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Jours tranquilles à Paris
reflexion
14 juillet 2016

Réflexion

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24 juin 2016

Faisons "amis-amis" !

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6 juin 2016

Voilà qui est dit...

Ce n est pas parce que vous êtes jolie et ou bien foutue que vous êtes modele photo ...

Ce n est pas parce que vous avez un numérique a x millions de pixel et un objectif dernier cri , que vous êtes photographe ...

5 juin 2016

Réflexion

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29 mai 2016

Réflexion

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28 mai 2016

Je de rôles

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Liberation.fr

Je de rôles

Des artistes des années 60 jusqu’aux selfies, la Tate Modern interroge la relation entre photographies et performances, explorant sous toutes ses formes le jeu des apparences dans nos sociétés.

Photo : Extrait de la série "Strip", 1999-2000, de Jemima Stehli.

22 mai 2016

Réflexion

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Photo de Terry Richardson

22 mai 2016

To be or not to be, that is the question ?

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2 mai 2016

Réflexion

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29 avril 2016

Abdeslam. Comment défendre un «monstre»

Mais comment peut-on défendre des gens pareils ? Qualifiés de monstres, d'ennemis publics numéro un, les grands criminels, terroristes ou tueurs d'enfants ont tous eu des avocats (Me Frank Berton est l'un de ceux qui défendent Salah Abdeslam). Un principe démocratique pas toujours facile à assurer, entre cas de conscience et stratégie de défense. « Oui, j'ai hésité », a confié, mercredi, Me Frank Berton, avocat français de Salah Abdeslam, seul membre vivant des commandos des attentats du 13 novembre, rappelant la difficulté d'un métier « où souvent on assimile l'avocat à son client ». Son confrère belge, M e Sven Mary, a confié à Libération qu'il hésitait à rester dans ce dossier qui lui a déjà valu des agressions verbales et physiques, et l'a contraint à faire protéger ses filles sur le chemin de l'école. « Bien sûr qu'il y a des gens qui ne comprennent pas quelle est la mission qui est la mienne aujourd'hui (...) mais nous sommes dans une démocratie et Salah Abdeslam est un homme, il a besoin de dire les choses. La justice se rend quand on comprend les choses, sinon il n'y a pas de sens aux procès, pas d'utilité pour les victimes », a fait valoir Frank Berton sur France 2. Des stratégies différentes De Landru, le tueur de femmes, à Youssouf Fofana, l'assassin d'Ilan Halimi, en passant par Patrick Henry, tueur du petit Philippe Bertrand, la question de la défense d'hommes considérés par l'opinion publique comme des « monstres » s'est toujours posée. Et les avocats y ont répondu par des stratégies différentes. Défenseur de Barbie, Khieu Samphân ou Milosevic, Me Jacques Vergès transformait les prétoires en tribunes politiques. Il appliquait une défense de rupture, expérimentée durant la guerre d'Algérie dans la défense des poseurs de bombes du FLN, consistant à récuser le droit des tribunaux à juger ses clients. À l'inverse, Sven Mary a traité son client Salah Abdeslam, avec son accord, de « petit con », une stratégie visant à minimiser sa responsabilité.

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