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Jours tranquilles à Paris

18 février 2017

Hommes

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18 février 2017

Le photographe d’Obama nargue Trump sur les réseaux sociaux

Par Stéphanie Le Bars

Pete Souza, qui a suivi l’ex-dirigeant américain huit ans durant, poste sur Instagram des images de la (belle) vie présidentielle d’avant. Jetant une lumière encore plus crue sur les manques de la nouvelle administration…

L’aventure a débuté le 20 janvier. Le jour où celle de Barack Obama s’achevait à la Maison Blanche. D’une photo et d’un message postés sur Instagram, le photographe Pete Souza semblait fermer une page d’histoire. Sur l’image plongeante du bureau Ovale, la fine silhouette du président américain, presque indiscernable, s’éclipsait par l’une des portes vitrées. Après huit années de prises de vue quotidiennes, le photographe officiel de M. Obama annonçait sur son nouveau compte personnel qu’il allait désormais « dormir, faire ce que sa femme lui demanderait, aller à la gym, regarder des films, lire des livres et boire du vin… » Il espérait aussi que ceux qui l’avaient suivi durant les deux mandats du président démocrate sauraient lui être fidèles.

Un million d’abonnés, des milliers de commentaires

Moins d’un mois plus tard, il est comblé. Plus d’un million de personnes se sont abonnées à son compte, @petesouza, et abreuvent de milliers de commentaires les 90 photographies qu’il y a postées. L’engouement a pris en quelques jours des allures de phénomène politique. Car les clichés que Pete Souza a choisi d’extraire de son catalogue de plus de deux millions d’images ne sont pas seulement le témoignage un brin nostalgique d’un monde à jamais disparu et déjà ancien (presque un mois !). Certains ont sans conteste valeur de message.

On y voit, certes, l’ex-président sous son meilleur jour, partageant un moment de tendresse avec l’une de ses filles, surfant dans les vagues à Hawaï, cajolant des enfants à la Maison Blanche ou au beau milieu d’une foule. Bo, le chien des Obama, y figure aussi en bonne place. « J’avoue. Bo me manque », glisse le photographe en légende d’une photo du chien jouant dans la neige. Cette image « aimée » par 72 310 personnes et agrémentée de plus de mille commentaires a été l’occasion pour ces followers d’adresser de chaleureux messages d’affection à la famille Obama et à l’ancien président qui « leur manquent déjà terriblement ».

« Je l’admets, Bo me manque », avoue Pete Souza, parlant du chien des Obama. « Je ressens la même chose que tous ceux qui ont posté des commentaires (…), répond un internaute. Cela accentue le fait  que [les Obama] me manquent terriblement. Le monde est si différent aujourd’hui ». | Capture d'écran Instagram

« Je l’admets, Bo me manque », avoue Pete Souza, parlant du chien des Obama. « Je ressens la même chose que tous ceux qui ont posté des commentaires (…), répond un internaute. Cela accentue le fait  que [les Obama] me manquent terriblement. Le monde est si différent aujourd’hui ». | Capture d'écran Instagram

Dans le climat anti-Trump qui s’est emparé d’une partie de la société américaine, Pete Souza utilise cette tribune pour commenter de manière explicite ou subliminale les faits et gestes du successeur de M. Obama. Ainsi de cette photographie publiée le 29 janvier, deux jours après la signature par Donald Trump d’un décret interdisant l’entrée des États-Unis aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane. L’image montre un Barack Obama souriant et attentif, accroupi devant une jeune réfugiée voilée, rencontrée lors d’une visite dans une école malaisienne en 2015.

Comme un vade-mecum sur les subtilités de la diplomatie adressé à l’actuel président, Pete Souza prend aussi visiblement un malin plaisir à rappeler les bonnes manières de son ancien patron. Le 2 février, la livraison du jour montre le président démocrate, hilare, s’esclaffer en compagnie des premiers ministres australien et néo-zélandais. La veille, les échos d’une conversation anormalement houleuse entre Donald Trump et l’Australien Malcom Turnbull étaient étalés dans la presse, confirmant les approches rugueuses du nouveau président. Dans la même veine, Pete Souza a republié l’image de M. Obama partageant une tequila avec le président mexicain, Enrique Peña Nieto, au cœur du premier incident diplomatique notable entre les États-Unis et le Mexique.

Chaque jour ou presque donne au photographe, démocrate assumé, de la matière pour vanter la politique ou l’élégance de l’ancien chef d’Etat. M. Trump apparaît-il entouré d’hommes blancs et grisonnants ? Pete Souza remet au goût du jour la photo d’une séance de travail du président Obama, cadrée sur les jambes des protagonistes, dont trois femmes… Le président républicain se plaint-il d’une décision de justice défavorable à son décret anti-immigration ? Aussitôt apparaît une vue sur un tapis de la Maison Blanche où figurent les mots « justice et gouvernement ». Le nouveau président revient-il en boucle sur « le nombre de personnes » qui l’ont acclamé lors de son investiture ? Obama réapparaît sur Instagram au cœur de foules compactes et enthousiastes.

Pete Souza ne s’est toujours pas exprimé sur le rôle qu’il assigne à ses publications quotidiennes. Mais en quelques images, il s’est imposé comme un commentateur de la vie politique. Et a offert aux Américains orphelins d’Obama un lieu d’expression pour une forme de catharsis collective. « Est-ce qu’on pourrait le faire revenir SVP ? »,demande une femme dans un des messages

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https://www.instagram.com/petesouza/

18 février 2017

Gigid Hadid

18 février 2017

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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Enlacement

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18 février 2017

Galerie Agnès B - vu hier soir

« Cette exposition explore les triomphes hédonistes de ceux qui se reconnaissent comme victorieux dans le miroir du cours de l’histoire. Leur accession au plaisir dépend de leur projection de douleur sur le vaincu, ou l’expression courante du plaisir que l’on tire du malheur des autres. Alors que les vainqueurs font étalage de leur arrogance et remportent leurs trophées, les perdants sont considérés comme insignifiants et marginalisés. L’exposition VICTORY raconte la victoire d’un homme sur un autre, à quoi ressemble cette victoire, et les effets qu’elle exerce sur les perdants ».

Cleon Peterson

« Il n’existe pas de témoignage de civilisation qui ne soit pas en même temps un témoignage de barbarie ».

Walter Benjamin

Pour sa première exposition personnelle en France, Cleon Peterson présente à la galerie du jour agnès b. l’exposition VICTORY. Cette nouvelle série de toiles, oeuvres sur bois et sculptures inédites plongent le visiteur dans l’univers oppressant de l’artiste, « ce monde noir que chacun de nous porte en soi ». Le travail de Cleon Peterson souligne une nouvelle réalité, celle d’un monde où l’humanité et ses valeurs sont malmenées par le chaos et l’idéologie guerrière. Compassion et empathie paraissent être de lointains souvenirs dans une société où l’idée de l’autre comme étranger s’installe. Au centre de cette machine destructrice se cacherait une impulsion moteur, celle d’imposer au monde un seul et même idéal. Chorégraphie en noir et blanc du corps dans l’affrontement, cauchemar, violence physique et mentale : Cleon Peterson n’offre aucun échappatoire dans un monde en crise et délitement.

Né en 1973, Cleon Peterson grandit à Seattle. Gravement asthmatique, il se plonge dans le dessin lors de ses longues hospitalisations puis traine dans la rue avec son frère, le photographe Leigh Ledare. Enfants terribles, ils sont surnommés « Les Rats de l’Avenue ». Dans les années 90, une jeunesse mouvementée passée entre N.Y.C et la Côte Ouest en a fait le témoin du désordre humain qu’il dépeint aujourd’hui, un fantasme graphique épuré poussant au paroxysme la tension qui se joue au quotidien dans les territoires de pauvreté et de violence urbaine. « Je peins une réalité que tout le monde n’a pas forcément vécue mais qui existe, qui fait partie de notre monde. Il y a un genre de vie primaire qui va de pair avec cette misère ».

Il obtient sa première exposition personnelle à Los Angeles en 2009 et ne cesse de multiplier les projets depuis. Après la réalisation d’une fresque de 50 mètres au Palais de Tokyo en 2014, c’est pour le parcours de Nuit Blanche 2016 qu’il est invité par Jean de Loisy à réaliser une peinture monumentale de 700m2 sur le parvis de la Tour Eiffel..

À l’occasion de cette exposition, une sérigraphie signée et numérotée sera éditée en 100 exemplaires, disponible exclusivement à la galerie du jour agnès b.

http://www.galeriedujour.com/expositions/0301_cleon/cp_fr.pdf

http://www.galeriedujour.com/expositions/0301_cleon/index.html

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18 février 2017

"Mon Gainsbourg à moi" - Mademoiselle A - Théâtre Trévise (save the date)

18 février 2017

THE ROOM – CAMILA CORNELSEN {EXCLUSIVE EDITORIAL}

Camila Cornelsen, is an artist from Brazil and she submitted her latest  photo series she shot with Gisah.

"I'm always in between cinematography, photography, music, art, and cinema."

See more of  Camila's work here : WEBSITE / INSTAGRAM

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18 février 2017

Descente de ski....

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18 février 2017

Vu sur instagram

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