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Jours tranquilles à Paris
bretagne
6 juillet 2014

Bretagne : L’art dans les chapelles : 23 sites à visiter

Pour la 23e année, le festival d’art contemporain marie créations d’aujourd’hui et art religieux. Les lieux choisis ouvrent, dans le pays de Pontivy et la vallée du Blavet.

 

Jusqu'au 21 septembre, L’art dans les chapelles invite le public à parcourir quatre circuits, afin d’y découvrir de petits joyaux de l’architecture religieuse lovés dans des trous de verdure. Dans 17 de ces chapelles, le public pourra découvrir des œuvres contemporaines d’artistes de renommée nationale, voire internationale.« Le principe du festival est le mariage, l’adéquation, le dialogue, entre l’œuvre contemporaine et le lieu, rappelle Bernard Delhaye, le président de L’art dans les chapelles.C’est ce qui fait son originalité. C’est aussi l’occasion de découvrir la région, de la redécouvrir autrement. On peut légitimement parler aussi de l’art entre les chapelles. »

Événement reconnu

Avec plus de 100 000 visiteurs chaque année, L’art dans les chapelles est devenu un événement reconnu, en Bretagne et en France. Rendez-vous culturel et artistique, il a de multiples retombées, notamment sur le plan touristique et économique.« Il a aussi, dans une certaine mesure, contribué à susciter un intérêt pour les filières touristiques, historiques et patrimoniales dans l’enseignement », se réjouit le président. Quarante guides sont recrutés pour l’occasion, issus à 80 % de ces filières. La manifestation attire des amateurs d’art de toute la France, et même de l’étranger. Si les circuits se pratiquent généralement en voiture, il existe, pour les adeptes de vacances vertes, la possibilité de louer des vélos, dont un certain nombre à assistance électrique. On les trouve aux offices de tourisme de Saint-Nicolas-des-Eaux et Pontivy. La manifestation est gratuite.

Les chapelles sont ouvertes de 10 h à 13 h et de 14 h à 19 h dimanche 6 juillet. Ensuite, les visites se feront de 14 h à 19 h tous les jours en juillet et août, puis les week-ends de septembre jusqu’aux journées du patrimoine.

Renseignements et réservations : Amis de l’art dans les chapelles, tél. 06 85 70 99 64.

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4 juillet 2014

Morbihan : Tout l’été, les chapelles dévoilent leurs secrets

L’office de tourisme d'Auray lance une opération qui permet de découvrir les trésors cachés de vingt chapelles dans le pays d’Auray. Cette année des animations familiales sont proposées gratuitement.

Huitième édition

Cette année encore, l’office de tourisme du pays d’Auray réédite son opération Détour d’art.« Chaque hiver nous nous remettons en question pour continuer à avancer et proposer des nouvelles choses au public », explique Alain Bourneau, président de l’office du tourisme. Pour cette nouvelle édition, l’équipe a fait un effort pour se rapprocher du tout gratuit. Chaque été, ce sont près de 20 000 visiteurs (des Morbihannais pour la moitié d’entre eux) qui se rendent dans les chapelles du pays alréen.

Vingt chapelles

De Camors à Pluneret en passant par Landaul et Plumergat, l’office de tourisme ouvre les portes de vingt chapelles, le temps de l’été pour Détour d’art.« Beaucoup d’entre elles sont fermées toute l’année. C’est une belle occasion pour les habitants d’ici de découvrir de l’intérieur des monuments devant lesquels ils passent souvent » , explique Virginie Morgant, responsable du projet.

Jeux de piste

La chapelle de La Trinité à Plumergat, la chapelle Sainte-Avoye à Pluneret et celle de Notre-Dame-de-Pitié à Ploemel font l’objet de jeux de piste pour les familles. Après avoir retiré une pochette colorée à l’office de tourisme, les bambins peuvent se lancer à la recherche des « clés du temps ». Charades, coloriages, découvertes des statues, pas si évident de trouver ces trois clés !

De nombreuses activités

Trois concerts sont prévus dans ces chapelles au mois de juillet. Plusieurs ateliers seront aussi proposés aux enfants à partir de 8 ans. Au programme : initiation au vitrail, fabrication d’un abécédaire du patrimoine, atelier d’enluminures, de dessins et balades nocturnes… Il y en a pour tous les goûts. Toutes les dates et renseignements se trouvent sur une carte éditée spécialement pour Détour d’art, disponible à l’office de tourisme.

Une centaine de bénévoles

Ce sont des bénévoles qui s’occupent d’ouvrir les chapelles pour l’été. Ce ne sont pas des guides, mais ils sont là pour accueillir les visiteurs.« On ne pourrait rien faire sans ces gens d’expérience » , se félicite Alain Bourneau.

Article de Anaëlle BERRE.

Informations, à l’office de tourisme, tél. 02 97 24 09 75.

4 juillet 2014

Bretagne : L’art flotte au Pays de Brocéliande

broceliande

Une douzaine d’artistes ont installé leurs œuvres sur des plans d’eau. C’est gratuit et visible tout l’été.

Étangs d’art est une biennale d’art dans la nature unique en France. En mai dernier, Étangs d’art a été lauréat des trophées de l’innovation touristique d’Ille-et-Vilaine, catégorie tourisme événementiel.« Associatif, notre collectif d’artistes est composé de professionnels tous bénévoles qui œuvrent pour la promotion de l’art sur le territoire de Brocéliande », souligne l’équipe organisatrice.

Visites guidées

Le principe des Étangs d’art est simple : une douzaine d’artistes sont invités à installer temporairement leurs œuvres d’art sur des plans d’eau. Pour cette 8e édition, Étangs d’art a choisi le thème « Imprévisible(s) ». Pour le plus grand bonheur des promeneurs qui, en plein cœur du Pays de Brocéliande, peuvent apercevoir depuis les berges, au détour d’un chemin, sur un étang ou sur une rivière, des créations originales et surprenantes. Les œuvres sont présentées jusqu’au 16 septembre. Un plan parcours est proposé. Tout en suivant le circuit fléché et en lisant les informations des cartels situés à proximité des œuvres,« Étangs d’art offre une escapade onirique et originale sur le territoire » . Le visiteur peut découvrir les œuvres librement mais il peut aussi profiter des visites guidées qui sont gratuites durant tout l’été (durée : 3 h, les 5 et 19 juillet, les 2, 16 et 30 août). Étangs d’art propose aussi trois boucles en vélo entre 12 et 25 km, à faire en famille. Renseignements et réservations. 02 99 09 06 50.

2 juillet 2014

Bretagne : les fêtes cet été

fetes

30 juin 2014

BRETAGNE : La qualité des eaux de baignade satisfaisante

En Bretagne, plus de 96 % des sites de baignade respectent les exigences de qualité. Une vingtaine de plages sont jugées « à risque ».

561 sites contrôlés

Où faut-il éviter de se baigner cet été ? Comme chaque année, l’agence régionale de santé (ARS) tente de répondre à cette question en évaluant la qualité des eaux de baignade. En 2013, en Bretagne, 561 sites de baignade en mer, 28 en eau douce, ont été contrôlés entre juin et septembre. Près de 4 700 prélèvements ont été réalisés révélant une qualité des eaux satisfaisante : 96,4 % des sites de baignade en mer respectent les exigences de qualité mircrobiologique. Le risque infectieux est donc faible.« C’est sensiblement le même pourcentage que les années précédentes » , constate Benoit Champenois, responsable du service santé et environnement à l’ARS.

22 sites à risque

Sur l’ensemble des sites contrôlés en Bretagne, vingt-deux sont jugés de qualité insuffisante. On en trouve neuf dans les Côtes-d’Armor, onze dans le Finistère et deux dans le Morbihan.« Cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas s’y baigner. Mais qu’il s’agit de sites sujets à une dégradation de la qualité de l’eau, précise le responsable santé et environnement.Le mieux est de se renseigner avant de s’y baigner. Pour éviter de se retrouver avec des maux de ventre, des irritations de la peau… » Plus d’informations : baignades.sante. gouv.fr

Les principales causes

Plusieurs facteurs expliquent la mauvaise qualité de l’eau.« Cela vient en grande majorité du système d’assainissement des eaux usées, précise Benoit Champenois.Quand il y a de fortes pluies les systèmes peuvent déborder. Plus rarement cela concerne des assainissements individuels. Les eaux peuvent transporter les déjections et faire augmenter le niveau de bactéries. » Dans les sites en eau douce, la chaleur et l’ensoleillement peuvent favoriser le développement des cyanobactéries ou de pollutions microbiologiques. Les collectivités peuvent décider de restrictions d’usage ou d’interdictions.« Reste à ne pas négliger le principal risque : la noyade. » Article de Clémence OLIVIER.

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Le palmarès des pavillons bleus, basé sur des critères de propreté des plages et de bonne qualité de l'eau de mer. En Bretagne, 17 communes sont lauréates.

La commune des Côtes d'Armor :

 - Plestin les Grèves

Les dix communes du Finistère :

- Clohars-Carnoët

- Fouesnant

- Le Conquet

- Moëlan-sur-Mer

- NevezPlougasnou

- Plouhinec

- Pouldreuzic

- Roscoff

- Saint-Pol-de-Léon

Les deux communes d'Ille-et-Vilaine :

- Saint-Briac-sur-Mer

- Saint-Lunaire

Les quatre communes du Morbihan :

- Erdeven

- Guidel

- Plouhinec

- Vannes

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30 juin 2014

Il fait bon vivre en Bretagne, les statistiques le prouvent

Environ 8 sur 10 pour la santé, 9 pour la sécurité, 8,5 pour l'éducation... La Bretagne fait partie des bons élèves comparée à 362 régions du monde. C'est le site de l'OCDE qui a attribué des notes sur dix sur la base d'une carte mondiale très fournie. 

L'espérance de vie, la qualité de l'air, la sécurité... Toutes ces données influent sur notre bien-être, qui peut donc énormément varier selon les pays et la région où l'on vit. Comment se sentent les Bretons ? Une carte interactive, créée fin juin par l'OCDE*, brosse un portrait complet du "bien-être" de la région.

Attention : chaque région de France obtient une note sur dix par rapport 362 autres régions au monde, mais elles sont aussi classées par rang au niveau national, entre 1 et 22.

L'éducation : 8,5 / 10

Qu'on se le dise : il n'existe pas de meilleure région en France en terme d'éducation! C'est ce qui ressort des données de l'OCDE, qui s'appuie sur le nombre de personnes dans la population active à avoir poursuivi ses études au moins jusqu'au niveau bac : c'est le cas de 84,3 % des Bretons.

Bénéfice sur les compétences, l'emploi, la santé, le niveau social et même la productivité de la région : le facteur "éducation" est un des plus importants.

L'engagement civiqu​e : 9 / 10

Encore une catégorie où les Bretons sont premiers de la classe : 84,7% des électeurs sont allés voter aux dernières élections présidentielles. Ce qui situe la Bretagne dans les régions de tête de l'OCDE. Une tendance qui se confirme dans les autres élections, la Bretagne étant souvent une des régions les plus civiques de France.

L'environnement : 7,2 / 10

La qualité de l'environnement a des répercussions sur la population présente mais aussi sur la population future. Dommage, les données de l'OCDE ne calculent que le taux de particules dans l'air. Mais dans ce cas, la Bretagne peut se vanter d'être au deuxième rang de France, derrière le Limousin.

Et contrairement à ce que pourraient faire croire les dernières vagues de pollution à Paris, c'est l'Alsace qui est bonne dernière.

L'emploi : 6,3 / 10

En terme d'emploi, la Bretagne est la 4e sur 22. Environ 64% de la population active travaille et le chômage est à 7,9% (un chiffre qui a depuis un peu augmenté). Un avantage considérable sur d'autres régions car l'OCDE remarque qu'entre 1999 et 2012, 40 % des créations d'emploi étaient concentrées dans 10% des régions des pays.

Une bonne santé un peu entamée par la crise mais qui laisse la Bretagne dans la première moitié au niveau mondial, loin devant les régions d'Italie ou d'Espagne. La sécurité : 9​, 4 / 10

Vivre au quotidien sans craindre pour sa vie, ce n'est pas une évidence partout. La Bretagne est ici classée 6e, dans le peloton principal, avec une moyenne d'un meurtre pour 100 000 personnes. La seule à la traîne est en fait la région PACA.

Dans le monde, la Bretagne est aussi plutôt en tête. Les pays les plus dangereux étant en Amérique du Nord et du Sud.

Les services : 8,​1 / 10

L'accès aux services, une des dimension-clés du bien-être, recouvre toutes les façons dont les gens peuvent obtenir ce qui est nécessaire pour satisfaire leurs désirs et leurs besoin. Malheureusement, les données de l'OCDE ne mesurent pour l'instant que l'accès au haut-débit internet.

Sur ce point, la Bretagne arrive 13e, avec 73,7% de connectés. Seule l'Île-de-France se détache en fait du reste des régions, largement première.

La santé : 8,1 / 10

Pour mesurer la qualité de la santé, l'OCDE s'appuie sur deux indicateurs : l'espérance de vie à la naissance et le taux de mortalité. En Bretagne, ils sont respectivement de 81 ans et 7,4 décès pour 1000 personne. Au niveau de santé, il vaut mieux habiter en Île-de-France qu'en Bretagne (au 17e rang), ou dans le Nord-Pas-de-Calais, encore derrière.

Les revenus : 5 / 10

Ne soyons pas hypocrite, l'argent a aussi un impact sur le bien-être : satisfaction des besoins, perception de notre statut social...

Si l'on retire les taxes, le revenu régional par ménage est d'environ 13 400 € par an. Ce qui le place au 12e rang de France et dans la fin de la première moitié au niveau mondial.

Les Bretons sont donc en bonne santé, bien éduqué, mais ils ne roulent pas sur l'or ! Il faut dire que toutes les régions de France se situent dans ce peloton sauf l'Île-de-France, toujours en tête.

Le bien-être breton face à 362 autres régions

Dans cette étude, la Bretagne est comparée à 362 autres régions, issues de 34 pays (les membres de l'OCDE, dont la majorité sont en Europe et en Amérique du Nord).

Bien sûr, il faut prendre en compte qu'un Etat des Etats-Unis, un Länders d'Allemagne et une région comme la Bretagne n'ont pas grand-chose en commun en terme de superficie et de pouvoir. Mais leur comparaison révèle des disparités flagrantes... Et la Bretagne s'en tire avec les honneurs. Breizh Sweet Breizh ! Source : site France 3 Bretagne

*L'Organisation de Coopération et de Développement Économiques

L'étude complète de l'OCDE est disponible ici.

30 juin 2014

Le festival photo de La Gacilly en ce moment en Bretagne

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29 juin 2014

Ile de Groix - Morbihan

27 juin 2014

Festival Photo de La Gacilly

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25 juin 2014

Dubuffet l’insoumis exposé à Landerneau

Qui était Jean Dubuffet, qualifié d’Insoumis par la Fondation Leclerc, à Landerneau, qui lui consacre sa grande exposition d’été ? Un enfant du Havre, né en 1901. Petit, il dessine. Mais lorsque, jeune homme, il intègre la prestigieuse académie Julian à Paris, c’est pour en claquer la porte six mois plus tard. L’intellectuel, se passionne pour les créations de celles et ceux qui font de l’art sans s’en rendre compte. Pour définir ces œuvres, il invente le terme d’art brut. Lassé de côtoyer le tout-Montparnasse, il se frotte à la vraie vie en créant un commerce de vin, à Bercy… Mais l’appel de la peinture est plus fort. En 1942, à 41 ans, il décide 1961 est une année charnière. Le musée des Arts décoratifs vient de lui consacrer une grande rétrospective et il commence à mettre au point un catalogue raisonné. Dans cette huile, il met en scène l’agitation de la rue avec ses enseignes, ses personnages, ses voitures, en renouant avec les couleurs vives. » de s’y consacrer totalement. En 1967, le touche-à-tout inclassable, qui a toujours rejeté les institutions culturelles et leur « asphyxiante culture » fait un premier don de ses œuvres au musée des Arts décoratifs, avant de créer, en 1973, sa propre fondation. Il décède le 12 mai 1985, à Paris. En rassemblant les deux collections – une première – le Fonds Hélène et Édouard Leclerc met en lumière une œuvre singulière du XXe siècle, au fil de 210 dessins, sculptures, maquettes d’œuvres monumentales… Article de Nelly CLOAREC.

Dubuffet, l’insoumis , jusqu’au 2 novembre. fonds-culturel-leclerc.fr

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