Donald Trump
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— Tom Hall ☘ (@TomHall) 16 février 2017
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Emmanuel Macron
• Emmanuel Macron qualifie la colonisation de «crime contre l’humanité». Aussitôt, la droite et le FN lui tombent dessus à bras raccourcis pour dénoncer «cette détestation de notre histoire», «cette repentance permanente». En fait, Macron ajoute dans le même entretien en Algérie : «Mais en même temps, je ne veux pas qu’on tombe, tout en reconnaissant ce crime, dans la culture de la culpabilisation sur laquelle on ne construit rien.» De l’art difficile de la synthèse… Pour qui considère d’un œil froid l’histoire algérienne, difficile de ne pas qualifier de «crime contre l’humanité» les «enfumades» commandées par le général Cavaignac ou le général Bugeaud lors de la conquête, et qui consistaient à asphyxier avec de grands feux de bois des centaines – voire des milliers –d’autochtones, hommes femmes et enfants, réfugiés dans des grottes. De même, la féroce répression qui a suivi les émeutes de Sétif en 1945, totalement disproportionnée, avait pour objet de répandre une terreur punitive et dissuasive sur la population civile algérienne, qu’elle ait ou non participé aux troubles du 8 mai. Longtemps occultées, les horreurs de la «pacification» coloniale glacent rétrospectivement le sang. Ce qui n’implique pas qu’on absolve les méthodes cruelles employées par le FLN contre les civils français, contre les harkis, ou contre les sympathisants du MNA, l’autre branche du nationalisme algérien.
« C'était le rêve de Donald, pas celui de Melania »
Melania Trump « déprimée », elle vit très mal son rôle de Première dame
Bien à l’abri derrière les murs de la Trump Tower, Melania Trump tente de s’habituer à son nouveau rôle de First Lady, mais elle aurait préféré mener une autre vie.
Depuis que son époux est officiellement devenu président des États-Unis, les ennuis de Melania Trump vont croissant. Le top model jusqu’ici habitué au monde consensuel de la mode fait désormais face à des difficultés dont elle n’avait même pas idée. Des mannequins comme Gigi Hadid se moquent d’elle sur scène, des créateurs de mode comme Tom Ford refusent de lui fournir des vêtements pour ses apparitions officielles et son nouveau statut lui a fait rater des millions de dollars en contrats juteux.
Contrairement à la tradition qui veut que la First Lady occupe la Maison-Blanche avec son époux, Melania Trump a en outre décidé de rester à New York jusqu’à la fin de l’année scolaire, au motif qu’elle ne veut pas bousculer outre mesure le quotidien de Barron, le garçon de 10 ans qu’elle a eu avec Donald Trump. Loin de Washington, elle doit faire face aux critiques depuis la Trump Tower, ce qui lui a valu d’être dépeinte comme la « princesse Raiponce prise au piège » dans sa tour par l’humoriste et animateur Jimmy Kimmel.
Autant d’épreuves et de critiques qui rendent très difficile ses premiers pas de First Lady. Pour le styliste Phillip Bloch, un proche de la famille Trump, Melania rame à fond les ballons, comme on dit : « Cette vie-là, ce n’était pas son rêve, c’était celui de Donald », a-t-il expliqué au magazine Us Weekly. D’après la publication, elle était « horrifiée » de découvrir à quel point tout le monde se moquait d’elle, et démoralisée quand elle a appris que le monde de la mode lui tournait désormais le dos. Elle serait « malheureuse du tournant que prend sa vie » et totalement « déprimée ». Ce qui expliquerait pourquoi elle apparaît si rarement en public, alors que Michelle Obama avait accueilli des citoyens à la Maison-Blanche dès la première semaine, et organisé une fête pour rencontrer le personnel de l’institution.
Un proche de la famille a assuré à Us Weekly que même son fils Barron ne parvient pas à faire sortir Melania Trump de leur appartement. Elle l’accompagnait elle-même à l’école – dans une voiture avec chauffeur, hein – mais depuis que des manifestants protestent devant la Trump Tower, elle a laissé cette tâche aux services secrets. Quand elle quitte le bâtiment, c’est qu’on lui a (un peu) forcé la main. Des apparitions officielles où elle est attendue auprès de Donald Trump, par exemple. Mais quand il a été question d’accueillir à Washington Akie Abe, l’épouse du Premier ministre japonais, Melania Trump était aux abonnées absentes. La dignitaire nippone n’en était pas à sa première visite aux États-Unis, mais elle avait pu compter sur Laura Bush puis Michelle Obama pour l’accompagner autrefois.
L’épouse de Donald Trump n’a montré son minois que lorsque le président américain s’est rendu avec ses hôtes en Floride. Là, Melania Trump a affiché un sourire éclatant devant les photographes, mais une source d’Us Weekly est persuadée qu’elle a « détesté » chaque seconde de cet événement. Du côté de la First Lady, on assure « qu’elle est très heureuse et qu’elle apporte tout son soutien à son époux et à sa famille ». Oui, mais si possible, de loin, depuis sa chambre dans sa tour.
Accusé de viol, Roman Polanski veut retourner aux Etats-Unis pour clore l'affaire, annonce son avocat
L'avocat de Roman Polanski a annoncé, jeudi 16 février, que le cinéaste souhaitait retourner aux Etats-Unis pour clore l'affaire de viol dans laquelle il est poursuivi. Harland Braun a précisé que le réalisateur avait posé une condition : avoir la garantie qu'il ne serait pas incarcéré une fois là-bas. Le réalisateur de Tess, du Pianiste ou de Rosemary's Baby, qui a reçu de nombreux prix à travers le monde, est toujours inquiété par la justice américaine pour le viol présumé d'une mineure en 1977. Le 21 janvier, Roman Polanski a renoncé à présider les César après le tollé suscité par sa désignation.