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Jours tranquilles à Paris

25 janvier 2017

Primaire à gauche

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25 janvier 2017

Dans le bus 70 - photo prise ce soir

metroi boulot

25 janvier 2017

Mademoiselle A - ce soir au Théâtre Trévise - "Mon Gainsbourg à moi"

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25 janvier 2017

L’épouse de François Fillon a perçu 500 000 euros comme attachée parlementaire

Réputée se tenir en dehors des affaires politiques de son mari, Penelope Fillon a été rémunérée comme collaboratrice de celui-ci, d’après « Le Canard enchaîné ».

Penelope Fillon a perçu quelque 500 000 euros brut en tant qu’attachée parlementaire, révèle dans son édition à paraître mercredi 25 janvier Le Canard enchaîné. Il n’est pas interdit aux parlementaires de faire embaucher des proches comme collaborateurs, à condition qu’il ne s’agisse pas d’emplois fictifs. Mais l’épouse de François Fillon – candidat du parti Les Républicains à l’élection présidentielle et élu à l’Assemblée depuis 1981 – est plutôt connue pour ne pas intervenir dans les affaires politiques de son mari.

Interrogée par l’hebdomadaire satirique, une ancienne collaboratrice parlementaire de M. Fillon dit d’ailleurs « n’avoir jamais travaillé avec elle ».

D’après « les feuilles de paie » que s’est procurées l’hebdomadaire, Mme Fillon a été rémunérée de 1998 à 2002 par son mari, député de la Sarthe, sur l’enveloppe réservée aux députés et aux sénateurs. A partir de 2002, après l’entrée de M. Fillon au gouvernement, Mme Fillon devient collaboratrice de Marc Joulaud, suppléant de son mari. D’après les chiffres obtenus par Le Canard enchaîné, c’est à cette période qu’elle a été le mieux rémunérée (de 6 900 à 7 900 euros mensuels).

« Je n’ai jamais rencontré Penelope Fillon »

En 2012, Le Canard enchaîné affirme que Mme Fillon a de nouveau été rémunérée « pendant six mois au moins » quand son mari est devenu député de Paris, après cinq ans à Matignon. « Au total, Penelope aura perçu environ 500 000 euros brut sur les caisses parlementaires » en huit ans, écrit l’hebdomadaire.

Le Canard enchaîné affirme par ailleurs que Mme Fillon fut aussi salariée, du 2 mai 2012 à décembre 2013, de La Revue des Deux Mondes, propriété de Marc Ladreit de Lacharrière (président-directeur général de Fimalac), un ami de M. Fillon. Elle touchait alors environ 5 000 euros brut par mois.

Interrogé par l’hebdomadaire, le directeur de la revue, Michel Crépu, se dit « sidéré » : « Je n’ai jamais rencontré Penelope Fillon et je ne l’ai jamais vue dans les bureaux de la revue. » Il précise toutefois que Mme Fillon a signé « deux ou peut-être trois notes de lecture ».

L’entourage de l’ancien premier ministre a réagi auprès du Monde, jugeant que M. Crépu était « mal renseigné » : « Oui, Mme Fillon a été la collaboratrice de François Fillon ; oui, elle a travaillé pour La Revue des Deux Mondes ; et oui, c’est fréquent que les conjoints des parlementaires soient leur collaborateur, à gauche comme à droite. Mme Fillon a fait des études de droit et de littérature. Elle a toujours travaillé dans l’ombre, car ce n’est pas son style de se mettre en avant. »

Candidats malheureux à la primaire de la droite, Jean-François Copé et Bruno Le Maire avaient eux aussi été épinglés pour avoir rémunéré leurs épouses sans que l’on sache vraiment s’il s’agissait d’un emploi fictif.

25 janvier 2017

Tour Eiffel

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25 janvier 2017

Donald Trump

25 janvier 2017

Théâtre de la Grande Comédie

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25 janvier 2017

Daniel Auteuil

25 janvier 2017

La pollution touche toute l’Europe

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Environnement

Le nuage de particules fines est d’une ampleur exceptionnelle.

Prenez un froid polaire et un vent aux abonnés absents, ajoutez-y un énorme anticyclone. Et vous obtenez un « épisode de pollution exceptionnel par son ampleur » à l’échelle de l’Europe. D’après les experts de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) qui viennent d’étudier à la loupe la qualité de l’atmosphère sur le continent, la pollution aux particules fines qui affecte une grande partie de la France touche aussi le sud du Royaume-Uni, la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne et plusieurs pays d’Europe centrale.

« L’étendue géographique du panache de particules rappelle que la pollution atmosphérique n’a pas de frontières », souligne l’Ineris. « L’installation d’une situation anticyclonique stable et froide sur une large partie de l’Europe a conduit à une spectaculaire augmentation des niveaux de particules dans toutes les zones urbanisées, sans possibilité de dispersion », constatent les experts de l’Ineris, chargés de rédiger le bulletin Prev’Air (un système national de prévision de la qualité de l’air).

Comme un couvercle

Cette situation devrait perdurer jusqu’à vendredi, où les prévisionnistes attendent une dégradation du temps qui favorisera la dispersion des particules. « Mais, pour l’heure, c’est comme si toute une partie de l’Europe était sous un couvercle de pollution, précise Laurence Rouïl, responsable des modélisations à l’Ineris. Piégé près du sol par un phénomène d’inversion thermique, le cocktail de polluants issu du trafic routier, de l’industrie, du chauffage résidentiel et de l’agriculture se diffuse horizontalement. » Aucun pays ne semble épargné. « Dans le grand Londres, on constate les mêmes niveaux de concentration de particules qu’en région parisienne », explique Laurence Rouïl. Chez nos voisins aussi, des mesures de limitation de vitesse sont imposées et on encourage la population à limiter le chauffage au bois.

Au premier semestre 2007, déjà, l’Ineris avait comptabilisé plusieurs vagues de pollution « d’une intensité incroyable ». Mais l’Ineris bat en brèche l’idée reçue selon laquelle nous respirons un air plus vicié que dans le passé : « Depuis vingt ans, les concentrations de polluants dans l’atmosphère ont tendance à baisser », note Laurence Rouïl. Frédéric Mouchon

25 janvier 2017

Extrait d'un shooting - dans mon studio

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