Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

12 octobre 2016

Extrait d'un shooting reportage

book PS (13)

Publicité
12 octobre 2016

RANKIN - photographe

Rankin (1)

Rankin (2)

Rankin (3)

Rankin (4)

Rankin (5)

Rankin (6)

Rankin (7)

Rankin (8)

Rankin (9)

Rankin (10)

Rankin (11)

Rankin (12)

Rankin (13)

Rankin (14)

12 octobre 2016

Sylvio Testa

Sabrisse 😘#model #girl #woman #sexy #glamour #body #lingerie #legs #pretty #cute #photoshoot #shooting #studio #stairs

Une photo publiée par Sylvio Testa (@sylvio_testa) le 11 Oct. 2016 à 3h44 PDT

11 octobre 2016

"Les innocentes" - vu aujourd'hui en DVD



11 octobre 2016

L'évolution américaine....

Publicité
11 octobre 2016

Armano Scacci

11 octobre 2016

Maintenant, la trottinette dans le métro, c’est minimum 60 €

Si les amendes traditionnelles subsistent, toute une série de nouvelles contraventions a été mise en place. Vous voilà prévenus !

Par   Jean-Gabriel Bontinck

Soixante euros : c’est désormais le tarif, dans le métro, si vous chaussez des rollers, restez endormis après le terminus, ou même si vous oubliez simplement un sac… Depuis le 1  er octobre, les règles et les tarifs ont changé dans vos transports en commun.

De nouveaux motifs de verbalisation

Une nouvelle série de « contraventions de 4  e classe », sanctionnées par une indemnité forfaitaire de 60 €, a été créée. Désormais, il est par exemple interdit de rester dans une rame au-delà du terminus. C’était déjà le cas dans les bus et trams, ça l’est désormais dans les métros et RER. Les fêtards devront faire attention à ne pas s’endormir…

Interdite aussi, l’utilisation des trains comme « engin de remorquage » : les pratiques dangereuses de « trainsurfing » sont visées.

Une autre nouveauté vise à lutter contre les colis suspects, véritable plaie qui ralentit quotidiennement le trafic : désormais, l’oubli de tout objet dans le réseau RATP est sanctionnable. Avant, on pouvait oublier son sac dans une rame. Maintenant, c’est 60 €.

Des infractions précisées

Les crachats et l’urine dans le métro, c’est non, bien sûr. Mais désormais, cela figure comme tel dans la loi. Auparavant, un tel comportement était sanctionné comme une « souillure » au sens large. Il s’agit maintenant d’une incrimination spécifique, passible d’une contravention de 60 €.

Jusqu’à présent, mendier était interdit dans les gares ou stations du réseau. Désormais, l’interdiction est étendue aux trains eux-mêmes. La RATP fait aussi la chasse aux nuisances et incivilités. Les « appareils et instruments sonores » étaient déjà proscrits dans tout le réseau. C’est plus généralement le « trouble de la tranquillité d’autrui par des bruits ou des tapages » qui est puni de 60 €.

Des contraventions qui augmentent

Les amendes traditionnelles, elles, subsistent, mais elles ont augmenté. Pour les voyageurs se déplaçant avec un titre non valable, l’amende passe de 33 à 35 €. Pour ceux qui ont un billet, mais qui ne l’ont pas composté, l’amende grimpe de 33 à 50 €. Côté SNCF, ceux qui utilisent un titre de transport qui ne leur appartient pas devront payer 70 €, contre 50 € auparavant. Enfin, le montant des frais de dossier, qui s’applique si l’amende n’est pas immédiatement réglée, passe de 30 à 50 €. Si vous n’avez aucun titre de transport, l’amende reste à 50 €.

Autre hausse, pour les voyageurs qui fument dans les métros ou les gares, la contredanse passe de 60 à 68 €.

11 octobre 2016

Place Igor Stavinsky

11 octobre 2016

Rappel : exposition COLUCHE à l'Hôtel de Ville...

coluche 25

11 octobre 2016

AURAY : Baisse des ventes sur le marché du lundi

Depuis un mois, une partie du marché du lundi a déménagé du côté de la place de Gaulle en raison des travaux place de la République. Certains commerçants sont très mécontents.

La polémique

Comme souvent, il y a ceux qui sont contents et ceux qui sont mécontents. Depuis le lundi 12 septembre, les commerçants non sédentaires du marché du lundi, installés place de la République, ont déménagé vers la place de Gaulle et du Four-Mollet. En raison des travaux de la place de la République, les étals ont quitté leur site historique pour quelques semaines. Dans un premier temps jusqu’à la mi-décembre, si le rythme des pelleteuses et des pioches ne prend pas de retard… Hier matin, ce n’était déjà plus l’affluence du mois de septembre sur le marché nouvelle version, les vacanciers ayant visiblement quitté le sud du Morbihan. D’ailleurs, quelques étals avaient changé de place, migrant de la place du Four-Mollet à la place de Gaulle. Il est vrai que des marchands ambulants saisonniers avaient eux aussi quitté la ville.

« Moins 30 % »

Place du Four-Mollet sont essentiellement installés ceux qui sont partis de la place de la République. Comme Laurent, de Lolo Rôtisserie. Lui, comme d’autres sur le même lieu, ne s’y retrouve pas :« Les quinze premiers jours, j’ai perdu 30 % de mon chiffre d’affaires. Les clients nous ont finalement retrouvés petit à petit. Aujourd’hui, c’est moins 20 %. Si ça devait durer, on se poserait des questions. » Yolande, elle, vend des fruits et des légumes. Et ne se plaint pas car« il y a du passage. Les clients ont retrouvé mon étal. Mais je me rends compte que mes ventes ont baissé ». Jean-Luc, Mister Paella depuis 22 ans, note aussi une légère baisse.« Je fais différents marchés, c’est toujours comme cela au départ quand on bouge. Ici, au bout d’un mois, les gens commencent à s’habituer. » À quelques mètres, Jean est mécontent. Celui qui est là depuis 1979 avec ses tissus et ses voilages, estime qu’il« n’y a eu aucune concertation avec la Ville. Alors que nous avons l’expérience. On aurait pu être consultés pour les emplacements ». Roland, qui vend des fruits et des légumes confirme :« On n’a pas été du tout concertés. Un plan a été fait et c’est tout. La clientèle m’a retrouvé, mais j’ai une perte financière. » Beaucoup de clients apprécient le côté« regroupé des étals. C’est mieux », indique Pierrick, un habitué. Et c’est vrai que les gens sont plutôt du côté de la place de Gaulle. Julien, de la poissonnerie Beg ar Pesked, est à un coin de rue et a une vue circulaire :« La fréquentation est la même, mais ce ne sont pas les mêmes personnes. Certains ne viennent plus car les parkings sont remplis très tôt le matin. » Isabelle, elle, apprécie ce changement depuis son camion de galettes bio car« avant, on était très peu sur la place en hiver. C’est très bien de tout regrouper ». Du côté des Halles, c’est plutôt grise mine. Mais pas le lundi, car des clients du marché font un détour. Le constat est plus sévère pour les autres jours de la semaine. Car les travaux sur la place en rebutent plus d’un. Article de Sophie CAPELLE. Ouest France

112845371_o

Publicité
Publicité