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Jours tranquilles à Paris

18 février 2017

LAB 14 - Boulevard Montparnasse - derniers jours

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LAB 14 140 boulevard Montparnasse 75014 Paris ACCÈS metro4 : Vavin Bus 91 : Arrêt Campagne première Gare Montparnasse OUVERTURE AU PUBLIC JUSQU'AU 26/02/2017 Horaires : Du Mercredi au Dimanche de 13h à 20h Fermeture billetterie 19h30 du mercredi au dimanche Nocturne jeudi et samedi 22h FERMETURE LE LUNDI ET MARDI Visites guidées : Sans inscriptions, se présenter à l’accueil 5-10 min avant. Tarif unique : 2 € Possibilité de grignoter sur place. Performances, concerts, apéro mix, table ronde, librairie, espace jeux, goodies… ARTANA EVENT Hanna Ouaziz 06.30.79.79.09 contact@artana-event.com

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18 février 2017

C'était au Cent Quatre

18 février 2017

Etel - Morbihan

18 février 2017

Festival de Cannes. Les anti-corridas contestent la présidence d'Almodovar

Une pétition relayée par des associations anti-corridas, et qui a recueilli plus de 22.000 signatures, demande au président du festival de Cannes, Pierre Lescure, de « renoncer » à attribuer la présidence du jury 2017 au cinéaste espagnol, Pedro Almodovar (ci-dessus), présenté comme un « multirécidiviste aficionado, non repenti ». « Un grand festival de cinéma, tel que Cannes, mérite mieux que cette banalisation de l'horreur dont Almodovar est le symbole », est-il écrit dans la pétition.

18 février 2017

Actuellement à la Concorde Art Gallery

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18 février 2017

Mademoiselle A

18 février 2017

Vu sur instagram - j'aime beaucoup

18 février 2017

Ce qu’il faut retenir de la conférence de presse improvisée de Donald Trump

Pendant près d’une heure et demie, le républicain a défendu avec virulence son début de mandat agité et s’est lancé dans de longues tirades antimédias.

L’événement n’était pas prévu… et il a pris un ton aussi inédit que décousu. Le président des Etats-Unis Donald Trump, qui doit faire face à un début de mandat compliqué, a tenu, jeudi 16 février, une conférence de presse à la Maison Blanche. Pendant près d’une heure et demie, il a défendu avec virulence les premières semaines de son administration et s’est lancé dans de longues attaques contre les médias. « Je suis ici une nouvelle fois pour faire passer mon message directement au peuple » américain, a-t-il fait valoir.

Nomination d’un nouveau secrétaire au travail

Donald Trump a profité de l’occasion pour annoncer la nomination d’Alexander Acosta au poste de secrétaire au travail. Ce choix intervient au lendemain du retrait de son précédent candidat, Andrew Puzder. Le patron de la chaîne de restauration rapide CKE a jeté l’éponge, mercredi, face à la quasi-certitude qu’il n’obtiendrait pas la confirmation du Sénat.

Actuellement doyen de la faculté de droit du Florida International University College à Miami, M. Acosta est considéré par ses pairs comme un homme pondéré et prudent dans ses prises de position. Il préside aussi le Conseil d’administration d’US Century Bank. S’il est confirmé par les élus de la chambre haute, il sera le premier Hispanique de l’administration Trump.

« Un niveau de malhonnêteté hors de contrôle » des médias

Au cours de son point presse, le chef d’Etat américain s’est lancé dans une violente diatribe contre les médias d’information traditionnels qu’il accuse d’être « le parti de l’opposition » et de propager de « fausses informations ». A plusieurs reprises, il a interrompu les journalistes lui posant des questions, avant de critiquer le New York Times, la BBC ou encore CNN, l’une de ses cibles favorites.

« La presse est devenue si malhonnête que, si nous n’en parlons pas, cela dessert énormément le peuple américain. Le niveau de malhonnêteté [des médias] est hors de contrôle. »

Il a en outre assuré que « beaucoup de journalistes de [son] pays ne diront pas la vérité ». Il a poursuivi en estimant que les organes de presse des grandes villes – « Washington, New York et Los Angeles » – « ne parlent pas pour le peuple mais pour les intérêts particuliers et pour ceux qui profitent d’un système cassé de manière très, très évidente ».

Sur la Russie : « de fausses informations fabriquées pour compenser la défaite des démocrates »

M. Trump a formellement démenti les informations sur des contacts répétés pendant la campagne entre son équipe et le renseignement russe : « Vous pouvez dire ce que vous voulez sur la Russie, ce sont de fausses informations fabriquées pour compenser la défaite des démocrates, et la presse joue le jeu. » Il a précisé avoir rencontré certains de ses proches « qui seraient prétendument impliqués dans tout ça » : « Ils ne savent rien. »

Evoquant son conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, qui a démissionné lundi pour avoir évoqué les sanctions contre Moscou dans des discussions avec l’ambassadeur à Washington, fin décembre, le magnat de l’immobilier a assuré que l’intéressé « faisait juste son travail ».

« La seule chose, c’est qu’il ne l’a pas dit convenablement à notre vice-président et qu’ensuite il ne s’en est pas souvenu. »

Quant à son ex-directeur de campagne, Paul Manafort, qui avait démissionné onze semaines avant le scrutin du 8 novembre après des révélations selon lesquelles il aurait été payé par le gouvernement ukrainien prorusse de Viktor Ianoukovitch : il « représentait » Kiev – non la Russie –, mais « tout le monde le savait ».

« Quant à moi, je ne possède rien en Russie. Je n’ai pas de prêts en Russie. Je n’ai aucun accord en Russie. Je n’ai rien à voir avec la Russie », a-t-il insisté.

Des « fuites criminelles » qui vont cesser avec la nouvelle équipe en place

Le milliardaire a d’autre part demandé au ministère de la justice de se pencher sur « les fuites criminelles » qui ont conduit à la démission de M. Flynn. « Les fuites sont réelles, mais les informations sont fausses », a martelé M. Trump. Et de lancer :

« [Elles] sont le fait d’employés des agences [de renseignement]et je pense que vous verrez que cela va cesser parce que maintenant notre équipe est en place. »

Il s’est également plaint de fuites concernant ses appels avec les dirigeants du Mexique et de l’Australie sur des appareils sécurisés.

Une administration « bien réglée » qui a hérité d’une « situation chaotique »

« J’ai hérité d’une situation chaotique » aux Etats-Unis comme à l’étranger, s’est justifié M. Trump, balayant les accusations de désordreau sein de son administration qu’il décrit « comme une machine bien réglée ». Le locataire de la Maison Blanche a dressé un bilan accablant du double mandat de son prédécesseur, Barack Obama. « C’est la pagaille », a-t-il déclaré au cours d’une longue tirade, citant les emplois qui « fuient [le] pays », à « Mexico et ailleurs » et le « désastre »au Moyen-Orient.

Décret anti-immigration et Obamacare au programme

M. Trump est également revenu sur son décret anti-immigration du 27 janvier, actuellement bloqué par des magistrats fédéraux. Plutôt que de contester la suspension de la première mouture, il a annoncé pour la semaine prochaine un second texte « très complet, pour protéger le pays ». Le ministère de la justice a par ailleurs demandé à la cour d’appel de San Francisco l’abandon de la procédure en cours.

Enfin, la réforme de la loi sur l’assurance-santé, à laquelle M. Obama a donné son nom, doit être présentée dans la première quinzaine de mars. « Nous nous occupons de l’Obamacare. Nous en sommes aux derniers stades. Nous la présenterons donc début ou mi-mars », a-t-il déclaré. L’abrogation de l’Affordable Care Act, réforme phare du démocrate, était l’un des principaux arguments de la campagne du républicain..

Une publication partagée par A Draz (@draz_7717) le 16 Févr. 2017 à 16h50 PST

18 février 2017

Monica Bellucci

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18 février 2017

Au Café de Flore

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