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Jours tranquilles à Paris

31 août 2014

“The Servant”, de Joseph Losey : la grande histoire d'un film au parfum de soufre

Une maison qu’on dirait hantée par le vice, un énorme miroir, convexe, un aristocrate de plus en plus soumis, un valet de chambre de plus en plus sadique… Avec ses ombres inquiétantes et ses mouvements de caméra sophistiqués, “The Servant”, le chef-d’œuvre écrit par Harold Pinter et réalisé par Joseph Losey en 1962, ressort en salles en version restaurée. L’occasion de revenir sur l’histoire de ce film. Lire la suite

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The Servant ( 1963 )

Dirk Bogarde

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31 août 2014

Le Procope - Paris

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Le café Procope est un célèbre, et l’un des plus anciens, cafés-restaurants de Paris. Il se situe au 13, rue de l'Ancienne-Comédie, dans le 6e arrondissement. Il est également accessible par le passage de la Cour du Commerce-Saint-André.

Café d’artistes et d’intellectuels, il était fréquenté au XVIIIe siècle par Voltaire, Diderot et d’Alembert. Centre actif durant la Révolution française, il reste longtemps un lieu de rencontre d’écrivains et d’intellectuels (Musset, Verlaine, Anatole France), d’hommes politiques (Gambetta) et du « Tout-Paris ».

http://fr.wikipedia.org/wiki/Caf%C3%A9_Procope

31 août 2014

"Tatoueurs tatoués" toujours au Musée du Quai Branly

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31 août 2014

Guy Bourdin (photographe)

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Photo : Guy Bourdin

31 août 2014

Lady Diana

Diana Frances Spencer née le 1er juillet 1961 à Sandringham (comté de Norfolk) et morte le 31 août 1997 à Paris, est une aristocrate britannique, épouse de Charles, prince de Galles, du 29 juillet 1981 au 28 août 1996, date de leur divorce.

De ses fiançailles avec le prince de Galles à sa mort prématurée dans un accident de voiture controversé à Paris en 1997, Diana fut l'une des femmes les plus célèbres du monde de la fin du XXe siècle, une des figures féminines éminentes de sa génération, une icône emblématique de la mode. Sa détresse émotionnelle pendant les années 1980 et les années 1990 inspira nombre de biographies, de photos, d'articles de journaux et de films de télévision. Elle fut également une figure emblématique mondiale de la charité, elle créa nombre d'associations pour défendre des causes telles les problèmes du SIDA ou encore l'éradication des mines antipersonnel.

Dès son mariage et jusqu'à son divorce, sa titulature était : Son Altesse royale la princesse de Galles et comtesse de Chester, duchesse de Cornouailles, duchesse de Rothesay, comtesse de Carrick, baronne de Renfrew, Dame des Îles, princesse d'Écosse, ; mais elle avait comme titre officiel Son Altesse royale la princesse de Galles. Après son divorce en 1996, la reine lui accorde le titre de courtoisie « princesse de Galles » sans prédicat. Elle est cependant plus connue en France sous l'appellation Lady Diana et plus encore sous le diminutif Lady Di ; la presse l'appelait également princesse Diana, bien que cela fût incorrect, puisque ce titre est réservé aux princesses de sang.

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Diana_Spencer

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La flamme de la liberté.

La Flamme de la Liberté est un monument du 16e arrondissement de Paris, surplombant l'entrée ouest du tunnel du pont de l'Alma, qui consiste en une reproduction en vraie grandeur de la torche que tient la statue de la Liberté à l'entrée du port de New York.

Le monument, qui mesure 3,5 mètres, se compose d'une sculpture de flamme en cuivre doré, reposant sur un socle en marbre gris et noir.

Origine

La Flamme de la Liberté a été offerte à la France par les États-Unis en 1989, en remerciement de la restauration accomplie trois ans plus tôt sur la statue de la Liberté, à l'occasion de son centenaire. Cette restauration avait en effet été menée par deux entreprises artisanales françaises : les Métalliers Champenois pour le travail du cuivre, et les ateliers Gohard pour la dorure de la flamme. À cette occasion la torche, que le sculpteur Gutzon Borglum avait évidée et vitrifiée en 1916 pour l'éclairer de l'intérieur, avait été remplacée par une torche pleine et dorée, éclairée de l'extérieur.

À la fin des travaux, Kevin Mac Carthy, avocat des Métalliers Champenois durant leur séjour aux États-Unis, a eu l'idée de faire réaliser la réplique exacte de la flamme afin de l'offrir à la France en signe de continuité de l'amitié franco-américaine, comme l'était déjà la statue de la Liberté elle-même, offerte par la France aux États-Unis. L'International Herald Tribune, qui fêtait en 1987 son centenaire, a accepté de coparrainer la réalisation de ce projet. Une pleine page lançant un gigantesque appel au don fut publiée afin de recueillir les 400 000 dollars nécessaires aux travaux.

Cette opération a été pilotée par le directeur de l'artisanat français de l'époque : Jacques Graindorge. Quatre sites ont alors été proposés par la mairie de Paris pour accueillir la flamme, et c'est cet emplacement place de l'Alma qui fut choisi, avec la bénédiction du maire de Paris de l'époque, Jacques Chirac, qui l'inaugura le 10 mai 1989.

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Sur le socle, une plaque commémorative rappelle cette histoire :

    « Flamme de la Liberté. Réplique exacte de la flamme de la statue de la Liberté offerte au peuple français par des donateurs du monde entier en symbole de l'amitié franco-américaine. À l'occasion du centenaire de l'International Herald Tribune. Paris 1887-1987. »

Ce site est desservi par la station de métro Alma - Marceau (sur la ligne 9) et la gare RER du Pont de l'Alma (sur la ligne C), ainsi que par l'arrêt Alma-Marceau des lignes de bus 42, 63, 72, 80, 92 et Balabus.

Suite à l'accident de la princesse Diana

Quelque peu oubliée, la Flamme de la Liberté a bénéficié d'un regain d'intérêt en 1997 lorsque Diana Spencer a trouvé la mort suite à un accident de la route dans le tunnel du pont de l'Alma, situé en dessous du monument. Le matin de l'annonce de la mort de Lady Di, le 31 août 1997, le monument a été recouvert de fleurs par des anonymes, et depuis lors, des admirateurs et des touristes viennent s'y recueillir, déposer des gerbes, y afficher des messages, des photographies de Diana ou des pages de magazines traitant de l'accident, écrire des graffiti sur le garde-corps tout proche, ou encore prendre des photos souvenirs, détournant la flamme de sa fonction initiale et la transformant spontanément en un autel à la mémoire de Diana. Depuis, certains visiteurs semblent croire que la flamme est un monument expressément construit à la mémoire de la princesse, sans doute en pensant à la chanson commémorative d'Elton John à Diana, intitulée Candle in the Wind (littéralement « une bougie dans le vent »). La flamme, du fait de ce détournement de sa fonction première, a été décrite comme un « palimpseste social », et présentée comme un exemple de la notion de « contre-monument » développée par James Young.

Le monument commémorant officiellement le décès de la princesse est, en fait, le clos des Blancs-Manteaux : un jardin public du quartier du Marais, situé au 21 de la rue des Blancs-Manteaux, et dédié à l'apprentissage du jardinage et des gestes écologiques aux enfants. Une initiative isolée vise également à faire ériger sur la place de l'Alma un monument en bronze spécialement dédié à Diana, grâce à une souscription privée.

Par ailleurs, la flamme est citée parmi d'autres « tombeaux fictifs », c'est-à-dire des monuments sur lesquels le public vient se recueillir comme s'il s'agissait de tombes, alors que le corps du défunt est conservé ailleurs (en l'occurrence pour Diana, sur une île d'Althorp, le domaine familial des Spencer, dans le comté anglais de Northamptonshire) ; ceci est interprété comme un besoin de créer un objet d'illusion, ce processus étant aussi à la base de l'érotomanie, où il est toutefois beaucoup plus prégnant.

Il était prévu que la place de l'Alma, où est érigée la Flamme de la Liberté, soit renommée « place Maria-Callas » le 11 septembre 1997, pour célébrer le vingtième anniversaire de la mort de la cantatrice. Mais l'accident qui a coûté la vie à la princesse de Galles, survenu quelques jours plus tôt, et la ferveur populaire autour de la Flamme, ont conduit le Conseil de Paris, dirigé par le maire de l'époque Jean Tiberi, à renoncer à ce projet. Il a été un temps envisagé que la place prenne le nom de la princesse Diana, mais ceci a aussi été abandonné en raison d'une opposition de la cour d'Angleterre.

Le monument est toujours visité et des messages sont encore laissés à sa mémoire. Ils sont cependant régulièrement enlevés et la sculpture nettoyée.

Certains partisans de la théorie du complot voient un lien entre la torche, qui est selon eux un symbole caché des intentions des Illuminati sur le monde, et la mort de Diana, qu'ils pensent être un assassinat organisé par ces mêmes Illimunati. Source : Wikipedia.

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30 août 2014

La Une de Libération ce matin

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30 août 2014

AURAY : Le sculpteur Alain Dréan reste fidèle à son chalet

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Les personnages en bois d’Alain Dréan vont bientôt quitter leur cabane, située devant l’office de tourisme. L’artiste baissera le rideau pour la vingt-septième année. Avant de revenir l’été prochain.

Reportage

Alain Dréan sculpte le bois depuis plus de quarante-sept ans. Tous les étés, depuis vingt-sept ans, il quitte son atelier de l’avenue du Généralde-Gaulle pour venir s’installer dans son petit chalet, à l’entrée de l’office de tourisme, rue du Lait.« Je suis bien ici. La cabane reste en place et je peux facilement y revenir. L’été, mais aussi parfois pendant les fêtes de fin d’année » , confie l’artiste. Le sexagénaire tient sa passion de son père, déjà sculpteur sur bois. Entre ses mains, rondins de tous bois se personnifient. L’artiste exécute aussi bien des personnages religieux,« chers à la Bretagne », que des musiciens ou des chouans.« En polychromie, surtout pour l’art religieux, mais parfois unis » , indique Alain Dréan, au milieu de ses compagnons immobiles.

Pour les chapelles

Il en conçoit aussi de toutes les tailles.« J’ai même réalisé des statues de Cadoudal grandeur nature. Mais elles sont enfermées à la prison de la rue du Jeu-de-Paume. C’est dommage ! » Le sculpteur est aussi parfois sollicité par des associations qui rénovent des chapelles.« J’ai réalisé trois statues, dont une de 1,20 m pour la chapelle de Gornévec à Plumergat, qui avait été brûlée et pillée pendant la guerre. » Il a également restauré les poutres de la chapelle Saint-Méen de Plœmel :« Ce sont des poutres de 7 m de long. Un gros travail » , poursuit l’artiste. Alain Dréan déplore que les jeunes n’aient pas la patience de se former au métier :« Ça ne s’apprend pas tout de suite. Il faut sept ans pour bien pratiquer. Et encore, avec un bon professeur ! » Et tout autant de persévérance pour réaliser un sonneur de bombarde ou une effigie de sainte Anne.« Une petite statue demande environ huit jours de travail. Pour une grande, il faut compter un petit mois. »

L’art n’est plus une priorité

Le sculpteur regrette aussi la désaffection du public pour ses œuvres d’art, même s’il la comprend :« Ce n’est plus une priorité, les gens achètent d’abord l’essentiel. Dans les années 85, je vendais très bien. Maintenant c’est plus difficile. » Et ce malgré son emplacement à l’entrée de l’office de tourisme ?« J’étais là bien avant eux ! » s’amuse le sculpteur. L’échoppe fermera fin août« ou plus tard, je verrai en fonction du temps » , indique Alain Dréan. Ses réalisations resteront visibles dans son atelier toute l’année. Article de Anne TEXIER.

Contact : Alain Dréan, sculpteur sur bois, 172, avenue du Général-deGaulle, tél. 02 97 24 21 31. Le chalet est ouvert jusqu’à fin août (ou au-delà), de 9 h à 12 h et de 13 h à 17 h 30, à l’entrée de l’office de tourisme.

30 août 2014

Emily Ratajkowski

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30 août 2014

Vu sur internet - J'aime bien

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30 août 2014

Carnac

Carnac était à l'honneur, hier, dans deux reportages, dans les JT de 13h et 20h de France 2.

Vous pouvez les revoir ci-dessous :

http://www.francetvinfo.fr/carnac-derniers-moments-de-detente-pour-les-vacanciers_680631.html

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