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Jours tranquilles à Paris

25 mars 2017

Exposition Newton à Nice - Musée de la Photographie Charles Nègre , place Pierre Gautier.

De père juif allemand et de mère américaine, le jeune Helmut suit ses études au lycée Werner von Trotschke de Berlin, puis à l'École américaine de Berlin. Il s'intéresse très tôt à la photographie et, dès 1936, devient l'élève de la photographe allemande Else Simon, dite « Yva », à qui il doit son style de photographie. Il quitte l'Allemagne nazie en 1938. Après avoir travaillé pendant un temps à Singapour, il émigre en Australie. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il rejoint l'armée australienne où il est affecté à la logistique.

En 1948, il épouse l'actrice australienne June Brunell. Après la guerre, il travaille comme photographe en indépendant, en réalisant des photos de mode ainsi que des travaux pour le magazine Playboy. À la fin des années 1950, il se concentre davantage sur les clichés de mode. Il s'installe à Paris en 1961 et devient un photographe de mode très productif. Ses travaux apparaissent dans de nombreux magazines, en particulier dans Vogue. Son style, parfois d'une subjectivité sensuelle, est marqué par l'érotisme, par des scènes stylisées et, souvent, par une violence sous-jacente. À partir de 1970, sa femme June se lance aussi dans la photographie, sous le nom d'Alice Springs.

Cette exposition, conçue spécialement pour le Musée de la Photographie, a été réalisée en collaboration avec la Fondation Helmut Newton à Berlin. La Ville de Nice tient à remercier son Directeur, Monsieur Mathias Harder, qui a permis de montrer pour la première fois à Nice cet ensemble d’images devenues iconiques, ainsi que Madame June Newton, pour le soutien et l’aide apportés durant ces derniers mois.

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25 mars 2017

Extrait d'un shooting

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25 mars 2017

Exposition

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25 mars 2017

Quiberon

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25 mars 2017

Sur les grilles du Jardin du Luxembourg

Le Jardin du Luxembourg nous ouvre les portes de jardins remarquables et accueille, sur ses grilles, une exposition de photographies conçue comme un véritable tour de France. À Paris d’abord, le Jardin du Luxembourg se dévoile sous les célèbres objectifs de Willy Ronis, Man Ray ou encore André Kertész. Puis Jean-Baptiste Leroux livre soixante photographies, qui sont autant de regards personnels sur les jardins français ayant reçu le label « Jardin remarquable ». Des sculptures végétales du manoir d’Eyrignac en Dordogne aux parterres du Domaine de Sceaux, en passant par le parc du château de Versailles, les jardins suspendus du Havre ou le jardin botanique alpin du Lautaret, la France est riche d’un patrimoine vert d’une extraordinaire qualité. Enfin, l’accrochage met en avant les trois clichés gagnants du concours organisé avec Wipplay en partenariat avec Canon et A Nous Paris. Nous découvrons avec plaisir les œuvres poétiques de talentueux photographes amateurs.

Grilles du Jardin du Luxembourg

Rue des Médicis, 75006

Accès libre

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25 mars 2017

Carine Roitfeld

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25 mars 2017

Emily Ratajkowski’s Paris Fashion Week Adventure - Supermodel ! - Vogue

25 mars 2017

Elton John - Happy Birthday to you !

Celebrating you always, @EltonJohn. Happy 70th! Wishing you the best day!

Une publication partagée par Cindy Crawford (@cindycrawford) le 25 Mars 2017 à 11h59 PDT

Sir Elton Hercules John, né Reginald Kenneth Dwight le 25 mars 1947 à Pinner, dans le Greater London, est un chanteur, pianiste et auteur-compositeur-interprète. Il a donné plus de 5 000 concerts dans plus de 100 pays.

25 mars 2017

Les rencontres de la photographie - ARLES 2017

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25 mars 2017

Un Rodin disparu depuis 130 ans aux enchères

Alors que l'on célèbre le centenaire de la mort d'Auguste Rodin par une série d'expositions, la maison Artcurial annonce la vente, le 30 mai, d'un marbre inédit redécouvert plus d'un siècle après sa création.

Dans sa stature de marbre blanc, la belle Andromède trône endormie dans l'écrin de boiseries de la maison Artcurial. Le vendredi 17 mars, Bruno Jaubert directeur du département impressionniste et moderne était là, en compagnie de Stéphane Aubert, directeur associé, et toute l'équipe de la maison du Rond-Point des Champs-Élysées, pour expliquer l'apparition sur le marché de cette pièce majeure de Rodin, 130 ans après sa création. Un événement qui tombe en pleine ouverture de l'exposition Rodin qui s'ouvre au Grand-Palais, pour célébrer le centenaire de la mort du sculpteur.

«Andromède nous attendait, expliquait Bruno Jaubert. C'est l'impression émouvante et rare que nous avons eue en redécouvrant cette œuvre majeure de Rodin conservée précieusement dans la même famille de génération en génération. Dans les années 1930, Georges Grappe, premier conservateur du musée Rodin émettait l'hypothèse qu'Andromède serait sans doute encore dans les mains de la famille Morla mais sans certitudes. Depuis on en avait perdu la trace...».

Un des plus beaux exemples de l'interprétation de ce mythe antique dans l'œuvre du sculpteur.

L'œuvre a tout pour séduire. Son sujet - «une femme nue assise sur un rocher, presque pliée en deux» selon la description du critique Gustave Geoffroy qui a vu un exemplaire de cette pièce à la galerie Georges Petit en 1886 - est caractéristique du style de Rodin dans les années 1880. Sa matière dénote par son modelé doux et sensible, sa surface lisse et luisante contrastant avec le socle encore à l'état brut, comme si Andromède semblait sortir de terre.

«Tout l'art de Rodin tient dans cet effet entre le motif fini et le «non finito du bloc dont il est issu et auquel il reste relié» souligne Serge Lemoine, ancien directeur du musée d'Orsay aujourd'hui conseiller d'Artcurial. Et son histoire lui donne une provenance rêvée irréprochable.

En 1888, en poste à Paris, le diplomate chilien, Carlos Lynch de Morla demande à son ami Rodin de réaliser le portrait de sa jeune épouse, Luisa. Le sculpteur immortalise sa beauté dans le marbre. Ce buste est alors exposé la même année au Salon national des Beaux-Arts. Celui-ci connaît un tel succès que l'État français souhaite l'acquérir pour le faire entrer dans les collections du musée du Luxembourg. Longtemps connu sous le nom de «Madame Vicunha» ou «la charmeuse», Il est aujourd'hui conservé au musée d'Orsay.

En ami des arts et de la France, le Chilien accepte. En échange, Rodin lui offre le marbre d'Andromède, un des plus beaux exemples de l'interprétation de ce mythe antique dans l'œuvre du sculpteur. On connaît trois des cinq autres exemplaires dans des institutions publiques. Le premier, propriété de Roger Marx est au musée de Philadelphie. Le deuxième commandé par Maurice Fenaille est au musée Rodin. Le troisième provenant de l'ancienne collection Jacques Zoubaloff est au musée national de Buenos-Aires. Le quatrième fait partie de la collection Gabriel Hanotaux. Il a été vendu aux enchères en 2006, à New York, pour 3 millions de dollars.

Le marbre vendu par Artcurial le 30 mai prochain affiche une estimation de 800.000 à 1,2 million d'euros. Compte tenu de l'engouement pour l'œuvre de Rodin, sous les feux des projecteurs avec les expositions le célébrant, les enchères pourraient flamber...

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