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Jours tranquilles à Paris
9 mars 2016

Pont Aven

Le 26 mars, le nouveau musée de Pont-Aven ouvrira ses portes au public après trois années de travaux. Ce magnifique écrin de 2.000 m² - soit 1.150 m² de plus qu'avant - a nécessité huit millions d'euros d'investissement. Doucement, mais sûrement, les choses se mettent en place dans l'ancien hôtel Julia où étaient hébergés les prestigieux peintres de l'École de Pont-Aven. Éliane Caradec, agent d'accueil au musée de Pont-Aven, se tient debout derrière son petit bureau provisoire. Dans moins de trois semaines, elle le troquera pour un vaste guichet. Derrière elle, les ouvriers s'affairent pour que le nouveau musée ouvre à temps. Dehors, un long camion belge vient livrer du mobilier. « On accueille toujours le public, explique-t-elle. Le musée est passé hors les murs. Notre boutique est toujours ouverte et on poursuit nos activités en direction des scolaires. On a vraiment hâte que ça ouvre. Et de montrer au public ce que l'ancien musée est devenu. » Des flux de circulation très cohérents En découvrant le chantier, on a du mal à s'imaginer que tout sera prêt à temps. « Pourtant les choses avancent, atteste Estelle Guille des Buttes-Fresneau, conservatrice du musée. Nous n'avons que trois mois de retard sur le calendrier initial. Ce qui est peu pour un chantier de cette envergure. » La conservatrice dit avoir été tout de suite enthousiasmée par cette aventure. « En 2006, quand ma candidature a été retenue pour le poste, ce projet était déjà dans les cartons. Je m'en suis emparée tout de suite. » En 2008, est lancée l'étude de programmation sur le site de l'ancien hôtel Julia. Puis le concours d'architectes. Pas moins de 83 cabinets postuleront ! « Du jamais vu. Les candidatures venaient de partout. D'Italie, de Suisse, des USA », poursuit Estelle Guille des Buttes-Fresneau. C'est finalement l'Atelier de l'Ile, qui a une antenne à Brest, qui remportera le marché. « Leur grand atout a été une gestion optimale de l'espace et des flux de circulation du public très cohérents. » Puis, il y a trois ans, il a fallu décrocher les oeuvres et vider les réserves pour faire place nette aux ouvriers. « Un crève-coeur », se souvient Lionel Lucas, un des agents du musée. C'était vide. « Les pièces résonnaient. »   Dans les jours qui ont suivi, les centaines d'oeuvres et documents étaient transférés à la réserve muséographique départementale (lire ci-contre). Exceptées 144 toiles, prises en charge par des restaurateurs pour une cure de jouvence. Les mois ont passé et le résultat est surprenant. « Regardez l'immense verrière qui surplombe Pont-Aven. Elle a été refaite à l'image de celle que connaissait Gauguin. On a fait de cette pièce une salle de réunions et non pas un bureau. Ça aurait fait des jaloux. » Les salles d'expositions - temporaires et permanentes -, elles aussi, ont été très bien pensées. Leur tracé reprend celui des anciennes chambres. Et la plupart des murs sont colorés. « Le blanc éteint souvent les oeuvres », précise la conservatrice. À découvrir, également, un très joli jardin intérieur, inspiré d'un tableau de Filliger représentant les rochers du Pouldu. 350 oeuvres Mercredi dernier, l'accrochage des quelque 350 oeuvres a débuté. Dans chaque pièce, elles ont été prépositionnées délicatement, à même le sol. « Cela nous donne une vision d'ensemble pour vérifier la cohérence, précise la conservatrice. On a volontairement programmé plus d'oeuvres qu'on ne peut exposer. Ça nous laisse une plage de liberté ». Des toiles à restaurer Dans la réserve, Isabelle Chochod, restauratrice d'art à Quimperlé, est venue prendre possession des dernières toiles à restaurer. « Le musée m'en a confié des dizaines ces derniers mois. Elles étaient dans un bon état de conservation et n'ont pas généré de grosses interventions. Juste quelques petites altérations, comme de légères craquelures, qui ont nécessité des remises en état de présentation », explique-t-elle avant d'enfiler ses gants. « La peau peut-être acide ou grasse. Ça peut altérer les oeuvres ».

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8 mars 2016

Homo Algus. Étranges créatures éphémères

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 La première génération d'Homo Algus, en 2012, avait vécu un mois. Sophie Prestigiacomo, plasticienne, prévoit à présent d'exposer huit spécimens tout au long de l'été dans les marais de Séné.

De l'australopithèque à l'homo sapiens, le bipède le plus connu au monde a-t-il vraiment évolué vers plus de sagesse ? Sur les côtes du golfe du Morbihan, a émergé un nouveau maillon : l'Homo Algus. Cette créature, imaginée par la plasticienne sinagote, Sophie Prestigiacomo nous interroge justement sur notre nature... Les fossiles, qui nous permettent de mieux comprendre notre passé, sont un cadeau de la sédimentation. Un bout de squelette ou une empreinte piégés dans la vase, et des milliers d'années plus tard, ils ouvrent le chemin de la connaissance. Mais dans le golfe du Morbihan, la vase a, elle, donné naissance à un nouvel homme : l'Homo Algus. Le fruit d'une intense recherche. « L'atelier est pour moi un laboratoire », raconte la plasticienne Sophie Prestigiacomo. « Je suis convaincue qu'arts et sciences ont de nombreuses parentés et réservent de belles rencontres ». Un sentiment partagé par l'un des plus célèbres paléontologues, Yves Coppens, puisqu'il est devenu il y a quelques jours le parrain de la toute nouvelle association « Homo Algus 2016 ». Défis artistiques Mais comment est apparu ce « maillon de réconciliation entre l'homme et la nature » ? « Je me suis toujours sentie décalée », sourit Sophie Prestigiacomo, sa créatrice. Peut-être parce qu'elle est « née en Tunisie d'une mère française et d'un père d'origine italienne » ? Ou parce qu'elle a toujours posé un regard d'enfant, plein de poésie et d'imagination sur son environnement ? Elle a choisi les Beaux-Arts, à Paris, comme une évidence. Et l'art in situ ou le land-art comme une seconde nature, avec aussi l'envie de la défendre. Au Futuroscope, elle a ainsi donné vie aux arbres en les faisant s'asseoir. Elle peut tout aussi bien faire monter un chêne à bord d'une plate, en bord de mer. Pourtant, quand le promeneur croise ces étranges apparitions, elles semblent totalement naturelles. « L'important est de ne jamais perdre de vue le rêve que l'on a eu », confie l'artiste. Comme le sportif de haut niveau offre l'impression de facilité, la technique, les défis qui se sont posés à l'artiste, doivent s'effacer, qu'elle travaille la pierre ou le papier, sous le soleil comme sous la pluie. Depuis 2010, après un tro breizh en camping-car, Sophie Prestigiacomo a posé son sac au pays des korrigans. « Pour le côté à la fois très vivant et quand même sauvage de la Bretagne, pour la douceur du Golfe », explique-t-elle. Elle a eu bien vite envie d'y investir le paysage. Amener les promeneurs vers l'art Avec d'autres amis plasticiens, amateurs et professionnels, elle crée un embryon de festival biennal en 2012 : « Les sentiers de curiosité ». « Il y a plein de choses à raconter avec la nature ». Son rêve ? Donner envie à la population, aux élus, d'installer régulièrement des oeuvres plus ou moins éphémères tout autour de la Petite Mer. Une manière d'amener les promeneurs vers l'art et les passionnés d'art vers la nature... La première édition a donné un échantillon des possibles sur quelques centaines de mètres. Elle-même a arpenté et ré-arpenté le chemin en bas du bourg de Séné. La nature lui a soufflé son inspiration. « Si vous aviez vu ces algues sur la laisse de haute mer ! C'était une peau, une peau humaine, posée sur la vase », raconte-t-elle, l'oeil pétillant. « J'adore la vase. Il y a plein de façons de la voir. Dès qu'on laisse place à l'émotion, les idées arrivent toutes seules ». Chez elle, elles bouillonnent comme les courants impétueux du Golfe. Homo Algus était né. Une première fois. Remettre la main à la vase « Mon plus beau cadeau, c'est que cette aventure m'a dépassée. Cette création a sa vie propre ». D'autant que cette année-là, Séné vit une autre naissance : celle d'un centre culturel où les habitants sont partie prenante. Au fil des saisons, la plasticienne, sensible à cette démarche, s'implique dans la vie culturelle de la commune. Si bien qu'Homo Algus, qui a marqué les esprits, finit par la rattraper. « On ne pouvait pas rester sur ce dialogue inachevé », plaide Martine Lebel-Guillon, présidente de l'association Homo Algus 2016. Leur retour doit donc se faire dans quelques mois dans l'écrin de la réserve naturelle nationale des marais de Séné. L'artiste va remettre la main à la vase. Elle imagine, cette fois, jouer avec l'eau et les reflets. Comme à Séné, culture rime avec participation, une campagne a été lancée sur le web pour permettre à d'autres de s'investir dans le projet et collecter 6.000 €. Car cette fois, c'est une petite communauté de huit Homo Algus qui, au milieu des oiseaux migrateurs, viendra nous chuchoter combien, depuis Lucy et même avant, l'homme est lié à la nature. Article de Catherine Lozac'h in Le Télégramme

8 mars 2016

ERDEVEN - Salon du Livre

La qualité plus que la quantité. La formule résume bien la deuxième édition erdevennoise du Printemps des écrivains, dimanche à la salle du Grand-Large. Car si la fréquentation a marqué un peu le pas au regard du lancement, il y a un an, la plupart des auteurs et éditeurs présents se félicitaient des contacts et rencontres avec le public et les lecteurs, du nombre de dédicaces réalisées, mais aussi de la bonne organisation et disposition et de l'accueil réservé. À l'instar de Renaud Marhic, « volontaire pour revenir », ou de Patrick Huchet, qui jouait un peu le rôle de local de l'étape, en tant que Mendonnais d'origine, heureux d'avoir rencontré beaucoup de connaissances, de lecteurs fidèles, et même de participants aux balades qu'il animait autrefois sur le chemin de Cadoudal. Axée sur les mers, le voyage, l'aventure et la découverte, cette édition affichait la couleur dès l'entrée avec l'équipe d'organisation revêtue de costumes de corsaires. Un clin d'oeil apprécié. Et pour illustrer cette thématique, Eugène Riguidel, l'invité d'honneur, a charmé l'auditoire de sa « causerie » ? une soixantaine de personnes ? et se réjouissait d'avoir retrouvé, à ses côtés, Michel Politzer, un de ses compagnons dans la lutte contre la centrale nucléaire d'Erdeven, en 1975. Rendez-vous a été pris pour 2017, en revoyant des détails d'affichage, notamment, voire de communication, pour que davantage de visiteurs et lecteurs bénéficient de cette fête du livre à la formule réussie et appréciée.

5 mars 2016

ERDEVEN - Eugène Riguidel

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1 mars 2016

A Ploërmel, faute d’investisseurs, le couvent du Sacré-Cœur sera démoli

Après dix ans d’études et de tractations, Patrick Le Diffon, maire de Ploërmel, a mis fin aux interminables débats sur l’avenir du SacréCœur, lors du dernier conseil municipal. Une seule solution s’impose : sa destruction. Une décision qui n’a fait l’objet d’aucun commentaire des élus, que ce soit de l’opposition ou de la majorité. Construit en 1630, le bâtiment avait été acheté aux sœurs de Kermaria par la mairie en 1996 afin d’y installer un centre culturel, un projet rapidement enterré. En 2006, un incendie ravage les lieux. « Depuis 2014, nous avons entamé des démarches pour réhabiliter le Sacré-Cœur. Trois sociétés ont réalisé des projets, aucun n’a abouti », déclare le premier adjoint, Lucien Le Borgne. La décision de démolir se trouvera rapidement entre les mains du préfet de région. En attendant, la mairie devra décider de ce qu’elle souhaite conserver du Sacré-Cœur.

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28 février 2016

Miss Morbihan

Gourin. Maurane Bouazza élue Miss Morbihan. L'élection de Miss Morbihan 2016 s'est déroulée vendredi soir, à Gourin (56), devant 450 personnes. Quatorze candidates se sont présentées sur scène. L'écharpe de Miss Morbihan a finalement été décernée à Maurane Bouazza, 19 ans, 1,74 m, de Plumelin. Elle est en licence d'information et de communication à Rennes II. Elle envisage de devenir journaliste. La première dauphine est Rosalie Pépin, 23 ans, de Ploemeur et la deuxième dauphine est Fanny Le Bruchec, 19 ans, de Guidel. Les trois gagnantes sont qualifiées pour l'élection de Miss Bretagne qui se déroulera le 30 septembre, toujours à Gourin.

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23 février 2016

ETEL = Ancienne criée : la poissonnerie sera maintenue

A la suite de l’annonce de la vente de l’ancienne criée, le maire Guy Hercend tient à préciser : « L’activité poissonnerie à la glacière d’Etel est et sera pérennisée dans l’opération de cession prévue à la municipalité dans le but d’y installer le musée. » Un accord a bien été signé pour la vente de ce bâtiment jeudi à Étel.

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22 février 2016

ETEL : Au musée, une exposition sur la tempête de 1930

L’année va être bien remplie pour le Musée des thoniers. De nombreuses animations sont prévues, dont une grande exposition sur la tempête de 1930.

La tempête de 1930, qui a fait des dizaines de morts sur le littoral breton, a marqué les mémoires. À partir de cette tempête, le Musée des thoniers se pose la question : comment les techniques de sauvegarde et de secours aux marins et aux navires ont-elles évolué ? Ce sera le thème de l’exposition principale du musée qui se déroulera entre mai et novembre.

Des documents recherchés

Des artistes peintres réputés comme Jean-Pierre Rousseau, Annick Ropers, Jacques Courtois ou encore Patrick Bertholom, vont réaliser des œuvres spécifiques. « Je lance un appel à tous ceux qui posséderaient des clichés ou autres documents qui illustreraient ce drame, afin qu’ils prennent contact rapidement avec le musée, lance le président Michel Le Leuch. Nous travaillons en liaison avec les archives départementales, les musées maritimes des ports de pêche thonière, Concarneau, Groix, Les Sables-d’Olonne, l’île d’Yeu, La Rochelle, pour dresser un tableau le plus complet possible des événements. »

Evolution du sauvetage en mer

En prolongement de ce thème, le musée traitera également l’évolution du sauvetage en mer et plus particulièrement à Étel. Le Crossa va célébrer cette année son 50e anniversaire. Un second thème sera développé en partenariat avec SainteAnne-d’Auray, Saint-Dégan et Étel : comment vivait-on dans le pays d’Auray fin XIXe et début XXe ? Le Musée des thoniers se chargera de la partie maritime, Saint-Anne-d’Auray des aspects religieux et Saint-Dégan du monde agricole. Des conférences seront organisées. Le projet d’installation du musée dans l’ancienne criée se préparait déjà dans la tête des bénévoles depuis plusieurs mois. La piste d’un concept muséographique mettant en valeur la mer et les océans, sous tous leurs aspects nouveaux, est évoquée avec par exemple les modifications du trait de côte, le cycle des tempêtes, les ressources de la mer et leur préservation, les énergies renouvelables, la biodiversité…

Une entité commune

Le Musée de la marine a décidé de fermer sa salle d’exposition dédiée au sauvetage dans la Citadelle de Port-Louis. « L’occasion nous paraît belle de réactualiser un projet élaboré par notre association il y a 10 ans, qui consisterait à réunir en une entité commune, pourquoi pas le musée l’abri actuel du canot Patron Émile Daniel et le sauvetage en mer ? » s’interroge Michel Le Leuch. De belles perspectives pour les années à venir. Article de Isabelle JÉGOUZO.

20 février 2016

ETEL = Glacière : marché conclu entre la Ville et les propriétaires

Le maire vient de l’annoncer : le projet d’acquisition au port vient d’aboutir. Une bonne nouvelle pour Etel, la façade maritime du pays d’Auray et le Musée des Thoniers…

C’est acté. Marché conclu, jeudi, entre la Ville d’Etel et Géraldine et Jacky Le Délaizir, les propriétaires de l’ancienne glacière du port. Site architectural emblématique et historique d’Etel, la glacière érigée au lendemain de la Seconde guerre est promise à nouvel avenir. Quelque 2 100 m2 sur trois niveaux à réhabiliter et restaurer dans les règles de l’art. Lors de ses vœux, Guy Hercend, le maire, avait souligné le bon avancement des négociations. Avec cet accord, un pas décisif vers la redynamisation de la façade maritime ételloise est bel et bien franchi. « Nous nous rendons acquéreurs des lieux en coopération avec l’établissement public foncier de Bretagne qui en sera nu-propriétaire, détaille Guy Hercend. La Ville d’Etel en aura l’usufruit. Avec l’acquisition de ce bâtiment unique, nous restaurons et renforçons la maritimité d’Etel et celle de la façade maritime du pays d’Auray dont Etel est sans doute le port le plus emblématique » . On comprend la satisfaction du maire et de son équipe au lendemain de cet accord qui va permettre une vraie modernisation de l’offre portuaire et touristique. Satisfaction également dans les rangs de l’équipe du Musée des Thoniers qui va, enfin, pouvoir trouver de quoi s’épanouir. Trop à l’étroit dans ses locaux, le Musée, unique en son genre, dédié au monde de la pêche va enfin respirer. « Il occupera le dernier étage de la glacière sur 1 000 m2 , contre la moitié seulement aujourd’hui. » Sur les 1 000 autres m2 restants, « de l’activité à vocation économique, complémentaire de celle du musée, aura toute sa place ».

Trait d’union entre passé et avenir

Une bonne nouvelle donc pour Etel, d’autant que la fameuse glacière s’insère dans un dispositif de modernisation et de réaménagement du port. « La compagnie des ports du Morbihan va aussi réaménager les quais face à la glacière, précise Guy Hercend. Un belvédère sera édifié et les parkings attenants seront augmentés et repensés dans un cadre amélioré » . Pour le tourisme et le commerce étellois, c’est l’annonce d’une relance économique et d’une dynamisation qui devraient faire un bien fou. Quand la glacière ouvrira-t-elle à nouveau ses portes ? « Difficile à dire exactement pour l’instant », jauge le maire. Des réunions de concertation se dérouleront cet été entre les acteurs et partenaires du projet : Ville, conseil départemental, conseil régional, Auray Quiberon terre atlantique (qui soutient ardemment le projet). « Nous espérons également obtenir des financements de l’Europe sur un tel projet structurant. » Les phases de travaux et de restauration des lieux (en concertation avec l’architecte des Bâtiments de France) n’interviendront pas avant 2017 pour une ouverture espérée en 2018. « Un grand pas vient d’être franchi, se réjouit le maire, cette glacière et son musée sont le trait d’union entre le passé et l’avenir d’Etel et son pays » . Article de Pierre WADOUX.

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19 février 2016

La Barre d'Etel

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