Leur fait face l’immense composition graphique de Giuseppe Penone, « frottage » de feuilles d’automne, dont les stries occupent tout l’espace, baptisé Vert de la forêt avec chemise, pour la délicate combinaison d’un autre temps accrochée au tableau comme elle le serait à un arbre, alors que la belle se rafraîchit à la rivière.

Parcours dense en sensations

D’entrée, tout est là de la démarche du commissaire Laurent Le Bon (président du Musée Picasso à Paris). Sa manière si particulière de mélanger les arts et les époques, comme il l’a fait, en 2010, pour l’exposition inaugurale « Chefs-d’œuvre », du Centre Pompidou Metz, dont il était directeur. Au Grand Palais, ses jardins jettent des passerelles entre artifice et réalité, dans un dialogue qui va de la Renaissance à nos jours – exception faite de Pompéi.

Le parcours est scandé de phrases-clés. « Pour faire un jardin, il faut un morceau de terre et l’éternité », a écrit Gilles Clément. Ce propos est illustré par l’installation de Koichi Kurita pour l’exposition « Terre Loire » au château de Chambord en 2016. Le Japonais a suivi le fleuve, de sa source à la mer, pour prélever sur ses berges 400 poignées de terre. Humus qu’il a tamisé et disposé, dans la chronologie de son déplacement, en autant de petits carrés sur du papier de riz. Sobre diagramme invitant à la méditation. Après la terre, le ciel, la course des nuages : deux études de John Constable (vers 1821) venues de New Haven (Etats-Unis) ; et un film de 1929, La Croissance des végétaux, de la collection Albert Kahn, font la transition avec l’approche scientifique du propos.

Ainsi va le parcours, dense en émotions et en sensations, qui croise les regards et les époques. Viennent les raretés historiques, disposées dans une enfilade de cabinets de curiosités, pour affirmer, comme Michel Foucault : « Le jardin, c’est la plus petite parcelle du monde, et puis c’est la totalité du monde. » Marc Jeanson, responsable de l’Herbier du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), commissaire associé de l’exposition avec Colline Zellal, a apporté ses trésors. Il a choisi les plus belles planches provenant du « moussier » de Jean-Jacques Rousseau (1769-1770), de celui des poilus, ou celles des pèlerins de Jérusalem. Il y a ajouté des vélins, délicats parchemins de veau peints à la gouache par Nicolas Robert, les fleurs en majesté avec leurs spécificités botaniques.

Ainsi cohabitent l’authentique et l’artifice : les grandes cires, citrons et courges, prêtées par le Musée d’histoire naturelle de Florence (Italie) et le MNHN, les fleurs en verre de Léopold et Rudolf Blaschka, des trésors de l’université Harvard (Etats-Unis). Il y a là encore un bouquet en porcelaine de Sèvres, des couronnes funéraires en perles venues du MuCem à Marseille, ou une fragile composition florale en papier mâché, face aux subtiles photographies d’algues d’Anna Atkins, auteure d’une traduction anglaise de L’Histoire des mollusques, de Jean-Baptiste de Lamarck, dont elle a exécuté les gravures.

Pari gagné

Ce florilège est enrichi par les tirages noir et blanc des arabesques épurées de cucurbitacées signées Karl Blossfeldt, en 1928, l’un des pionniers, à Berlin, du mouvement de la Nouvelle Objectivité en photographie. Lequel situe les fondements de l’art dans les formes produites par le vivant. Tandis que les plaques au gélatino-bromure d’August Sander (vers 1930), comme l’étrange Essai sur une physionomie des plantes, figurant une empreinte de feuillage imprimée au naturel, tel un négatif, tirage anonyme en noir daté de 1786, montrent la diversité des démarches.

Après avoir interrogé le monde végétal, l’homme l’organise à sa main. Les grands plans méticuleux d’André Le Nôtre le disent sans détour, imaginant, à Versailles, les parterres de broderies pour Louis XIV, et dans la France entière à la demande de la cour du Roi-Soleil. Puis, le jardinier intervient, avec une panoplie d’outils détonnants. Enfin, l’exposition déroule un tapis de verdure picturale avec un très large panorama de la production des artistes, au fil des décennies. Ils sont tous là, une centaine au total, de Bruegel à Robert, Monet, Bonnard, Morisot, Caillebotte, Klimt, Richter, Cézanne, Redon, Dubuffet, Magritte, Giacometti ou encore Picasso.

« Cela fait trente ans que je m’intéresse au jardin, une œuvre vivante et contradictoire avec l’espace muséal, dit Laurent Le Bon. Si on pouvait contredire cette contradiction… J’ai voulu me tenir là, entre l’intérieur et l’extérieur. » Pari gagné, avec brio. Tous azimuts, les expériences fascinent et passionnent. « Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu’il vous faut », assurait Cicéron. L’homme interroge sans fin les mystères de la nature. Cette quête résonne dans l’œuvre omniprésente des artistes contemporains qui jalonnent le parcours. Jusqu’à cette fleur postnucléaire, Symbiose (1972), de Tetsumi Kudo, qui glace les sangs. Que restera-t-il de cette folle course de l’homme ? Deux minuscules pyramides de pollen de fleur de châtaignier, répond, en 2015, Wolfgang Laib.

Grand Palais, Galeries nationales, square Jean-Perrin, Paris 8e, jusqu’au 24 juillet. Tous les jours, de 10 à 20 h, sauf le mardi. Les mercredis, vendredis et samedis jusqu’à 22 h. Entrée de 9 à 13 euros. Grandpalais.fr

27 mars 2017

Bondage is not a crime

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26 mars 2017

Extrait d'un shooting

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26 mars 2017

Obsession ce soir sur ARTE - de Brian de Palma

Genre : Film - Suspense  Année : 1976

Avec : Cliff Robertson, Geneviève Bujold, John Lithgow, Sylvia Kuumba Williams, Wanda Blackman, Patrick Mc Namara...

Résumé de Obsession

1959, La Nouvelle-Orléans. Le riche homme d'affaires Michael Courtland vit heureux avec sa femme Elisabeth et sa fille Amy. Brutalement, sa vie bascule du rêve au cauchemar : elles sont kidnappées en échange d'une rançon de 500 000 dollars. Courtland met tout en oeuvre pour les retrouver. En vain, puisque le plan mis en place par la police échoue. Elisabeth et Amy connaissent une mort atroce... Seize ans plus tard, Courtland est rattrapé par son destin. Lors d'un voyage d'affaires à Florence avec son associé Robert Lassalle, il retourne dans l'église où il rencontra jadis Elisabeth. Là, il tombe sous le charme de Sandra, jeune étudiante en histoire de l'art

26 mars 2017

Photos : Patrick Demarchelier

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26 mars 2017

Pour le Sidaction, tous au Moulin Rouge... (hier soir sur France 2)

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Pour le 23e lancement de l’opération Sidaction, la chaîne France 2 a diffusé hier soir une émission spéciale intitulée «Tous au Moulin-Rouge pour le Sidaction». Pour l’occasion, plus de 200 artistes et danseurs ont repris des chansons de bals populaires, sous l’œil de Line Renaud, la vice-présidente de l’association qui lutte contre la maladie du sida. Parmi les invités de marque : l’animateur et comédien Laurent Ournac, le chanteur Roch Voisine, l’humoriste Muriel Robin ou la chanteuse Alizée. Shy’m, la sublime chanteuse de 31 ans, était l'une des stars de la soirée.

Ci-dessous la prestation de SHY'M au Moulin Rouge

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Revoir le spectacle du Moulin Rouge pour le Sidaction

Pour faire un don cliquez ICI

26 mars 2017

Ellen von Unwerth

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