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Jours tranquilles à Paris
bretagne
30 juillet 2015

Save the date...

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30 juillet 2015

Les Jeudis du port à Auray (aujourd'hui)

Animations gratuites d’art de la rue, quais de Saint-Goustan. De 17 h 30 à 18 h, Les Charmeuses de Serpents, saltimbanques des temps modernes ; de 18 h à 19 h, Monsieur Tambourine, l’homme orchestre ; à 18 h 30, concert des Yp’s au répertoire pop rock ; de 16 h 30 à 21 h, Gaston Muller et son attelage de chevaux nains tirant une diligence, promenade le long des quais.

A partir de 16 h 30, quai de SaintGoustan, Auray.

30 juillet 2015

Des veillées dans les menhirs de Carnac

Veillées dans les alignements du Ménec. Les pierres scintilleront au passage des visiteurs, guidés vers un conteur. Un instant magique et insolite. Trois sessions de 45 minutes par soirée. « L’éveil des mégalithes » à 22 h 30, son et lumière, à voir de l’extérieur.

A 21 h, 21 h 25 et à 21 h 45, Maison des mégalithes, Ménec, Carnac. Tarif : 8 €, réduit 3 €. Tél. 02 97 52 29 81.

Voir mon précédent billet

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30 juillet 2015

Elles se disputent le bol breton avec prénom

Beaucoup de touristes repartent chaque été de la région avec le célèbre bol à oreilles estampillé. Mais dans quelle faïencerie a-t-il été fabriqué : Pornic ou Quimper ? Éléments de réponse.

Écoulé à 300 000 exemplaires par an, le bol breton de Pornic avec son prénom est le plus acheté par les touristes. Proposé dans quelque 350 magasins, il surpasse – en nombre – celui de la faïencerie Henriot de Quimper, qui produit 10 000 bols par an. Comment les distinguer ? Sur le fond du modèle Pornic, les « Petits Bretons » sont représentés de face alors que, chez son cousin finistérien, ils sont de profil. Autre différence, notable, en Cornouaille, le décor du bol est toujours peint à la main alors que, dans le Pays de Retz, on l’appose en « chromo », une décalcomanie.

Dix heures à 1 080°

La faïencerie de Loire-Atlantique reconnaît acheter son « biscuit » (bol à l’état brut dont la terre cuite est encore rugueuse) au Portugal. Celle de Quimper le fabrique de A à Z. La différence de prix qui en résulte est évidente : 8,50 € le bol bleu du Pays de Retz contre 35 € pour celui de Quimper.« Pour nous, le bol est un cadeau de naissance, un moment dans la vie. C’est une production artistique, on n’est pas dans le même business, sur la même planète que Pornic. Nous sommes dans le cadeau artistique », rappelle Jean-Pierre Le Goff, patron de la faïencerie Henriot de Quimper. Pour la faïencerie du Pays de Retz, l’objectif est différent.« La décalcomanie est moins longue à exécuter, elle nous permet aussi de reproduire toujours la même œuvre, avec la même qualité, surtout quand on fait appel à des illustrateurs», explique la décoratrice Jany, durant la visite des ateliers. Titulaire d’une licence exclusive pour reproduire Bécassine sur toute faïence, l’entreprise de Pornic ne veut pas pour autant pas se cantonner au passé et fait souvent appel à de nouveaux illustrateurs. Dernière en date : Angélique O.« C’est une collection un peu décalée, avec la fraîcheur du quotidien, mais aussi un peu d’imaginaire, des dessins inspirés de légendes, » explique l’artiste. Devant les assiettes reprenant ses esquisses, elle est soufflée :«Ça respecte vraiment la finesse du dessin. » Même si la faïencerie s’offre ces collections modernes, tout est fait sans l’aide de machines. Le biscuit brut passe le test du tintement. Cogné contre un autre, il doit produire un son particulier. Si ce n’est le cas, c’est qu’il contient des microfissures invisibles à l’œil nu, qui le rendent inutilisable. Ensuite, c’est le passage entre les mains expertes des décoratrices : l’écriture du prénom d’abord (il faut quatre à cinq ans pour maîtriser la graphie « Pornic »), puis le bleu épongé sur les bords (violet avant cuisson). Enfin, le bol passe par l’émaillage et la cuisson. Une fournée, c’est 2 500 bols, pendant dix heures à 1 080°. À la sortie, on peut lire les prénoms communs, les Léa et Nicolas étant toujours aussi à la mode, mais également les prénoms inattendus, faits sur demande. Article de Laura JARRY.

30 juillet 2015

Ce week-end : Fête à St Cado

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28 juillet 2015

Trégarvan - Musée de l'école rurale en Bretagne

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http://musee-ecole.fr/

28 juillet 2015

La bolée de cidre...

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27 juillet 2015

Autoportrait

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26 juillet 2015

À Sainte-Anne, un son et lumière après le pardon

La première représentation du spectacle historique « Yvon Nicolazic, paysan breton », a lieu ce dimanche. Il raconte l’origine du pèlerinage de Sainte-Anne, qui se déroule ce week-end. 120 figurants seront sur scène.

Un spectacle historique

Créé en 2013, le spectacle « Yvon Nicolazic, paysan breton » raconte l’histoire d’Yvon Nicolazic et des habitants du hameau de Ker Anna, à Pluneret, au XVIIe siècle. Yvon Nicolazic est le paysan à qui Sainte-Anne, la grand-mère de Jésus, serait apparue plusieurs fois entre 1623 et 1625. Ces apparitions sont à l’origine du pèlerinage de Sainte-Anne-d’ Auray qui, au fil des siècles, est devenu le plus important de Bretagne. Celui-ci se déroule ce dimanche (voir le programme ci-dessous).

120 figurants

Aménagement du site, réalisation des décors, des costumes et accessoires, figurants… En tout, près de 200 bénévoles travaillent sur ce spectacle depuis le mois de mars. Dont 120 figurants amateurs. La mise en scène, elle, a été réalisée par le père Frédéric Fagot :« Le spectacle débute en 1996. Le pape Jean-Paul II vient à Sainte-Anne-d’Auray. Il va demander à l’évêque de Vannes de lui raconter l’histoire du sanctuaire. » Décliné en 25 tableaux, le son et lumière dure 1 h 38.

Un nouveau site

La grande nouveauté, cette année, c’est le site. Lors des deux premières éditions, les représentations avaient lieu au sein du sanctuaire. Cette foisci, elles se dérouleront au lieu-dit Pont er Groah, dans un champ situé derrière le Mémorial. On y trouve notamment un plan d’eau du XVIIe .« L’histoire reste la même mais la mise en scène change. C’est dû au changement de site, glisse le père Fagot.Il permet de rendre plus crédible la vie du hameau de Ker Anna. Ce lieu donne plus de forces aux scènes villageoises. » Pour recréer l’ambiance d’un village du XVIIe , cinq maisons, une chapelle, une taverne et un moulin ont été reconstitués.« On aura aussi une étable avec de vrais animaux. »

Concert en ouverture

Le spectacle sera précédé à 21 h 45 d’un concert de musique bretonne donné par le duo Nijadell. Celui-ci est composé de Fabrice Lothodé, à la bombarde, et de Jéremy Simon, à l’accordéon. Ancien directeur artistique de la Kevrenn alré - le bagad d’Auray - Fabrice Lothodé a notamment été plusieurs fois champion de Bretagne de bombarde.

Article de David DUPRÉ.

Dimanche 26 juillet, à 21 h 45. Les autres représentations se dérouleront les 27, 28, 30, 31 juillet et 1er août. Renseignements pour la billetterie au 02 97 24 09 75.

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Sainte Anne, star des pardons bretons

Le grand pardon de Sainte-Anne-d’Auray se déroule ce dimanche. C’est le plus grand pèlerinage de Bretagne.

Combien de pèlerins affluent à SainteAnne-d’Auray, dans le Morbihan, pour le grand pardon ? 20 000 ? 25 000 ? 30 000 ? Les chiffres fluctuent selon les années et les sources. Nombre de fidèles, de prêtres et d’évêques… Toujours est-il que le pardon de sainte Anne est de loin le plus important pèlerinage de Bretagne.« C’est le cas depuis son origine, en 1625. Les écrits nous disent que, dès le départ, c’est devenu le plus grand pardon de Bretagne », indique le père Guillevic, le recteur du sanctuaire de sainte Anne.

Folklore breton

Ce grand rassemblement, qui se déroule tous les 25 et 26 juillet, est donc né au XVIIe siècle. Le 7 mars 1625, sainte Anne, la grand-mère de Jésus,seraitapparueàunpaysan,Yvon Nicolazic. Deux ans plus tard, elle lui aurait fait découvrir une statue qui ornait une chapelle érigée à son nom et tombée en ruine dans un champ. C’est la naissance du pèlerinage. La première messe sera célébrée le 26 juillet 1625, le jour de la fête de sainte Anne. Près de 400 ans plus tard, le pardon de Sainte-Anne-d’Auray reste toujours aussi vivace. D’autant qu’en 1914, le pape Pie X a déclaré officiellement sainte Anne comme patronne de la Bretagne.« Certains pardons ont perdu de leur ampleur à cause de la déchristianisation de la société mais pas celui-ci », explique le père Guillevic. Sainte-Anne-d’Auray est donc l’emblème des pardons bretons. Et il en a toutes les caractéristiques. Bannières, processions mais aussi messe en breton et musique bretonne… Ce dimanche, le grand pardon de SainteAnne-d’Auray va mêler religion, tradition et folklore bretons.

Article de David DUPRÉ.

26 juillet 2015

Très bonne crêperie à Landerneau

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