Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

27 janvier 2017

Les années 40 et 50 : L’Optimisme contagieux – Harold Feinstein

Les années 40 et 50 : L’Optimisme contagieux – Harold Feinstein – du 3 février au 30 avril 2017 – galerie Thierry Bigaignon

Vernissage– jeudi 2 février de 18h à 21h  

harold

Harold Feinstein, la renaissance d’un prodige de la photographie !

La Galerie Thierry Bigaignon présente, pour la première fois en Europe, une rétrospective exceptionnelle de l'oeuvre du photographe américain Harold Feinstein, né à New York en 1931 et décédé en juin 2015.

Digne représentant de la "New York School of Photography", Harold Feinstein étend son oeuvre sur près de six décennies, période pendant laquelle il va s'évertuer à faire le portrait intime d’une Amérique exubérante et pleine de vitalité.

La première partie de la rétrospective se consacrera aux jeunes années du photographe, les années 40 et 50, offrant une sélection de photographies en noir et blanc, à la fois riches, diverses et bouleversantes d’humanisme.

Galerie Thierry Bigaignon

Hôtel de Retz, 9 rue Charlot, Paris III

http://www.thierrybigaignon.com/

Publicité
27 janvier 2017

Milo Moiré

milooooo

27 janvier 2017

27 janvier : Journée mondiale de l'Holocauste - le danger de la propagande

stateofdeception_5788031

A l'occasion de la Journée mondiale de l'Holocause, le 27 janvier, l'Hôtel de ville de Paris accueille une exposition sur L'Etat trompeur: le pouvoir de la propagande nazie. Le pouvoir de la propagande plus que jamais d'actualité, comme s'en inquiète Sara Bloomfield, directrice du Musée américain de l'Holocauste.

Le chemin qui mène à l'Holocauste était pavé de mots, des mots qui prônent de grandes idées, incitant à la haine et favorisant l'indifférence au sort des autres.

Aujourd'hui, 72 ans après l'Holocauste, les discours de haine sont toujours d'actualité. En dépit d'un engagement ferme pris en 1945 "Plus jamais ça", l'antisémitisme, le racisme et la xénophobie ont connu une résurgence dans de nombreuses régions du monde. Puisque les nouvelles technologies amplifient considérablement le pouvoir des idées, nous avons plus que jamais besoin de contrer la menace que la propagande pose à toutes les sociétés. Pour cette raison, nous nous associons pour présenter l'exposition L'État trompeur: le pouvoir de la propagande nazie. Parfois, le passé reste le passé. Dans le cas du nazisme, le passé récent a beaucoup à dire au sujet du présent.

Un poison à action lente

La propagande nazie, comme l'a rappelé un survivant de l'Holocauste, a agi comme un poison à action lente et insidieuse qui s'est répandu dans chaque fibre de la société allemande. Des voisins, des amis et des concitoyens se sont transformés en parias et en ennemis de l'intérieur.

Cette transformation ne s'est pas produite du jour au lendemain. Les nazis ont gagné le soutien de millions d'Allemands vivant en démocratie grâce à des promesses de restaurer la grandeur allemande et d'unir tous les Allemands - indépendamment de leur classe, région ou religion - dans une "communauté nationale" (les Juifs étaient considérés comme une race à part, n'appartenant pas à la communauté nationale). C'était une notion séduisante pour une nation humiliée par la défaite militaire, souffrant de graves conditions économiques et terrifiée par la menace communiste. Les Juifs sont devenus les boucs émissaires responsables de tous les problèmes de l'Allemagne. Beaucoup d'électeurs ont volontairement négligé ou n'ont pas été gênés par le programme raciste et antisémite du parti. Mais dès qu'Hitler a été nommé chancelier, son gouvernement a rapidement effectué des arrestations de masse, mis en place des camps de concentration et mis en oeuvre des politiques raciales. La démocratie a été éradiquée en l'espace de quelques mois.

Sous la dictature nazie, la guerre contre les Juifs était présentée comme une question de sécurité nationale. La diffusion ininterrompue de propagande raciste et antisémite, quand elle n'inspirait pas la haine, favorisait une indifférence du public qui contribuait à rendre possible la persécution et, à la fin, le meurtre de masse.

Jouer sur les frustrations et les peurs

Malheureusement, la propagande dangereuse imprègne encore la culture politique contemporaine. Et son danger est amplifié par la puissance de la technologie. Les stratèges extrémistes comprennent, comme l'a fait Hitler dans les années 1920, qu'il faut se rapprocher des individus et des groupes déçus du système actuel. Les organisations terroristes et les politiciens populistes et radicaux jouent sur les frustrations et les peurs, ainsi que sur les espoirs et les rêves, de leurs publics cibles.

Dans sa propagande, ISIS (Daech) promet de créer une communauté idéale, où les musulmans, quelles que soient la couleur de leur peau, leur appartenance ethnique ou leur origine nationale, peuvent vivre en "fraternité" sous un "drapeau et un objectif unique". Les recruteurs touchent les personnes qui se sentent privées de leurs droits, humiliées ou mécontentes, et qui sont disposées à commettre des actes extrêmes, comme des tueries d'une brutalité terrible, la torture et même un génocide pour réaliser leur conception du monde.

La démocratie fait face à une autre menace des groupes d'extrême-droite, qui promettent de restaurer la grandeur nationale en attisant la peur et la colère, visant pour grande partie des boucs émissaires, comme les minorités ou les immigrants. Ces partis ne sont plus des mouvements marginaux, mais des organisations capables de construire une base solide de soutiens et de gagner des élections locales, régionales et nationales. Dans un certain nombre de pays européens, les partis d'extrême-droite ont déferlé sur les réseaux sociaux, dépassant largement leurs principaux concurrents politiques. Aux États-Unis, les nationalistes blancs extrémistes ont considérablement augmenté leur présence sur les réseaux sociaux. Une étude récente indique que de tels groupes, y compris les néo-nazis, ont connu une croissance de 600% de "followers" sur Twitter.

Ne pas oublier son passé

Ce sont là des préoccupations graves, auxquelles nous tous devons faire face. Peu d'électeurs allemands au début des années 1930 prévoyaient que le régime nazi plongerait le monde dans la guerre et réaliserait le plus grand génocide de l'histoire du monde. Beaucoup d'entre eux ont voté par frustration face à leur situation du moment et par crainte et colère. Ils n'ont voté ni pour les chambres à gaz, ni pour les unités mobiles d'extermination. Mais, en ignorant les sombres facettes du programme nazi, comme le racisme et l'antisémitisme, les Allemands ordinaires ont aidé à porter Hitler au pouvoir.

Le processus démocratique encourage la concurrence et la diversité sur le marché des idées. Mais ses libertés exigent une vigilance soutenue au nom de ses citoyens et des élus afin de veiller à ce que les droits de tous soient protégés. Combattre la propagande dangereuse qui diabolise tout groupe ou menace les valeurs démocratiques fondamentales, relève de la responsabilité de chacun. Pour cette raison, nous encourageons tous les visiteurs de l'exposition à Paris L'Etat trompeur, le pouvoir de la propagande nazie à protester contre les discours de haine et contre la violence envers les minorités religieuses et ethniques en utilisant les hashtags #Holocaustremembrance et #MemoryToAction.

Un monde meilleur - qui valorise la liberté, la justice, le pluralisme et la dignité humaine - est à portée de main. Mais c'est un monde qui n'oublie jamais son passé, qui est prêt à y faire face et qui refuse de répéter les erreurs du passé. La transmission du passé est une première étape pour jeter les bases de l'avenir. Le reste incombe à chacun d'entre nous.

L'Etat trompeur, le pouvoir de la propagande nazie, exposition ouverte au public du 26 janvier au 25 février, à l'espace Paris Rendez-Vous, le concept-store de l'Hôtel de Ville de Paris. 

dachau

Photo ci-dessus : Dachau

27 janvier 2017

Gigi Hadid

27 janvier 2017

Marlène Moureau

marlen emoureau

Publicité
26 janvier 2017

Si tu penses...

16110284_1597926813570365_8933581144465604608_n

26 janvier 2017

Paris - quelques vues

paris (1)

paris (2)

paris (3)

26 janvier 2017

Cherchez l'erreur...

tumblr_lhfzejJBkN1qfc4xho1_500

26 janvier 2017

Circulation(s) au Cent Quatre

Le festival Circulation(s), c'est le festival de la jeune photographie européenne. Cette année, Circulation(s) se tient jusqu'au 5 mars 2017 au 104 et est l'occasion de découvrir 44 photographes européens !

Le Festival Circulation(s) revient en 2017 pour sa 7e édition et voit grand. Initié par l'association Fetart, le festival souhaite faire émerger de grands talents de la scène européenne, les plébiscitant auprès du public et des galeristes.

Le Festival Circulation(s) constitue un véritable tremplin pour les artistes émergents, qui dévoilent leurs travaux dans une ambiance détendue, au sein du temple de la création à Paris, le 104. Aussi, jusqu'au 5 mars 2017, 44 photographes européens jeunes dévoilent leurs travaux dans une exposition collective, soutenus par  Hercules Papaioannou, parrain de l'édition 2017.

26 janvier 2017

Vu sur internet - j'aime beaucoup

16122537_1272764839459599_8056068696818319360_n

Publicité
Publicité