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Jours tranquilles à Paris

16 décembre 2016

CHASE HART – BABESTOCK {EXCLUSIVE EDITORIAL/ NSFW}

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15 décembre 2016

Ren Hang

15 décembre 2016

Mario Testino turns lens on men for new photography book

Mise au point sur l’homme

Une galerie de portraits d’homme à travers l’objectif du maestro de la photographie

«La façon dont les hommes sont perçus par le monde de la photographie et de la mode, de même que le regard des hommes sur leur propre image, ont changé au cours des dernières années. Il existe un intérêt nouveau pour ce sujet : l’image de l’homme, le style individuel d’un homme, une nouvelle attention portée sur le visage et le corps du mâle.»

— Mario Testino

De Rio à Londres, de Cusco à Séville, Mario Testino est réputé pour son non-conformisme appliqué à ses chroniques sur la mode et le style. Au fil des pages de SIR, son plus grand ouvrage à ce jour, l’artiste de premier plan présente plus de 300 photos comme autant de témoignages de sa quête d’une définition de la séduction masculine.

Comprenant un texte de Pierre Borhan, une interview de Patrick Kinmonth et de nombreuses œuvres inédites choisies parmi des milliers dans les archives de Testino, le livre retrace l’évolution de l’identité masculine durant ces trente dernières années. Habillement, tradition, rôle des genres, art du portrait, photojournalisme et mode s’entrechoquent dans l’étude de la masculinité que réalise Testino à travers toutes les manifestations modernes de la séduction: du dandy au gentleman, du macho à l’extraverti, de la célébrité mondiale à l’anonyme le plus complet.

Chaque photo reflète un point de vue unique et un dialogue visuel particulier entre l’artiste et son modèle. Avec Josh Hartnett pour VMAN (2005), Testino évoque la descente aux enfers de Helmut Berger dans Les Damnés de Luchino Visconti. Dans les études de Brad Pitt, George Clooney, Jude Law et Colin Firth, la spontanéité le dispute à la curiosité. David Beckham, David Bowie, Mick Jagger et Keith Richards incarnent quant à eux le courage dont ils ont fait preuve en redéfinissant l’éternel masculin par leur style singulier. Formant une mosaïque d’apparences, ces portraits rendent hommage à la remarquable intuition de Testino et à son talent pour saisir la période qui vit les hommes explorer leur rôle, leur style et leurs attitudes.

15 décembre 2016

Calendrier PIRELLI 2017 - Peter Lindbergh

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15 décembre 2016

Extrait d'un shooting

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15 décembre 2016

La performeuse Déborah de Robertis jugée pour exhibition sexuelle

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Par Culturebox (avec AFP) @Culturebox

L'artiste franco-luxembourgeoise Déborah de Robertis était mardi devant le tribunal correctionnel de Paris pour deux apparitions partiellement dénudée dans des musées, suite à la plainte d'une visiteuse, posant la question régulièrement posée des limites régaliennes de l'exposition de la nudité lors d'une performance artistique.

Ketchup sur seins nus, pose lascive et toison pubienne factice

Le 27 mars, l'"artiste performeuse" de 32 ans s'était invitée au dernier jour d'une exposition consacrée à Bettina Rheims à la Maison européenne de la  photographie à Paris. Près d'un cliché de Monica Bellucci devant un plat de spaghettis, Déborah de Robertis, vêtue d'une longue veste de vinyle rouge ouverte, laissant apparaître ses seins, s'était renversé une bouteille de ketchup sur la poitrine.

Le 18 septembre, cette fois au dernier jour d'une exposition sur le thème de la poupée Barbie, perruque blonde sur la tête, l'artiste était arrivée dans une combinaison couleur chair, qui laissait à nouveau apparaître ses seins. En  haut de ses cuisses, elle arborait une abondante toison pubienne factice. L'artiste prenait, selon une visiteuse qui a porté plainte, "une pose  suggestive". Il y avait "peut-être des trucs philosophiques et féministes", mais que les enfants ne peuvent pas comprendre, en tout cas aux yeux des cette  femme "des trucs qui sont quand-même choquants" pour un jeune public.

Geste de vie

A la barre du tribunal correctionnel de Paris, Déborah de Robertis explique  qu'elle voulait "montrer le corps d'une vraie femme", là où "Barbie n'a pas de  tétons et pas de poils sur le sexe". Elle rappelle l'omniprésence de la nudité dans l'art. La déclarer coupable serait à ses yeux "se tromper d'objet" et "mettre sur le même plan un geste mortifère", l'exhibition sexuelle, et un  "geste de vie", sa performance.

L'artiste, qui s'attache à réinterpréter une œuvre, ne demande pas d'autorisation aux musées. Elle assure qu"'une partie du public en tout cas est enthousiaste". Le contexte est différent par rapport à une "exhibition sexuelle classique", admet la magistrate du parquet, pour qui il s'agit néanmoins d'une "vision imposée" au public. La représentante du ministère public requiert une amende de 2.000 euros.

Récidives

"Quid de l'intention?", réplique l'avocat de l'artiste, Tewfik Bouzenoune. Quand l'artiste montre sa poitrine, "ce n'est pas pour susciter du désir". Préférant au terme d'exhibition celui de "monstration", il fait valoir que celle-ci ne suffit pas à caractériser l'infraction. Et souligne que la rétrospective Bettina Rheims était accompagnée d'un avertissement au public. Plaidant la relaxe, il estime que cela n'a "rien à faire" devant un tribunal. Le jugement sera rendu le 1er février.

Comme l'avait noté la présidente, les deux performances au cœur du procès sont "parmi les plus chastes" de Déborah de Robertis. En janvier au Musée d'Orsay, elle s'était allongée dénudée sous le tableau "L'Olympia", imitant ce chef d'œuvre d'Edouard Manet qui représente une jeune femme nue sur un divan avec, au second plan, une femme noire lui présentant un bouquet de fleurs. Peint en 1863, le tableau fit scandale à l'époque par sa représentation très prosaïque d'une prostituée.

Déjà à Orsay, en 2014, elle s'était mise en scène devant "L'Origine du monde" de Gustave Courbet, célébrissime tableau représentant un sexe de femme, dans la même posture. A chaque fois, elle a fait l'objet d'un rappel à la loi.

Déborah de Robertis n'est pas la seule artiste à avoir récemment fait l'objet de poursuites pour exhibition sexuelle. En mai 2014, le Sud-Africain Steven Cohen, qui avait dansé le sexe enrubanné relié à un coq lors d'un spectacle sur le parvis du Trocadéro à Paris, a été déclaré coupable, mais  dispensé de peine.

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origine

https://fr.wikipedia.org/wiki/Deborah_De_Robertis

15 décembre 2016

Un musée qui a du nez

Rue du Faubourg-Saint-Honoré (VIIIe). Le Grand Musée du Parfum espère 300 000 visiteurs par an.

Inauguré demain vendredi, le Grand Musée du parfum offrira une immersion dans les effluves les plus raffinés, voire oubliés.

Par Maéva Lahmi

« Donner envie de découvrir et d’aimer le parfum », c’est toute l’ambition de Guillaume de Maussion, président et initiateur du projet du Grand Musée du parfum qui sera inauguré vendredi au cœur du VIII  e arrondissement de Paris, l’un des quartiers les plus chics de la capitale. Situé dans un hôtel particulier de 1 400 m  2, ce nouveau musée privé, qui a nécessité deux ans de travail, est le fruit de l’association de quatre entrepreneurs passionnés de parfum. Avec l’aide d’experts et le soutien financier d’une cinquantaine d’investisseurs privés, ils sont parvenus à rassembler les sept millions d’euros nécessaires à sa création. 300 000 visiteurs y sont attendus chaque année.

jouer avec les senteurs

« Nous avons souhaité créer un lieu dédié au parfum au cœur de la ville de l’élégance », souligne le directeur. Et d’ajouter que, selon lui, « Paris est devenu la véritable capitale du parfum au début du XX e siècle, quand les grands créateurs de mode parisiens, de Coco Chanel à Edward Molyneux, ont imaginé leurs premiers flacons ».

Plutôt que de proposer une présentation historique, le musée a choisi d’offrir une immersion dans les effluves les plus raffinés. Bergamote, rose, jasmin... Les senteurs les plus réputées se mêlent à de délicieuses odeurs oubliées, telles que l’amir ou l’opopanax. Chacun est amené à découvrir, reconnaître et jouer avec les parfums. « L’important, c’est que les visiteurs se montrent curieux, résume Guillaume de Maussion. Nous espérons vraiment leur faire vivre une expérience marquante. »

73, rue du Faubourg-Saint-Honoré (VIII  e), M° Miromesnil. Entrée : 14 €.

15 décembre 2016

Nobuyoshi Araki

15 décembre 2016

Run....run....run....

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15 décembre 2016

Le wi-fi même à 300 km/h !

SNCF - Dès aujourd'hui, le TGV offre une connexion Internet gratuite aux clients de la ligne Paris-Lyon. Ce service sera déployé progressivement sur les lignes TGV tout au long de 2017.

Par   Matthieu Pelloli

Le train fonce, le voyageur surfe. La SNCF proposera à partir de demain le wi-fi gratuit à tous les passagers dans ses TGV de la ligne Paris-Lyon. « C’est la troisième tentative, donc ça va être la bonne », s’amusait hier, un brin anxieux, Guillaume Pepy, le PDG de l’entreprise publique, rappelant au passage combien l’installation du wi-fi à bord de rames lancées à 300 km/h est une prouesse technique… qui n’a pas toujours été couronnée de succès.

« Le Parisien » - « Aujourd’hui en France » a pu tester le système hier lors d’un aller-retour vers la capitale des Gaules.Verdict ? Une connexion simple et rapide au wi-fi ferroviaire, puis une expérience utilisateur particulièrement fluide, même si le test, effectué en conditions réelles mais à bord d’une voiture réservée à la presse, n’a pas permis d’évaluer la fluidité du système avec un grand nombre d’utilisateurs connectés en même temps.

Lorsqu’il se raccorde au réseau, le voyageur accède au portail « TGV Connect », qui lui permet de suivre son trajet en temps réel sur une carte — comme dans les avions ! — tout en lui donnant accès aux services liés à Internet (mails, réseaux sociaux). Impossible, en revanche, d’utiliser des sites de vidéos en streaming, trop gourmands en bande passante…

La ligne Paris-Lyon ouvre le bal du wi-fi, mais d’ici à fin 2017, 300 rames TGV auront été équipées pour offrir le wi-fi sur les lignes en direction de Bordeaux, Strasbourg, Lille, Rennes et Marseille. Un défi technologique relevé avec l’aide de l’opérateur Orange. Il a fallu « combattre les ponts, les tunnels (  NDLR : la connexion peut néanmoins s’y interrompre au cours du voyage) et tous les matériaux qui ne laissent pas passer les ondes », énumère Benoît Tiers, directeur général digital du groupe SNCF. Montant des travaux : 100 M€. Un investissement sans rentabilité immédiate pour l’entreprise, « car le wi-fi à bord est gratuit », souligne Guillaume Pepy en assurant qu’il n’y aura pas de hausse du prix du billet.

Gare de Lyon, à Paris, Dylan, 19 ans, sans avoir testé le système, trouve l’amélioration « indispensable » sur le principe. Françoise, une sexagénaire, est moins enthousiaste : « C’était bien aussi l’époque où il n’y avait rien d’autre à faire que de lire un livre ou de regarder défiler le paysage… » Oui mais le wi-fi enrichit aussi la réalité. Il donne des indications sur les paysages traversés en train… comme « sur la droite, la D 84 et le village de Bellechaume », alors que la rame file précisément à 261 km/h.

Les passagers seront mis au courant de la présence du wi-fi à bord par des flyers sur leurs sièges, mais certains usagers technophiles l’ont déjà débusqué pendant la période de tests.

Soudain, la voix de Jean-Claude, le conducteur,grésille dans les haut-parleurs : « Nous sommes à 300 km/h .» Il poursuit : « Via Twitter, vous pouvez m’envoyer un message, que je lirai et auquel je répondrai… après notre arrivée en gare. » Ouf. La SNCF, entreprise connectée mais responsable.

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