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Jours tranquilles à Paris
15 juillet 2017

Concorde Art Gallery - PHILFRI - actuellement

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Peintre

Philfri, est un artiste Parisien. Après des études artistiques de haut niveau, au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris ainsi qu'a l'école Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, il mènera en parallèle sa carrière de plasticien et de musicien et se produira sur les plus grandes scènes mondiales.
Dans le domaine des arts plastiques, il a toujours été fasciné par le sombre et l'obscur, avec cette attraction pour l'étroite familiarité que le noir entretient avec la lumière. C'est en 2009 que naît l'envie d'un projet artistique autour de l'univers de l'érotisme et du fétichisme; il explore alors, la relation entre l'identité humaine et la sexualité et s'intéresse plus particulièrement aux notions de fantasmes ou de rapports de force (conflits intérieurs, tabous sociaux, domination et soumission, etc.)
Sa peinture exprime aujourd'hui toute la richesse et la beauté de ce fabuleux théâtre humain.

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15 juillet 2017

Crazy Horse de Paris

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14 juillet 2017

Feu d'Artifice 2017 - Paris

14 juillet 2017

Concert de Paris et Feu d'Artifice à Paris

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14 juillet 2017

Hommage à Nice: Submergé par l'émotion, Calogero ne peut finir sa chanson

« On allait au feu d’artifice, voir ces étoiles de pas longtemps… » Le cœur se serre. Calogero au piano. Ce sont les familles des victimes elles-mêmes qui ont demandé que cette chanson soit jouée pour rendre hommage à leurs proches décédés pour quelques minutes d’émerveillement en bord de mer. Il est un peu plus de 22h30. La foule présente en grand nombre à ce concert hommage vient d’observer une minute de silence, un an exactement après que le camion fou ait fauché 86 vies sur la Promenade des Anglais, le 14 juillet 2016.

La chanson est douce, calme. Souvenir de ces moments d’innocence que sont les feux d’artifice de l’enfance. Derrière, les violons de l’orchestre philharmonique de Nice portent le chanteur. Soudain, les larmes. Calogero réessaie. Il ne pourra pas. La tête entre les mains, près des touches de son clavier. Trop ému, l’artiste ne finira pas sa chanson. Bouleversé, le public se lève et l’acclame, longuement.

« Ça me rappelle tout »

Le moment touche en plein cœur Lionel. Il y a un an, lui aussi était là. Il a échappé de peu à ce camion. La chanson de Calogero le replonge soudainement dans cette soirée d’horreur. « Ça me rappelle tout, confie-t-il, les yeux embués. Les gens qui courent, qui crient. » "C’est un hommage magnifique, enchérit Hélène, visiblement émue. Très beau."

Les familles des victimes sont là, tout près de l’artiste. Au son de l’orchestre, elles se lèvent un à un et se rassemblent autour d’un immense cœur. Chacune se saisit d’un des 86 ballons disposés là. Puis c’est le moment de lâcher les bulles blanches, pour rejoindre ceux qui sont aussi là-haut. Certains éclatent en sanglot. On se serre dans les bras, pour se soutenir. Et les têtes se lèvent, regardant les ballons disparaître peu à peu dans la nuit claire. C’était il y a un an.

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14 juillet 2017

Nice: 86 faisceaux lumineux éclairent le ciel de la Promenade des Anglais

14 juillet 2017

Nice s'apprête à commémorer ses martyrs du 14-Juillet

Quatre-vingt-six bougies allumées ce matin - une pour chaque victime -, 86 faisceaux illuminés ce soir, une allocution solennelle du chef de l'État : Nice va commémorer dans l'émotion, aujourd'hui, le premier anniversaire de l'attentat au camion fou commis contre la foule venue fêter le 14-Juillet, l'an dernier, sur la Promenade des Anglais. Soixante-seize familles de victimes décédées ou blessées dans cette attaque revendiquée par Daesh ont confirmé leur participation à cette cérémonie. La population est invitée à venir remplir un livre d'or et à déposer des plaques bleu-blanc-rouge sur le trottoir. Il n'y aura aucun feu d'artifice dans le département des Alpes-Maritimes. 

https://www.pscp.tv/w/1BRJjyzvRPBGw

14 juillet 2017

Trump-Macron : à qui profite le show ? – Source : Libération

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Trump-Macron : à qui profite le show ?

Côté américain

Les relations entre les Etats-Unis de Donald Trump et la France d’Emmanuel Macron ont commencé, lors du G7 en Sicile le 25 mai, par une virile poignée de main. Un bras de fer, même, commenté par les médias internationaux, qui avaient trouvé leur champion : «Il n’a fallu que six secondes à Macron pour prendre Trump à son propre jeu et montrer au monde qu’il y a un nouveau leader sur la scène internationale», assénait Bloomberg.

Avant cela, il y a eu le «Paris n’est plus Paris» martelé par Trump, lors des références fréquentes à son mystérieux «ami Jim» qui n’irait plus en France à cause de l’insécurité et du terrorisme. En face, il y a eu la pichenette du «Make our planet great again» de Macron, pastiche du slogan du candidat républicain et critique explicite de la position de Trump sur le réchauffement, après la sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris. Mal parties, les relations franco-américaines ? Alors que le président américain est en France pour deux jours, les deux hommes pourraient cependant s’accorder sur certains sujets.

«Cette visite, c’est l’occasion pour Trump d’atténuer sa rhétorique anti-France, quand il décrivait Paris comme une ville dangereuse, avec des quartiers régis par la charia, note l’écrivain et journaliste Alexander Stille, professeur de politique internationale à l’Université de Columbia (New York). Il s’est beaucoup servi de la France et de la réponse politique française au terrorisme comme d’un repoussoir.» Donald Trump avait tout intérêt à accepter cette invitation d’Emmanuel Macron. Elle offre une diversion bienvenue aux révélations sur les interférences russes dans la campagne américaine (lire pages 6-7), ou aux difficultés des républicains, qui rament à sécuriser une majorité sur l’assurance santé. Le tout pour un événement consensuel et symbolique : assister au défilé militaire du 14 Juillet, et célébrer le centenaire de l’engagement des soldats américains dans la Première Guerre mondiale. «Trump n’a franchement pas besoin de nouveaux ennemis, avance Stille. C’est l’occasion d’une belle photo, de poignées de main et de discours faciles sur la paix et la liberté.»

«Potentiel de déboires»

Comment Donald Trump aurait-il pu refuser ? Selon le Washington Post, c’est même la promesse d’assister au spectacle d’un défilé militaire grandiose - 211 véhicules, 341 cavaliers et 63 avions - qui aurait décidé le président américain, visiblement féru d’uniformes, à venir. «La France est le plus vieil allié des Etats-Unis, rappelle Nicholas Dungan, directeur de recherches à l’Iris et spécialiste de la relation transatlantique. Macron va le promener aux Invalides, le faire dîner à la tour Eiffel, lui montrer les Champs-Elysées et un défilé militaire comme il n’en a jamais vu… L’intérêt pour Macron, qui d’ailleurs n’invite pas Trump en tant que Trump mais en tant que président des Etats-Unis, est clair : s’il arrive à apprivoiser Trump dans une certaine mesure, il limite le potentiel de déboires à venir.»

Les deux hommes sont, à l’évidence, très différents. «Ils ont accédé à la présidence en prônant des visions du monde opposées : Macron est un proeuropéen, partisan du libre-échange, tandis que Trump est pour la fermeture des frontières, "l’Amérique d’abord" et le protectionnisme», déroule la revue Foreign Policy. Mais les parallèles ne manquent pas : personne ne les a vus venir, ils sont novices en politique, issus du secteur privé… L’hebdo conservateur The Washington Examiner en fait même de «bons amis», citant les «longues séquences en privé prévues avec Macron».

Vaseline

Les deux pays entretiennent depuis toujours d’étroites relations dans le renseignement, le terrorisme et le commerce. «Ce sont des intérêts de très long terme, qui dépassent largement les personnalités au pouvoir», remarque Alexander Stille. «Macron et Trump sont parfaitement alignés sur la question syrienne et sur celle du terrorisme», ajoute Dungan. Macron avait d’ailleurs applaudi les frappes de l’administration Trump contre la base aérienne d’Al-Shayrat après l’attaque chimique de Khan Cheikhoun par l’armée de Bachar al-Assad. Au défilé, la poignée de main entre les deux hommes sera en tout cas déterminante «pour rendre sa grandeur à l’Amérique», raille Newsweek, qui a donné quelques conseils à Trump, tels que s’enduire les mains de vaseline. «Idéal pour décontenancer Macron : quand il voudra serrer la main du Président avec son énergie habituelle, il se retrouvera avec une main aussi fuyante qu’un poisson mort. 1-0 pour l’Amérique.»

Côté français

Versailles pour Poutine, les honneurs militaires et «un dîner entre amis» à la tour Eiffel pour Trump. Quand il s’agit de recevoir les croque-mitaines de la scène internationale, Emmanuel Macron ne s’interdit rien. Le timing et le décorum de la visite du président américain se justifient officiellement par le centenaire de l’engagement des Américains dans la Grande Guerre. Quiconque conteste la présence «naturelle», dixit Macron, du magnat de l’immobilier en France, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon ou du hollandais Stéphane Le Foll, ne fait qu’alimenter «une polémique un peu indigne», de l’avis du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner.

Concassage

Emmanuel Macron s’est, lui, «étonné» de ces «protestations», rappelant le «partenariat multiséculaire» qui unit les deux puissances. S’il reconnaît des «désaccords» sur le climat (évoqué «très brièvement» a insisté Trump) et le commerce, les deux hommes ont surligné leur «point de convergence essentiel», soit «l’éradication du terrorisme», lors de leur conférence de presse commune jeudi soir. Quitte, dans le cas de Macron, à s’aligner sur la doctrine trumpiste, notamment sur «l’abandon du départ de Bachar al-Assad comme condition préalable à l’intervention de la France» dans les discussions sur la Syrie.

La visite de Trump est surtout «l’occasion de parler des terrains d’intervention extérieure», en Syrie, mais aussi en Libye, explique le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. Pour le reste, «il y a une dimension psychologique, presque une manipulation, dans le traitement de Trump par l’Elysée»,remarque la chercheuse Laurence Nardon (Ifri). Il y a d’abord eu, lors du sommet de l’Otan fin mai, ce concassage de phalanges en guise de «moment de vérité», comme l’a qualifié Macron dans le JDD, façon de manifester son «refus de la plus petite concession, même symbolique». Un numéro qui avait ulcéré la Maison Blanche, la presse américaine y voyant même l’une des raisons ayant précipité la sortie du pays des accords de Paris sur le climat. Décision à laquelle Macron avait répondu par son «Make The Planet Great Again», parodie du slogan de campagne trumpiste. Après ces deux épisodes, le président français a opéré un revirement. Lors du sommet du G20, il a multiplié les effusions avec son homologue américain devant les caméras. Jeudi, en sortant de sa limousine aux Invalides, Trump a eu droit à une poignée de main de bon copain et aux bises de Brigitte Macron. Pour le locataire de la Maison Blanche, Macron est désormais «un super président, un dur».

Cour de récré

Dans une première phase, «Macron a cherché à établir son autorité face à Trump le «bully», le petit caïd, comme le surnommait Hillary Clinton, en reprenant ses codes, rappelle Laurence Nardon. Là, nous sommes dans le deuxième temps : Macron veut passer du «bully» au «buddy» [le copain, ndlr]». Une stratégie de cour de récré assumée par Castaner : «Soit on dit «il est pas sympa», on l’aime pas et on lui parle plus», soit on le «ramène dans le cercle». Une diplomatie du «j’humilie puis je cajole» , qui ne convainc pas tous les spécialistes : «Trump est très difficile à raisonner, et travailler avec son administration est extrêmement compliqué car même eux se méfient de lui», rapporte un ex-conseiller de Macron.

Aussi, «Macron risque d’abîmer son capital image en s’affichant avec Trump passant les troupes en revue», analyse Laurence Nardon. Toujours plus isolé, Trump est un actif diplomatique «racheté à la baisse», pour reprendre la formule de l’éditorialiste Bernard Guetta. «Macron prend avantage d’une situation inédite, en bon pragmatique, remarque le politologue Denis Lacorne. Il a compris que si, idéologiquement, quasiment tout l’oppose à Trump, ce dernier admire les «gagnants», et c’est là-dessus qu’il veut jouer.» La conviction d’être un winner, voilà qui parle aux deux hommes.

fete nationale

  • emmanuelmacron Durant notre histoire, nous avons toujours trouvé des alliés sûrs, des amis, qui sont venus à notre secours.
    Les Etats-Unis d’Amérique sont de ceux-ci. 
    C’est pourquoi, rien ne nous séparera jamais.
    La présence à mes côtés du Président des Etats-Unis, Monsieur Donald Trump et de son épouse, est le signe d’une amitié qui traverse les temps.
    Merci aux États-Unis d’Amérique pour le choix fait il y a cent ans.

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  • https://www.pscp.tv/w/1ypJdlbNBrnJW

14 juillet 2017

Chine. Décès du prix Nobel Liu Xiaobo

Le dissident Liu Xiaobo, premier Chinois à avoir obtenu le prix Nobel de la paix, est décédé, hier, d'un cancer, sans que le régime communiste ne le laisse finir ses jours en liberté à l'étranger. Le comité Nobel de la paix a accusé la Chine de porter « une lourde responsabilité » dans la mort « prématurée » de l'opposant en le privant de soins médicaux adaptés. Âgé de 61 ans, ce symbole de la lutte pour la démocratie avait été admis à l'Hôpital universitaire N° 1 de Shenyang après plus de huit années passées en détention. Liu Xiaobo avait été arrêté, en décembre 2008, puis condamné, un an plus tard, à onze ans de prison, pour subversion. Le régime lui reprochait d'avoir corédigé un manifeste, la « Charte 08 », prônant des élections libres. Ancienne figure de proue du mouvement démocratique de Tiananmen en 1989, bête noire du régime communiste, l'écrivain et professeur de littérature avait bénéficié d'une mise en liberté conditionnelle après le diagnostic, en mai, d'un cancer du foie en phase terminale.

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14 juillet 2017

Street Art à la Cité Universitaire - ATTENTION derniers jours !

Jusqu'au 16/07/2017 // Gratuit

Un parc magnifique, un laboratoire d'architecture du XXe siècle à ciel ouvert, la Cité internationale universitaire est un lieu de balade privilégié en été. Avec le projet « Rehab 2 », elle sera sûrement l'un des spots de street art les plus chauds de l'année ! La Maison des Arts et Métiers est investie par une centaine d'artistes urbains ...

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DSCN6026Photos : Jacques Snap

STREET ART. Savourez 12 000 m 2 de graffiti. Un dispositif hors-norme du collectif Bitume street art qui a eu carte blanche pour s’exprimer sur les sept étages de la maison des Arts et Métier de la Cité U avant sa rénovation. Vous avez jusqu’à dimanche pour émerveiller vos pupilles des fresques de l’opération Rehab 2.

Jo di Bona, JM Robert, CharlElie Couture (oui, oui, le chanteur !) et Kessadi vous enverront des bombes que vous tâcherez de ne pas oublier. Plus de cent artistes y sont impliqués !

Une guinguette sert de décor aux plus assoiffés. Et pour encore plus de fun, cinq équipes s’affronteront en « battle » d’aérosols demain de 18 h 30 à 22 heures. Attention aux projections ! A.L.

Quoi : Rehab 2. Où : Cité U, 17, place Jourdan (XIV e). Quand : jusqu’à dimanche de 10 heures à 22 heures. Combien : participation libre. Se renseigner : http://rehab2.fr

 

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